le 8 oct. 2024
1938 : Naissance du théâtre de Suresnes
1951 : Jean Vilar et les week-ends artistiques du TNP,
1967 : Le Centre Culturel de l'Ouest Parisien
1971: Le Théâtre Jean Vilar
1986 : Fermeture du théâtre
1990 : Le nouveau théâtre
Accueil du public
En 1921, Henri Sellier, Maire de Suresnes, lance une politique d'aménagement de la ville. Ainsi débute la construction de la "Cité Jardins" qui regroupe de nouveaux logements et un programme d'équipements collectifs et commerciaux.
Henri Sellier voulait qu'au cœur de cet espace de vie idéal, les habitants aient leur lieu de rencontre et de divertissement. Il fit donc appel aux architectes Maistrasse et Quonian qui, de 1938 à 1939 édifièrent ce qu'on appela alors la "salle des fêtes", bâtiment aux murs de briques et d'élégantes proportions rappelant le Palais de Chaillot, sur le modèle des "maisons pour tous" de l'époque. De fait, l'existence de ce théâtre n'est pas compréhensible en dehors de la Cité Jardins. Comme toutes les cités qui se construisent en banlieue parisienne entre les deux guerres, celle de Suresnes se veut un quartier harmonieux, moderne mais aussi autonome : une cité dont les axes principaux sont structurés par l'église et le théâtre-salle des fêtes.
Le bâtiment comportait deux salles : l'une destinée à la représentation des spectacles, selon des principes qui rompent avec les habitudes : ni baignoire, ni loge, ni poulailler ici mais un vaste parterre offrant à chacun une bonne visibilité. Et sous cette grande salle, un espace encore plus convivial, lieu de rencontre parfait pour les bals avec son beau parquet et son atmosphère intime.
L'édification d'une telle salle des fêtes au centre d'une ville de 10 000 habitants annonce, avec 10 ans d'avance, la vision de la fonction Théâtre/Public de Jean Vilar. En effet, avec l'absence de baignoire, loge, et autre poulailler, aucune hiérarchie sociale ne se ressent à l'intérieur du théâtre.
Dans les années 40, la Salle des Fêtes de Suresnes devient le Centre des Loisirs Albert Thomas - Henri dont l'utilisation est déterminée par la municipalité. Après la mort d'Henri Sellier en 1943, l'implication de la municipalité de Suresnes devient vraiment minimale : elle demande juste de veiller à ce que la salle soit libre pour l'arbre de Noël...
C'est en 1951 que Jean Vilar, comédien, metteur en scène, directeur du Festival d'Avignon à partir de 1947, et du Théâtre National Populaire de 1951 à 1963, va donner une nouvelle vie au Théâtre de Suresnes.
Dès son entrée en fonction comme directeur du T.N.P. en 1951, Jean Vilar se trouve confronté à la question des lieux de représentation : la session de l'O.N.U. occupe en effet le Palais de Chaillot jusqu'en avril 1952. Directeur de théâtre sans théâtre, Jean Vilar ne se replie pas sur une salle parisienne, comme il eût semblé logique à l'époque, il décide au contraire de faire porter l'essentiel de ses efforts sur la banlieue parisienne et choisit, entre autres, Suresnes. Pourquoi Suresnes ? Parce que c'est le seul théâtre de 1200 places qui existe à l'époque en proche banlieue. Soulignons que ce plan de conquête de la région parisienne ne s'est pas limité à la saison 1951 - 1952 (donc à l'occupation de Chaillot par l'O.N.U.) : il a été présenté au contraire par Jean Vilar comme un objectif à long terme.
En 1951, Jean Vilar organise les "week-ends artistiques" les 17 et 18, 24 et 25 novembre, et les 1 et 2 décembre. La grande salle du théâtre est utilisée telle quelle, le seul remaniement important étant de couvrir la fosse d'orchestre par un système de caissons mobiles. Il y a bien sûr des représentations les soirs de semaine, mais les trois week-ends ont droit à un programme spécial :
- samedi après-midi : concert de musique contemporaine
- samedi soir : Le Cid avec Gérard Philippe et Jean Vilar dans le rôle du Roi
- dimanche matin : "conférence-dialogue" avec toutes les vedettes du TNP
- dimanche après-midi : Mère Courage
- dimanche soir : bal
Si ces manifestations s'étendent sur une durée particulièrement importante, c'est parce que, pour Jean Vilar, "le théâtre, c'est comme la pénicilline : il n'agit qu'à haute dose" .
En outre, accessibles au plus grand nombre grâce à une politique tarifaire populaire, les week-ends artistiques suscitent un réel brassage social : ni la salle, ni les débats, les repas ou le bal ne se prêtent aux cloisonnements sociaux si répandus dans les théâtres à l'italienne de cette époque. C'est l'occasion de faire craquer le cadre trop étroit de la représentation théâtrale dans le temps, dans l'espace et jusque dans les rapports entre acteurs et spectateurs : aller voir jouer Gérard Philippe est une chose, mais débattre avec lui, manger à ses côtés, voire danser avec lui en est une autre...
Maurice Chevalier, séduit par l'événement, annonça qu'il donnerait un récital en supplément de programme, gratuitement bien sûr, bientôt suivi par André Dassary et Yves Montand qui se proposèrent pour faire de même lors des week-ends suivants. On eût l'occasion de voir Gérard Philippe jouer les machinistes, aidé de Maurice Chevalier, Louis Aragon et Elsa Triolet tentant vainement de faire honorer leurs bons de repas dans la cohue... Parmi les nombreuses personnalités présentes, on pût également apercevoir Patachou, René Clair, Jean Cocteau...
En ce qui concerne la fréquentation de ces week-ends, tandis que près de 10 000 spectateurs viennent de Paris, on compte un public de plus de 5 000 personnes venues de banlieue et qui, aimant le théâtre, y avaient renoncé depuis longtemps parce qu'il était devenu trop cher.
En 1953, il a été donné au théâtre 178 séances cinématographiques contre 23 séances de variétés. En 1954, le Conseil Municipal a confié l'exploitation du théâtre à une association constituée par les sociétés locales, ce qui permettait à la municipalité de continuer à utiliser la salle pour ses manifestations officielles.
Après le passage de Jean Vilar, le théâtre fonctionna comme une salle municipale à partir de 1967 sous le nom de " Centre Culturel de l'Ouest Parisien" , à l'instigation de la municipalité et du Maire M. Pontillon.
A cette époque, le théâtre était toujours très bien équipé avec :
- une salle de 1200 places
- un salon de lecture
- un salon audiovisuel
- une bibliothèque
- une discothèque
- une salle d'expositions
- une cafétéria
Le Théâtre de Suresnes était également le seul à présenter un tel programme en région parisienne :
- présentations de films
- causeries
- concerts
- pièces de théâtre
- ballets
- spectacles de variétés
- spectacles pour enfants
- interviews de personnalités des arts, des sciences et du cinéma
En 1971, le Centre Culturel de l'Ouest Parisien est rebaptisé "Théâtre Jean Vilar" en l'honneur des premiers week-ends artistiques. Des travaux de rénovation commencent en novembre 1975 pour se terminer un an plus tard.
Trois grands axes ont depuis été développés
- la diffusion culturelle (spectacles, expositions, bibliothèque, discothèque)
- l'animation auprès des associations locales, collectivités, comités d'entreprise, collaboration avec ces associations
- l'animation en milieu scolaire et plus généralement un travail culturel approfondi tourné vers l'enfance
Considérant que l'activité d'un centre culturel ne s'arrête pas à l'accueil des spectateurs, des ateliers ont été mis en place : céramique, théâtre, jazz et musique des peuples.
Dès 1984, une programmation plus ambitieuse a été réalisée. Hélas, en 1986, le théâtre fut obligé de fermer car il n'était plus adapté aux normes de sécurité, à la qualité de l'accueil souhaitée par la municipalité et aux exigences techniques modernes. A l'initiative de Christian Dupuy, Maire de Suresnes, la municipalité a décidé de réhabiliter et de moderniser l'ensemble du bâtiment.
La conception d'ensemble a été confiée à 4 architectes, un scénographe et un acousticien. Il a fallu seulement 18 mois pour réaliser l'ensemble des travaux prévus, ceci pour un coût de 65 millions de francs.
Les travaux peuvent se résumer ainsi :
- installer sur trois niveaux, à l'arrière du bâtiment, le Conservatoire de Musique, de Danse et d'Art Dramatique.
- adapter la grande salle aux exigences modernes de confort, de visibilité, d'acoustique et la scène aux conditions techniques des spectacles les plus divers ( théâtre, musique, danse) et des projections de cinéma. Ces importantes modifications ont porté notamment sur :
- la construction d'une avant-scène de 80 M2
- l'installation d'un système de chauffage par air pulsé sous les sièges
- la suppression du balcon et la mise en place de 700 fauteuils en gradin
- le revêtement en bois des parois latérales
- la construction d'un faux plafond conformément aux études acoustiques
- la mise en place d'équipements lumière et son très performants
- rénover la deuxième salle tout en préservant son caractère original et permettre dans ce lieu l'accueil de spectacles plus intimistes dans des conditions techniques favorables aux artistes accueillis.
- repenser tous les halls d'entrée des deux salles et les espaces d'accueil en aménageant deux foyers-bars conciliant la sécurité et le bien-être du public.
La réhabilitation du bâtiment a été exécutée tout en préservant l'aspect extérieur du théâtre qui est classé à l'inventaire des monuments historiques.
En novembre 1990, le Théâtre de Suresnes Jean Vilar rouvre sous la direction d'Olivier Meyer. Une nouvelle politique d'accueil est développée afin que le public retrouve le chemin du théâtre et pour faciliter l'accès du théâtre au plus grand nombre :
- politique de prix adaptés et politique très large de tarifs réduits et d'abonnements ;
- service de restauration lors des représentations ;
- placement gratuit par des hôtesses d'accueil ;
- service de navettes gratuit à l'intérieur de la commune et à partir de la gare SNCF de Suresnes-Mont-Valérien jusqu'au théâtre.
Le Théâtre de Suresnes a une double vocation : "ouvert à tous, surtout à vous", il est un lieu au, service de la création permettant la découverte de spectacles divers, de qualité, rendus accessibles à un large public par des actions de sensibilisation. Il abrite également des artistes en résidence qui trouvent là un abri parfait de travail, de recherche.
Le théâtre propose plus de 50 spectacles différents dans sa saison, soit plus de 100 représentations réparties entre ses deux salles de 350 et 700 places. Autour de ces spectacles sont organisés des expositions, des répétitions publiques, des stages, des rencontres avec les artistes, des cocktails...
La salle est accessible aux personnes à mobilité réduite, merci de le préciser avant votre commande au 01 40 13 84 65 (pour vérification des disponibilités).
La Réunification des deux Corées est une mosaïque de vingt fragments du discours amoureux. Avec réalisme et humour, Joël Pommerat y explore la complexité des liens humains, et plus particulièrement le mythe de l’amour.
Quoi de plus réjouissant que d’observer trois vrais amis dans la vie – François Morel, Olivier Broche et Olivier Saladin – se retrouver sur scène pour jouer trois amis fictifs qui se divisent autour d’un tableau blanc. Devenue un classique, la pièce de Yasmina Reza rejouée ici par ce formidable trio d’interprètes, nous promet une nouvelle adaptation d’anthologie.
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Aldric, Oussama, Clarisse et Léa tout juste sortis de l’adolescence ont pour point commun un handicap invisible. Ils proposent un univers où la normalité n’existe pas mais qui la questionne avec force. Un pas de côté salutaire et joyeux. A partir de 11 ans.
En compagnie de la danseuse flamenca Mijal Natan, Hillel Kogan élabore un spectacle où le flamenco lui permet d’explorer les questions identitaires.
Mené par la comédienne, autrice et metteuse en scène Marie Fortuit et accompagné par la pianiste Lucie Sansen, le spectacle musical La vie en vrai raconte la façon dont l’héritage poétique et politique d’Anne Sylvestre résonne avec le parcours de deux artistes trentenaires dans les années 2020.
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Sylvère Lamotte met en piste deux circassiens, Markus au jonglage et Basil en acrobatie. BasarKus a deux têtes, plein de bras et de jambes. Mais c’est en découvrant qu’il a deux cœurs qu’il se pose la question avec effroi : « Suis-je Un ou Deux ? Si je suis deux, je suis qui moi ? » A partir de 3 ans.
En 2022, une activiste écologique désespérée s’immole devant le parlement. Pour elle, trois acteurs créent un spectacle dans lequel ils prétendent revenir d’un futur enthousiasmant. Ils racontent au public ce qu’ils ont vu. Et si contre toute attente, ils avaient raison ? A partir de 15 ans.
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Le Groupe Fantôme, formé par Clément Aubert, Romain Cottard et Paul Jeanson, propose une expérience singulière. Suite à la disparition d’un enfant lors d’une représentation de leur dernier spectacle, ils tentent de trouver des explications. En brisant le 4e mur, réalité et fiction se confondent. Troublant. À partir de 13 ans.
Qui eut cru qu’au XVIII e siècle l’histoire du café et celle des mœurs allaient de pair ? Car le café ne fut pas toujours la boisson banalisée qu’elle est aujourd’hui. Avec Café Libertà, le chef d’orchestre Jérôme Correas et la chorégraphe Ambra Senatore s’emparent de cette histoire grâce aux cantates pleines d’humour et de fantaisie de Jean-Sébastien Bach et de Nicolas Bernier. Vous reprendrez bien un café ?
Dans une chorégraphie ludique, deux danseuses explorent et expérimentent toutes les possibilités de cette partie du corps. Un éloge des pieds dans toutes leurs diversités, leurs originalités et leurs bizarreries, pour nous apprendre à prendre soin de notre premier moyen de transport. À partir de 4 ans.
En explorant les états du « hors de soi » avec un groupe de dix interprètes venus d’horizons corporels multiples, Tendre colère dessine les contours d’une intelligence de la non-maîtrise et fait surgir des tableaux épiques d’emportements collectifs non dénués de dérision souriante. Tendre colère ou un Radeau de la Méduse au second degré… Une réponse à la folie et à l’absurdité du monde ?
De nos jours, une dame polonaise vit dans une maison de retraite. Elle a 94 ans, elle s’appelle Irena et son apparence de vieille pomme ridée rend insoupçonnables les actions héroïques qu’elle a accomplies durant la Seconde Guerre mondiale. Elle et son réseau de femmes ont sauvé, au péril de leur vie, 2 500 enfants juifs du Ghetto de Varsovie et de la déportation.
Pour la seconde fois cette saison, l’équipe de France et Suresnes Impro s’affrontent lors d’un match d’improvisation. Aguerris à l’exercice, les comédiens se prêtent de nouveau au jeu vertigineux d’inventer dans l’instant des histoires inédites.
Une parenthèse poétique, drôle et sensible : ce plateau partagé réunit deux duos dansés, invitation à prendre conscience de la manière dont on habite son corps et du besoin nécessaire de revenir aux essentiels.
Une scène, deux spectacles ! Explorer la mémoire du corps et ses souvenirs comme on partirait en quête d’un matériau précieux : Sarah Adjou et Jade Lada transcendent leurs parcours de vie et de danseuses, créant chacune une pièce traversée par leurs influences multiples.
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Après les succès du Carnaval des Animaux… et de PETROUCHKA ou le choix d’Holubichka, Émilie Lalande adapte le chef-d’œuvre de Prokofiev Pierre et le loup en version dansée. Un spectacle vibrant et ingénieux qui fait la part belle aux premières découvertes chorégraphiques et musicales. À partir de 3 ans.
Entre théâtre et comédie musicale, Dominique toute seule est un conte moderne qui pose un regard doux sur la différence et la marginalité. Sur scène, l’héroïne entame un parcours initiatique salvateur qui donne confiance en la vie. À partir de 7 ans.
Più est une petite fille qui rêve d’aventure et de partir vers l’horizon, vers un pays lointain. Nous la suivons dans son parcours initiatique, portés par la musique de Maurice Ravel. Au gré de ses rencontres, c’est le chemin de la vie qui la guide et la fait grandir. Et nous avec !
_GROUND (prononcez « Underground ») convoque les danses de club afro descendantes comme le swing ou la house, terreau gestuel du chorégraphe Diego « Odd Sweet » Dolciami qui rend un hommage vibrant à ces danses subversives devenues une culture à part entière.
L’Orchestre national d’Île-de-France promet un concert symphonique de haute volée. Dirigés par Case Scaglione, une cinquantaine de musiciens, quatre chanteurs lyriques et le Chœur de Radio France traversent un répertoire rare et essentiel, synonyme de liberté. Ludwig van Beethoven, Franz Schubert et Fanny Mendelssohn ont un point commun : ils ont composé pour exister, vivre et continuer à émerveiller au fil des siècles.
Un spectacle qui porte son nom à la perfection : il n’a jamais été aussi simple de se réjouir et même de rire du moindre geste dansé, d’écouter la musicalité des corps. Impertinent, drôle et léger, Simple marie les paradoxes dans un imaginaire sans limite.
Chorégraphe et directrice du Centre chorégraphique national de Nantes, Ambra Senatore est aussi une danseuse débordante de légèreté et d’émotions qui aime sublimer le magique des gestes du quotidien. Elle apparaît en solo, avec un désir de danser « à fond ».
Le foot est le sport universel, populaire et fédérateur. Il crée un sentiment d’appartenance et devient le reflet de nos sociétés, pour le meilleur et pour le pire. Les Crampons rend hommage au grand footballeur Justin Fashanu et porte, avec force, un message de tolérance. À partir de 14 ans.
« Agapé », dans la mythologie grecque, c’est l’amour désintéressé, inconditionnel. C’est par la force du mouvement, la singularité des interprètes et l’énergie collective des corps que Jérémy Alberge nous partage une déclaration d’amour dansée.
Éternelle femme libre et audacieuse, Carmen vit mille vies depuis sa création en 1875. Elle embrasse aujourd’hui une nouvelle destinée grâce au chorégraphe Abou Lagraa, déterminé à la rendre invincible à travers les corps de treize danseurs du Ballet de l’Opéra de Tunis.
Une petite fille est désemparée devant la tristesse de sa maman. Chaque année, pour la fête des mères, elle tente de la sauver du naufrage. Devenue adulte, elle brave une dernière fois cette quête impossible et lui offre son ultime cadeau : un spectacle. Avec La Fête des mères, Zelda Bourquin invite à une traversée tonitruante de l’amour filial, sur le fil du rire et des larmes, entre récit intime et conte universel. À partir de 14 ans.
Voir sur scène vingt-quatre excellents artistes chorégraphiques est en soi un événement et une source d’émotions. Alors quand ils rencontrent les pièces débridées et follement maîtrisées de Maud Le Pladec et Ayelen Parolin, la promesse d’un feu d’artifice devient une évidence.
Dans Aesthetica, les corps deviennent le théâtre de nos interactions virtuelles. Une fusion captivante entre tango, danse contemporaine et musique live explore l’impact des réseaux sociaux sur nos existences et notre perception du monde.
16, place Stalingrad 92150 Suresnes
Navette gratuite Paris - Suresnes : Une navette est mise à votre disposition (dans la limite des places disponibles) pour vous rendre aux représentations du Théâtre.
Départ de cette navette 1h précise avant l’heure de la représentation (ex. : départ à 19h30 pour une représentation à 20h30), avenue Hoche (entre la rue de Tilsitt et la place Charles de Gaulle-Étoile), du côté des numéros pairs. À proximité de la gare Suresnes-Longchamp (Tram 2), la navette peut marquer un arrêt sur le boulevard Henri-Sellier (à l’arrêt des bus 144 et 244 (direction Rueil-Malmaison), 25 minutes environ avant la représentation. Faites signe au chauffeur.
La navette repart pour Paris environ 10 minutes après la fin de la représentation, et dessert, à la demande, l’arrêt Suresnes-Longchamp, jusqu’à son terminus place Charles de Gaulle-Étoile.
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