Mariné Petrossian décrit des sensations et des impressions sur la ville d’Erevan, pointant la pauvreté de ses habitants et de ses rues, parcourant les avenues en solitaire.
En parallèle, ou réunis à la musique, les textes sélectionnés forment une polyphonie singulière dans laquelle la contrebasse fait écho à la poésie proférée par la comédienne. Ainsi le spectacle est un dévoilement progressif et incessant d’un solo à deux voix entremêlées sur la diaspora arménienne.
31, rue Henri Kleynhoff 94250 Gentilly