Ecrits rock

Un duo
Une ballade dans le New York des années 70-80
Citations de Please Kill Me
Presse

• Un duo

Depuis trois ans, le comédien Pierre Baux et le violoncelliste Vincent Courtois se retrouvent pour raconter à deux voix des contes et des histoires.
Ils ont ainsi raconté aux plus petits comme aux plus grands les contes de Grimm, les Histoires de Borges, d’Andersen, Kafka , Daudet... ou encore le Décaméron de Boccace.

Au gré des récits et des auteurs, le duo n’a eu de cesse de prendre corps, de développer une écoute subtile, et d’inventer un répertoire unique pour voix et violoncelle. Créé dans des scénographies originales à l’Atelier du Plateau, ce duo a régulièrement été invité lors de festivals à Reims, Toulouse, Saint Quentin en Yvelines, Tripoli.

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• Une ballade dans le New York des années 70-80

Principalement inspirée par le livre Please Kill Me de Legs Mcneill et Gillian McCain, ce spectacle se veut une ballade dans le New York rock des années 70-80. Ce New York, décrit par les acteurs, où l’on croise une faune excentrique et remuante de musiciens, managers, travelos, drogués, star débutante…

Il était une fois Iggy Pop, Lou Reed, Jim Morrison, David Bowie, Patti Smith, Dee-Dee et Joey Ramones, Sid Vicious mais il était une fois aussi Sable Starr, groupie professionnelle, Billy Murcia, éphémère batteur des New-York Dolls, et il était une fois pour bien d’autres figures qui ont inventé les mots et les sons d’une musique nouvelle, cinglée, révoltante, fascinante.

Ce spectacle veut faire résonner la poésie, l’énergie et le quotidien de ces personnalités aux vies majuscules, faites d’une intimité totalement décalée pleine de fureur, de rage, de musique, de concert, d’overdose, de baise, d’accident, d’humour.

A côté de ces anecdotes qui révèlent un quotidien où les situations les plus extrêmes se vivent avec une fascinante légèreté, nous imaginons faire résonner d’autres paroles poétiques inspiratrices ou témoins de cette époque. A l’instar des mots presque chantés d’Allen Ginsberg, de Paul Verlaine, ou des nouvelles de Lou Reed.

Ecrits Rock se veut un concert à deux voix, une mosaïque d’histoires, anecdotes, chansons, nouvelles, évoquant ces vies majuscules dans le New York du Max’s Kansas City et du CBGB’s.

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• Citations de Please Kill Me

"Iggy était dangereux. (...) du genre à faire tournoyer un banc de deux cents kilos au-dessus de la tête des gamins du premier rang comme s'il allait l'abattre sur eux, au point que tu te disais qu'il avait pris un tel élan qu'il n'allait jamais pouvoir arrêter son mouvement. Tu étais sûr que les gamins allaient se faire écraser et tuer. Et là, Iggy le stoppait en pleine course, comme s'il était Nadia Comaneci."

Danny Fields, manager des Stooges et des Ramones

"Le rock and roll est tellement génial, des gens devraient se mettre à mourir pour lui. Vous ne comprenez pas. La musique vous a rendu la pulsation qui vous permet de rêver. Toute une génération qui marche au son d’une basse Fender… Il faut que des gens meurent pour la musique, c’est tout. Des gens meurent pour n’importe quoi alors pourquoi pas pour la musique ? Mourez pour elle. C’est pas joli ? Vous voudriez pas mourir pour quelque chose de joli ? Peut-être que je devrais mourir. Après tout, tous les grands chanteurs de blues sont morts. Mais la vie est meilleure, maintenant. Je ne veux pas mourir. Si ?"

Lou Reed

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• Presse

"le buriné Pierre Baux et son violoncelliste fétiche Vincent Courtois font de cette histoire orale fragmentée, réhaussée des textes fondateurs d'Alan Ginsberg ou de Lou Reed, une succession de contes funambules."

Timothée Barrière, Paris Obs

"Ce spectacle n’est pas un one-man-show avec potins sur la vie privée des stars du rock. C’est un pur moment de poésie. On tente de comprendre un peu mieux cette époque, on se dit qu’à leur place, on aurait fait pareil, on a envie de goûter à cette frénésie qui reste pour nous des mots, des textes, des sons, et on regrette presque cette époque, que les moins de trente ans n’ont jamais connue, et qui nous fascine."

Laure Dechenau, Blog casiopea

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