Belle d'Hier

Phia Ménard s’attaque à la vision patriarcale du prince charmant.
Phia Ménard s’attaque à la vision patriarcale du prince charmant. Portée par cinq performeuses, sa Belle d’Hier évoque la jeunesse figée dans le carcan glacé de l’attente, qui peu à peu se décompose en lambeaux trempés des larmes froides de la désillusion. Sa carapace gît parmi nos idéaux d’hier…
  • Contre toute assignation

Phia Ménard s’attaque à la vision patriarcale du prince charmant.

Voilà des siècles que princes et autres charmants épigones caracolent dans les rêves de petites filles ! Incrustée au cœur des esprits à coup de clichés collés au genre dès la plus tendre enfance, l’effigie de l’amant salvateur modèle l’imaginaire amoureux autant que l’identité sociale féminine.

Femme en devenir, rebelle à toute assignation, Phia Ménard s’attaque à ce mythe, filigrane d’une vision hétéro-patriarcale. Jongleuse virtuose, elle s’émancipe aussi des figures imposées, manipule la glace et le vent, joue avec le temps et les transformations de la matière pour faire écho aux métamorphoses intimes de l’être.

Portée par cinq performeuses, sa Belle d’Hier évoque la jeunesse figée dans le carcan glacé de l’attente, qui peu à peu se décompose en lambeaux trempés des larmes froides de la désillusion. Sa carapace gît parmi nos idéaux d’hier…

Gwénola David

Par la compagnie Non Nova.

  • La presse

« La force plastique de Belle d’hier, pas loin, parfois, d’une installation et qui réserve nombre d’apparitions fascinantes, réside aussi dans la gamme aquatique qu’elle décline. » Rosita Boisseau, Le Monde, 3 octobre 2015

« Phia Ménard brille par ses ruptures rythmiques et parvient à construire un ballet mécanique captivant, fait de robes qu’on arrose, qu’on étend et qu’on lessive jusqu’à épuisement, comme on saccagerait un mythe ». Eve Beauvallet, Libération, 1er juillet 2015

« Un impressionant ballet de formes sur le fil d’un conte cruel. » Rosita Boisseau, 29 juin​ 2015

« ...les « belles » de Phia Ménard retournent à l’origine du monde dans une séquence à la beauté soufflante, pas si loin des visions d’un Romeo Castellucci. » Philippe Noisette, les Echos

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Théâtre de la Ville-Sarah Bernhardt

2, place du Châtelet 75004 Paris

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Théâtre de la Ville-Sarah Bernhardt
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Spectacle terminé depuis le vendredi 9 octobre 2015

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