En Compagnie (s) d’été, 2007

Paris 14e
du 27 juillet au 1 septembre 2007

En Compagnie (s) d’été, 2007

Cette saison, GRRR a invité des spectacles et des artistes qui cherchent, questionnent, explorent : l’intime, le désir, le corps, l’amour, le vieillissement, la mort  ; la vie des femmes, leurs désirs, frustrations, rêves, leurs enfants, la maternité ; la vie de « l’autre », celui que l’on connaît mal, que parfois l’on rejette, sur qui on a des a priori  ; ce que nous racontent les politiques, la « vérité ». Des créations hors des sentiers battus.

Un tarif réduit pour le jeune public est diponible sur place.

Edito
Calendrier
Les spectacles

  • Edito

Fidèles à nos propos :
Partager l’outil : un théâtre fermé l’été.
Le garder ouvert, animé par une équipe indépendante.
Inviter d’autres compagnies sans lieu permanent pour qu’elles puissent montrer leurs créations sur une période assez longue.
Donner aux divers publics, et surtout à celui qui le fait rarement, le désir de franchir les portes du théâtre.
Programmer surtout des créations, le plus possible hors des sentiers battus.
Faire connaître des textes d’auteurs d’aujourd’hui.
S’adresser aux enfants -le public de l’avenir- avec un spectacle exigeant, qui leur donne le goût de l’art et l’envie de revenir.
Loin de l’idée de programmer du « pur divertissement d’été »
Loin du consensuel
Loin de la mode
Loin de l’ennui
Près de nos utopies
De nos indignations
Des grands rires salvateurs, jouissifs, rageurs, transgressifs, porteurs d’espoir que les poètes d’hier et d’aujourd’hui nous proposent.
Nous voulons tisser dans la trame des « jours de vacances » des faits artistiques porteurs de pertinence et de sens.
Nous voulons continuer à mettre en commun nos forces, nos compétences et notre énergie
Nous voulons continuer à affirmer que la solidarité a sa place, qu’elle est bel et bien « moderne »
Nous voulons continuer à défendre le service public, la culture et la création.
Malgré notre pauvreté : 30 000 euros pour mener à bien ce projet provenant de nos uniques soutiens réguliers : la Ville de Paris et la Mairie du XIVe.
Malgré notre étonnement face au peu de cas que d’autres institutions font de ce projet qui a prouvé sa pertinence et s’est développé grâce à notre travail acharné et au partenariat fidèle du Théâtre 14.
Cette saison, nous avons invité des spectacles et des artistes qui cherchent, questionnent, explorent : l’intime, le désir, le corps, l’amour, le vieillissement, la mort (Amoureusement vôtre, Birthdeath, une ode à la vie mortelle) ; la vie des femmes, leurs désirs, frustrations, rêves, leurs enfants, la maternité (Georgette va au supermarché, Félicité dans un arbre) ; la vie de « l’autre », celui que l’on connaît mal, que parfois l’on rejette, sur qui on a des a priori (Manouche pas touche !, Des peuples différents marchent ensemble) ; ce que nous racontent les politiques, la « vérité » (Discours des maires).
Tous les spectacles ont en commun le fait d’interroger aussi la forme, d’explorer le rapport de l’acteur à l’espace (qui le choeur dans une tragédie moderne, qui la relation texte et musique, qui un différent rapport au public, qui des recherches sur l’image vidéo).
Tous ont en commun une volonté affirmée de travailler avec le nécessaire, voire l’indispensable, loin des débauches scénographiques, près du corps de l’acteur, de sa présence. Tous ont le souci de l’exigence artistique et du respect du public.
Tous ont envie de dire des choses graves et profondes avec légèreté : la légèreté du vent, qui peut être une brise, mais qui sait aussi devenir ouragan.
Tous sont, osons le mot, subversifs, comme l’est ce projet, qui prend position : pour le partage, la solidarité, l’imagination. Une utopie commune dans un lieu qui, (Ne l’entend-t-on pas dire parfois ?) paraît improbable, là-bas, perdu, pas loin du « périph »

« Mais… qu’est ce qui se passe là-bas… Pas grande chose… ? »
« Une bande de fous sévit chaque été, des gens qui croient encore que l’imagination peut changer ce qui ne va pas dans le monde… »
« Ce n’est pas un peu soixante-huitard, ça ? » …

Augurons-nous un splendide été 2007 pour la sixième saison de En Compagnie (s) d’été.

Susana Lastreto et l’équipe de GRRR

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  • Calendrier

Du 27 juillet au 4 août 2007:
19h30 Georgette va au super marché, Compagnie Ici et là
21h15 Amoureusement vôtre, GRRR

Du lundi 6 Août au samedi 11 août :
19h30 Manouche, pas touche ! Compagnie Compteur :Zéro.
21h15 Amoureusement vôtre, GRRR

Du dimanche 12 août au dimanche 19 août : Relâche public. Ateliers, répétitions, stages)

Du lundi 20 août au samedi 25 août :
19h30 Félicité dans un arbre, Compagnie Pièces montées
21h15 Amoureusement vôtre, GRRR

Le lundi 27 août à 19h30 : Intégrale de Inaugurations, de et par Bruno Allain

Du mardi 28 août au jeudi 30 :
19h30 Birthdeath, Virginia Vulv perform/ Spectralex
21h15 Amoureusement vôtre, GRRR

Du vendredi 31 août au samedi 1er septembre :
19h30 Nuit d'été loin des Andes… , GRRR
21h15 Amoureusement vôtre, GRRR

Les 28, 30 et 31 à 14h 30 : Des peuples différents marchent ensemble, Compagnie du Globe.
Entre le 20 août et le 1er septembre en levée de rideau : Inaugurations, Bruno Allain
Dans la peau d’un acteur, lectures, texte de S Calow.

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  • Les spectacles

Amoureusement vôtre
Comédie musicale aigre-douce sur fond de boléro. Amoureusement vôtre est une comédie mélancolique et drôle qui parle de l’amour, de l’érotisme, de la passion, du temps qui passe. Elle nous fait réfléchir, avec légèreté, sur notre capacité à aimer et à désirer longtemps.
Pour l’anecdote : c’est la journée d’un couple qui se prépare à fêter son soixante-quinzième anniversaire de mariage : les Noces d’Albâtre. ELLE et LUI cherchent sur Internet, (dans Wikipédia…) comment faire pour garder le désir intact malgré le temps, quelle est la définition d’Éros et comment assouvir les fantasmes…
J’ai fait appel à de grands poètes qui se sont interrogés là-dessus, qui ont écrit sur l’amour et le sexe des pages parfois crues, cruelles, émouvantes, pornographiques aussi. En supposant qu’il existe différents publics, j’espère que chacun y verra ce qu’il veut : on pourra s’arrêter à l’anecdote du couple vieillissant, on pourra se régaler des références mythologiques, musicales ou cinématographiques. Comme on voudra, librement. Voilà pour le fond. Pour la forme, je continue à travailler sur le vocabulaire du théâtre : l’ espace, les guindes, les rideaux, la lumière. Et à mélanger textes, chansons, bruits et musiques.
Pour l’esthétique, je défends toujours l’espace et l’acteur comme seuls indispensables, refusant le réalisme, le naturalisme, la représentation « fidèle » du réel. C’est aussi un jeu ironique sur les codes du théâtre bourgeois : rideau de scène rouge, petit salon, personnages typés. Comme c’est une comédie, on espère faire rire ; comme aimer et mourir sont à la base de toute tragédie, on espère faire pleurer ; comme le spectacle se veut intelligent, on espère déclancher une réflexion profonde sur le devenir du théâtre… En tout cas, nous sommes persuadés que l’on pourra repartir en sifflotant un air de boléro…
Composé et mis en scène par Susana Lastreto à partir de textes glanés ici et là, chez : Ovide, l’Arétin, le Cantique des Cantiques, des récits érotiques anonymes chinois, Verlaine, Héliette de Vivonne, Joyce Mansour, Gabriel Seinac de Meilhan, Marie Nizet, Mélanie Waldor, Pablo Neruda… et bien d’autres.
Avec : Annabel de Courson, François Frapier, Hélène Hardouin, Susana Lastreto

Georgette va au supermarché
Voici un spectacle non encore « repéré » par les « experts » et autres institutions : il a été repéré par l’équipe de GRRR. Des jeunes comédiennes que j’ai eu comme élèves à l’École Internationale de Théâtre de Jacques Lecoq. C’est une création : ce sera formidable ou formidablement en devenir.
Une comédie tragique qui explore le désir fou d'une femme... d'acheter une boîte de haricots. Georgette a un seul but : aller au supermarché, s’acheter une boîte de haricots. Il le faut. Une jeune femme avec de simples désirs, Georgette aimerait être comme les autres. C’est une fille, une soeur, une mère, une femme. Vous la croisez au supermarché avec son caddie rempli : deux litres de lait, une douzaine d’oeufs, une baguette aux céréales, du yaourt allégé à la vanille, six pommes, 3 boîtes de thon, de l’eau de javel à la lavande pour les toilettes, de l’eau minérale en bouteilles, des tampons...
À travers des monologues et des mouvements d’ensemble, Georgette va au supermarché écarte les rideaux pour y chercher les traces des secrets, désirs, mensonges et rêves qui dorment au fond de nous. En plongeant dans le monde vibrant de l’intérieur, nous espérons froisser les draps, enlever le masque, et ainsi partager le parcours de six femmes qui se redécouvrent. Absurde, grotesque, drôle, triste, c’est une exploration des excentricités banales de la vie quotidienne. Une
comédie tragique qui explore le désir fou d'une femme... de réussir à vivre une vie normale, quand elle ne l’est, en fait, pas du tout. En mettant en évidence le moche, le bordel, la peur, et la quête de faire partie de la vie quotidienne, nous vous emmenons dans un voyage brutal, provocant, qui révèle un côté de la vie qui est devant nos yeux mais que l’on voit, en fait, rarement en détail.
À travers un personnage sensible et riche, on découvre un monde caché à nos yeux. Sa lutte contre les dieux, le sexe, l'humanité, ce à quoi elle est obligée de faire face pour arriver a son but.
Texte et mise en scène de Jayne Tuttle
Avec Katrina Bugaj, Natalie Handel, Faye Hargate, Elsa Pereira, Micaela Miranda, Jayne Tuttle, Katharine Yates

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Manouche, pas touche !
Une histoire de couple pas ordinaire : une manouche et un gadjo à plusieurs instants de leur vie. Manouche, pas touche ! répond à l’origine à une commande du Fonds Social Européen. À l’arrivée, c’est bien un spectacle de théâtre et non une oeuvre journalistique, sociologique ou pédagogique, même si le support a été une enquête fort bien menée auprès d’une communauté mal connue et souvent montrée du doigt. C’est l’humour corrosif et teinté de poésie des gens du voyage que l’on retrouve à travers le texte de Hugo Paviot. Des petites histoires qui éveillent chez le spectateur une curiosité nouvelle, une émotion inattendue et l’envie de rire, qui est le premier degré de la fraternité.
Latcho drom !( par Xavier Czapla)
Ma rencontre avec Hugo Paviot a eu lieu dans une salle de spectacle où l’on jouait Mireille. J’ai découvert un auteur au ton simple et direct, qui laisse parler l’instant. Son écriture est ainsi faite qu’elle donne autant d’importance aux mots qu’aux silences. Tout n’est pas dit, loin s’en faut, mais tout est là. Manouche, pas touche propose une histoire de couple pas ordinaire : une manouche et un gadjo à plusieurs instants de leur vie. Une série de saynètes s’intercalent où l’on dépeint le quotidien du manouche dans le monde des sédentaires, avec ses préjugés et ses poncifs sur ce « monde inconnu » des gens du voyage. Comme souvent dans les pièces d’Hugo Paviot, l’humour est omniprésent , un humour qui s’appuie toujours sur une profonde humanité. L’humanité, maître mot de cette pièce, est aussi le principal axe de recherche pour cette mise en scène.
Texte : Hugo Paviot. Mise en scène : Xavier Czapla.
Avec Louis-Marie Audubert, Eve Rouvière, Mathieu Aschehoug
Musique : Mathieu Aschehoug. Par la Compagnie Compteur zéro.
Durée 1h10.

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Félicité dans un arbre
« Juste au moment où j’avais le plus grand besoin d’avoir une conversation importante, l’envie que m’effleure le parfum du vaste monde, c'est-à-dire, le besoin ne serait-ce que d’un seul compagnon intelligent, capable de traduire ma cordialité verbale dans sa langue d’amour charnel et immortel, voilà que j’étais réduite à l’oisiveté du jardin public de notre quartier, cernée par les enfants » Grace Paley (Faith in a Tree), "Énorme Changement de Dernière Minute", 1974. (Éd. Rivages Poche)
Assise sur une branche de sycomore au coeur de la ville, Félicité contemple le jardin public où s'ébattent ses deux enfants, qu'elle élève seule. Elle y converse avec ses collègues en maternité, devisant sur le monde, Dieu, l'éducation, l'amour, les hommes... Soudain, au grand dam du gardien de square, une manifestation pacifiste fait irruption dans ce havre de jeu et de flirt. Quand Grace Paley écrit cette nouvelle en 1974, Woodstock a déjà eu lieu, la guerre du Vietnam vient de s’achever et celle du Cambodge fait toujours rage. Trente trois ans plus tard, son portrait de Félicité, femme avec travail, culture et enfants, résonne d’une bien plus grande actualité que bon nombre de personnages féminins du répertoire contemporain. De coq-à-l’âne en pirouette, l’auteure y évoque comment l'éducation des enfants peut faire passer une femme de la sphère personnelle à la sphère politique.
Grace Paley naît en 1922 à New York dans une famille de juifs russes émigrés. Elle grandit dans le Lower East Side et le Bronx, au coeur de la vie colorée de l'immigration New-Yorkaise. Dès ses premières publications en 1959, elle s'est affirmée comme l'une des écrivaines contemporaines de fiction les plus brillantes et originales d'Amérique du Nord.
"Une voix inimitable : drôle, triste, fine, humble, énergique et précise." (Susan Sontag)
"Une intelligence de la solitude, du désir, de l'égoïsme et de la fatigue superbement comiques, à faire trembler les "dames". (Philip Roth)
Texte : Grace Paley
Adaptation, conception et jeu : Clotilde Moynot
Par la Compagnie Pièces Montées. Durée 1h.

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Virgina VulV Perform - Birthdeath : une ode à la vie mortelle
Virgina VulV est une artiste protéiforme. Shiva des arts plastiques, elle manie les concepts et les supports avec une dextérité et une violence toutes féminines. Comme un arc tendu entre ciel et terre, entre père et mère, elle explore et invente une généalogie cosmique. Pour cela elle s'entoure de divinités qu’elle appelle « ses Grands Anciens » : Warm Urine (Urine Chaude), Baubo (la vieille prêtresse au sexe ridé), Iacchos (le juste-né vagissant)... et Trou Noir (the Big Black Hole).
Virgina VulV fait performance de tout bois dans l'incandescence d'un feu sacré Parfois au risque d'y laisser des cendres… mais certaine d'y renaître toujours. Birthdeath est son premier opus : - 1st song qui est un chant d’amour et de mort, en 6 icônes. Il vous sera présenté en Rétrorama et commenté par l'universitaire Sylvie Duchamps (spécialiste de l'oeuvre peinte de Virginia VulV). Ensuite Virgina Vulv en personne vous proposera des performances « live » : - Ivégénia « green little girl » : pataperformance - by Virgina VulV Ozone “sewing perf” : performance de couture - by Virgina VulV.
Durée : 50 min

Des peuples différents marchent ensemble
Contes, danses et chants sud-africains au temps de Mandela. Un spectacle pour le jeune-public et le moins jeune…
Un spectacle en forme de bombe, où Naomi danse et chante zoulou, xhosa, ndébélé, conte des histoires du pays des animaux sauvages, comme celle de Tembi l’éléphante qui devient femme et épouse le Chasseur. Naomi ne raconte pas seulement des vieilles légendes, elle nous parle de son Afrique du Sud à elle, elle évoque comment l’Apartheid, cette forme de zizanie, a été extirpée depuis 1994, avec l’arrivée du bon docteur Mandela qui tente de cicatriser cette plaie profonde à l’aide de son remède, l’Ubuntu, une forme de rédemption à l’africaine.
Par la Compagnie du Globe
Durée 50mn
Avec Naomi Canard

Nuit d’été loin des Andes… ou dialogues avec mon dentiste
Le dentiste -Mais que je sache, ce n’est pas un royaume chez vous, là-bas...
La femme -Que je sache, vous n’êtes pas une ville non plus, même si vous vous appelez Tolède...

Une femme, mi diva, mi clown, entre en scène et…
... Et soudain elle s’aperçoit qu’elle a oublié en coulisse quelque chose d’essentiel … Que va-t-elle faire ?
À la recherche de cet objet oublié- sans lequel, on l’apprendra, elle ne peut pas accomplir son destin-elle entreprend de raconter son voyage entre “là-bas” et “ici”, entre sa terre d’origine et celle d’accueil, à partir des êtres rencontrés en chemin- femmes et hommes anonymes ou célèbres, villes, plantes, animaux- qu’elle incarne en textes et chansons.
Réflexion douce-amère sur l'exil et ses multiples visages, sur le temps qui passe et aussi tentative de répondre à quelques questions philosophiques... Qu' ont-ils en commun Bertin Poirée et le maté ? Un ancien ministre de la Culture et Van Gogh ? Jean-Paul Sartre et une tartine beurrée ? Les dents et la Cordillère des Andes ? Le bus 60 et la disparition ?
De et avec Susana Lastreto et avec Annabel de Courson (bandonéon)
Musique originale : Annabel de Courson

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ET en lever de rideau, en « soirée surprise »…
Les Inaugurations par Bruno Allain
Une série de discours de maire, véridiques, tissant de façon drôle amour et politique prêts à se donner la main en toute circonstance : pour l’inauguration d’une fontaine, du monument aux morts, d’une école… Amour de la patrie, de la loi, du couple que l’on marie, du nouveau tramway, amour du bien-être des citoyens.

Et aussi Extraits de Dans la peau d’un acteur
de Simon Callow, lus chaque jour par les artistes de En Compagnie(s) d’été.
Traduit de l’anglais par Gisèle Joly, Éd.Espaces 34.
« Depuis Stanislavski je ne connais aucun témoignage sur le travail de l’acteur d’une telle éloquence et surtout si concret. Ce livre de Simon Callow est remarquable. » Peter Brook

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Informations pratiques

Théâtre 14

20, avenue Marc Sangnier 75014 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Bar Salle climatisée
  • Métro : Porte de Vanves à 451 m
  • Tram : Didot à 245 m
  • Bus : Porte Didot - Lycée Raspail à 48 m, Victor Hugo à 281 m, Porte de Vanves à 362 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Théâtre 14
20, avenue Marc Sangnier 75014 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 1° septembre 2007

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