Lieu : L'avant-scène (Théâtre de Colombes)
88, rue Saint-Denis
Un jeu de
masques et d’illusion
Une comédie du
désir
Après le Songe d'une nuit d'été et Othello, Laurent Laffargue retrouve Shakespeare pour cette comédie romantique. En Sicile, au XVIème siècle, les hommes rentrent triomphants de la guerre, les femmes aiguisent leurs charmes. S’ensuit une nuit de fête et de débauche. L’amour et la sensualité dûs à l’estivale chaleur nous portent vers la légèreté : ironie d’amour, désir et liberté féminine. Mais la calomnie pousse les intrigues vers la tragédie.
L’auteur perd ses personnages dans un jeu de masques et d’illusion où la mystification est reine. Un chassé-croisé de trahisons et de séductions pour une comédie truculente.
Comédie romantique en cinq actes, écrite par Shakespeare en 1598, Beaucoup de bruit pour rien repose sur trois intrigues croisées. La première raconte les efforts du prince d’Aragon, Don Pedro, pour rendre amoureux Benedickt et Béatrice ; la seconde relate le zèle que déploie ce même prince pour unir Claudio et Héro ; la troisième traite du sinistre demi-frère de Don Pedro, Don John, qui manigance à l’aide de ruses et de trahisons. Grâce au constable, Dogberry, le traître sera démasqué et puni ; quant aux amoureux, ils seront conduits devant l’autel.
S’inspirant de divers contes et de poèmes - tels que
l’Orlando Furioso de l’Arioste, Shakespeare perd ici ses
personnages dans un labyrinthe d’images et de mots. Images que se font
d’eux-mêmes chacun des amants, jusqu’à se conformer à celle que l’autre lui
présente. Mots qui sèment le trouble à grand renfort de doubles sens,
subterfuges, quiproquos. Comme le titre l’indique, dans ce grand jeu de masques
et d’illusions, "le bruit" ne correspond pas obligatoirement à la réalité. La
pièce a la force d’une tragi-comédie où l’action passe de la joie au drame et
les personnages du rire aux larmes pour laisser éclater à la fin le
bonheur.
Farce ironique, où s’entrelacent mensonges et intrigues, infidélité
et abus de pouvoir au gré de l’amour et de ses délices, elle s’inscrit
pleinement dans notre époque et témoigne d’une société en mal de confiance.
C’est une comédie du désir, festive et truculente. L’action se déroule en Sicile, en juillet 1598. Triomphants, les hommes rentrent de la guerre. Superbes, les femmes aiguisent leurs charmes. C’est alors une nuit endiablée de fête, de comédie et de débauche. Tout ici respire le sud. Les corps se dénudent, les âmes brûlent, les passions s’embrasent. Le désir mène la danse : Bénédict avec Béatrice, Claudio avec Héro… L’amour se fait et se défait. L’amitié et la haine s’entremêlent dans un jeu où les cœurs se mettent à nu, où les mots se consument. Séductions, intrigues, trahisons s’entrechoquent.
Shakespeare fait ici le portrait d’une société enjouée, égoïste et superficielle. Il nous parle avec humour d’amour, de désir, de célibat, de liberté féminine. Il ne porte aucun jugement, pose des questions et passe allégrement de la farce à la tragédie. Danses, chansons, masques, et combats rythment cette corrida amoureuse.
Je ne suis absolument pas d'accord avec ce message! De nos jours , les pièces qui nous comble et nous éblouissnet se font rares et cela est certainement dù au progres de l'espace théatrale! cependant le spectateurs n'est là que pour juger le travail des comédiens et se divertir et en aucun cas s'occuper des finances de l'arrière! Je ne veux pas dire par là que le spectateur doit regarder une pièce bêtement et d'un point de vue inexistant mais qu'il n'a pas a se révolter face aux dépenses de la pièce ce n'est pas notre problème ! restez neutre dans un avis critique !
Il ne faut pas exgérer! Beaucoup de sous pour rien dans cette "mise en scène" creuse où tous les codes de la comédie et toutes les conventions théâtrales sont réunis à outrance! Effectivement, ca marche, le public est conqui! Quand je pense que de jeunes troupes, de jeunes metteurs en scène de grandes qualités n'ont pas un sou pour produire leur talent je suis amer. Cette pièce est une débauche d'artifices (costumes, gags, champagnes...(quand on s'est pas quoi faire des sous qu'on nous donne, on prend des magnums de champ!)); des comédiens, certes qui s'amusent mais absolument pas au service du texte; je ne parle pas de la scéno, quand on a pas d'idée on met des panneaux, ca sert toujours!!! des buissons en plastiques (ah ah c'est drôle). Mais voila, le plus dramatique, c'est que tout cela plait au public sans que celui-ci ne sache ce qui se cache derrière! Amertume, amertume quand tu nous tiens!...
VRAIMENT GENIAL!!!! Je suis allé voir Beaucoup de Bruit pour Rien au Theâtre du Port de la Lune à Bordeaux le 29 janvier et je peux vous assurer que cette version du grand classique shakespearien est un réel régal. Loin d'une transcription contemporaine et abstraite de l'oeuvre du 16ième siècle, la version de Laurent Lafargue mérite notre respect à la fois par l'inventivité dont fait preuve le metteur en scène, mais également par l'adéquation du rythme moderne à la pièce originale. Ce sens du rythme époustouflant, soutenu par une troupe d'acteurs très justes, trouve sa complète réalisation dans les scènes musicales, orchestrées par Arnaud Methivier, jeune compositeur à l'accordéon farouche. Une réussite, surprenante et délirante, pour un théâtre populaire et joyeux mais toujours inquiétant, comme l'aurait probablement souhaité Shakespeare. GENIAL!
Je ne suis absolument pas d'accord avec ce message! De nos jours , les pièces qui nous comble et nous éblouissnet se font rares et cela est certainement dù au progres de l'espace théatrale! cependant le spectateurs n'est là que pour juger le travail des comédiens et se divertir et en aucun cas s'occuper des finances de l'arrière! Je ne veux pas dire par là que le spectateur doit regarder une pièce bêtement et d'un point de vue inexistant mais qu'il n'a pas a se révolter face aux dépenses de la pièce ce n'est pas notre problème ! restez neutre dans un avis critique !
Il ne faut pas exgérer! Beaucoup de sous pour rien dans cette "mise en scène" creuse où tous les codes de la comédie et toutes les conventions théâtrales sont réunis à outrance! Effectivement, ca marche, le public est conqui! Quand je pense que de jeunes troupes, de jeunes metteurs en scène de grandes qualités n'ont pas un sou pour produire leur talent je suis amer. Cette pièce est une débauche d'artifices (costumes, gags, champagnes...(quand on s'est pas quoi faire des sous qu'on nous donne, on prend des magnums de champ!)); des comédiens, certes qui s'amusent mais absolument pas au service du texte; je ne parle pas de la scéno, quand on a pas d'idée on met des panneaux, ca sert toujours!!! des buissons en plastiques (ah ah c'est drôle). Mais voila, le plus dramatique, c'est que tout cela plait au public sans que celui-ci ne sache ce qui se cache derrière! Amertume, amertume quand tu nous tiens!...
VRAIMENT GENIAL!!!! Je suis allé voir Beaucoup de Bruit pour Rien au Theâtre du Port de la Lune à Bordeaux le 29 janvier et je peux vous assurer que cette version du grand classique shakespearien est un réel régal. Loin d'une transcription contemporaine et abstraite de l'oeuvre du 16ième siècle, la version de Laurent Lafargue mérite notre respect à la fois par l'inventivité dont fait preuve le metteur en scène, mais également par l'adéquation du rythme moderne à la pièce originale. Ce sens du rythme époustouflant, soutenu par une troupe d'acteurs très justes, trouve sa complète réalisation dans les scènes musicales, orchestrées par Arnaud Methivier, jeune compositeur à l'accordéon farouche. Une réussite, surprenante et délirante, pour un théâtre populaire et joyeux mais toujours inquiétant, comme l'aurait probablement souhaité Shakespeare. GENIAL!
16, place Stalingrad 92150 Suresnes
Navette gratuite Paris - Suresnes : Une navette est mise à votre disposition (dans la limite des places disponibles) pour vous rendre aux représentations du Théâtre.
Départ de cette navette 1h précise avant l’heure de la représentation (ex. : départ à 19h30 pour une représentation à 20h30), avenue Hoche (entre la rue de Tilsitt et la place Charles de Gaulle-Étoile), du côté des numéros pairs. À proximité de la gare Suresnes-Longchamp (Tram 2), la navette peut marquer un arrêt sur le boulevard Henri-Sellier (à l’arrêt des bus 144 et 244 (direction Rueil-Malmaison), 25 minutes environ avant la représentation. Faites signe au chauffeur.
La navette repart pour Paris environ 10 minutes après la fin de la représentation, et dessert, à la demande, l’arrêt Suresnes-Longchamp, jusqu’à son terminus place Charles de Gaulle-Étoile.