C’était l’invitation qu’ils attendaient. Un dîner dans l’appartement bourgeois du dessus, chez Katarina et Frank. Ils sont riches, libres, passionnés, sans enfants, tout l’inverse d’eux. Cela les fascine. Mais Jenna et Tomas vont vite déchanter.
C’était l’invitation qu’ils attendaient. Un dîner dans l’appartement bourgeois du dessus, chez Katarina et Frank. Ils sont riches, libres, passionnés, sans enfants, tout l’inverse d’eux. Cela les fascine. Mais Jenna et Tomas vont vite déchanter.
Leurs hôtes règlent Ieurs comptes. Ils se piquent, se provoquent, se blessent. Une dispute conjugale ? Non. On bascule dans autre chose : un huis clos sombre et infernal… un jeu pervers, violent, dangereux, sans limite. Jenna et Tomas y sont précipités malgré eux.
L’appartement devient un champ de bataille. Tous les coups sont permis, chacun cogne, dans tous les sens. Les masques se fissurent, la vérité apparaît. Les démons du passé ressurgissent. Quand la douleur s’exprime, il n’y a plus moyen de l’arrêter.
Cette rencontre/affrontement entre ces quatre personnes est un chassé-croisé où la perversion, la violence et la haine s'entrecroisent. Pièce dure et pénible, mais bien interprétée par les quatre jeunes comédiens.
ô Katarina Bella ! Vacances à Rome ! Fantasmes et lacérations... Sur l'écran noir de leurs nuits blanches, ils se sont fait du cinéma… Le carnaval des sentiments, Venise n'est pas en Italie... dérangeant qui l'eût cru, violent et percutant psychiquement, de l'amour à la haine... Rapports complexes, dans cette ville de grande solitude ou le "je t'aime moi non plus" résonne comme un râle de l'ultime douleur ! Les comédien(ne)s ont un jeu très physique, sensuel et charnel (Franck et Katarina) qui sonne comme le langage d'un cœur à corps imparfait et subjectif. Une pièce qui a ses forces et ses faiblesses, mais qui éveille en nous des sentiments troubles et nous engloutit dans les méandres de l'intime. Une pièce que l'on adorera détester ! Si au tout début, j'étais sur la réserve, au final, je me suis surprise à repenser à tout ce qu'elle suggère, l'importance des frustrations et des non-dits, le gouffre abyssal du manque d'amour, du mal d'aimer... preuve que la pièce ne m'a pas laissée indifférente du tout.
Pour 2 Notes
Cette rencontre/affrontement entre ces quatre personnes est un chassé-croisé où la perversion, la violence et la haine s'entrecroisent. Pièce dure et pénible, mais bien interprétée par les quatre jeunes comédiens.
ô Katarina Bella ! Vacances à Rome ! Fantasmes et lacérations... Sur l'écran noir de leurs nuits blanches, ils se sont fait du cinéma… Le carnaval des sentiments, Venise n'est pas en Italie... dérangeant qui l'eût cru, violent et percutant psychiquement, de l'amour à la haine... Rapports complexes, dans cette ville de grande solitude ou le "je t'aime moi non plus" résonne comme un râle de l'ultime douleur ! Les comédien(ne)s ont un jeu très physique, sensuel et charnel (Franck et Katarina) qui sonne comme le langage d'un cœur à corps imparfait et subjectif. Une pièce qui a ses forces et ses faiblesses, mais qui éveille en nous des sentiments troubles et nous engloutit dans les méandres de l'intime. Une pièce que l'on adorera détester ! Si au tout début, j'étais sur la réserve, au final, je me suis surprise à repenser à tout ce qu'elle suggère, l'importance des frustrations et des non-dits, le gouffre abyssal du manque d'amour, du mal d'aimer... preuve que la pièce ne m'a pas laissée indifférente du tout.
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