Une petite fille privilégiée

 
Présentation
L’adaptation du livre de Francine Christophe
La presse

• Présentation

C’est l’histoire vécue de Francine, 7 ans, qui de 40 à 44, va séjourner dans les camps d’internement français puis allemand. Le « privilège » de Francine, c’est que son père est prisonnier de guerre. Ainsi, elle et sa mère, au lieu d’être envoyées à Auschwitz, vont partir pour Bergen-Belsen qui n’était pas un camp d’extermination...
Sur scène, Mireille Perrier (Francine Christophe) nous raconte d’une façon tellement juste et bouleversante, sans jamais tomber dans le pathos, sa vie d’enfant, dans ce long voyage au bout de l’horreur. Elle nous parle de la mort et de la vie, de la douleur et de la liberté. Les trois musiciens interprètent des mélodies populaires de l’époque.  Philippe Ogouz a voulu à travers ce témoignage faire taire à sa façon les apôtres du révisionnisme. Un beau moment de vérité et d’émotion !

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• L’adaptation du livre de Francine Christophe

C’est un travail sur la Mémoire Collective. Ce n’est pas un récit. C’est une série de photos.Beaucoup ont été perdues dans sa mémoire d’enfant, elle ne garde que celles aux contours définis.Ce n’est pas de la littérature. Elle a consigné dès l’âge de douze ans ses souvenirs au fur et à mesure qu’ils émergeaient de ce désert spirituel dans lequel l’avait plongé la souffrance, pensant, dès cette époque qu’il lui fallait témoigner. Le 17 juillet 1942, au cours d’une réunion avec les responsables de la gestapo, les représentants de la Police française insistent pour que les enfants soient déportés avec leurs parents. Dès le 31 juillet 1942, les mères sont déportées et contraintes par les gendarmes français, de se séparer de leurs enfants et de les abandonner. Il reste alors environ 1800 enfants à Pithiviers et 1500 enfants à Beaune la Rolande qui sont livrés à eux-mêmes dans une détresse totale. A partir du 11 août les internés de Drancy voient arriver de Pithiviers des convois d’enfants âgés de 2 à 14 ans, dont l’état de santé est aussi mauvais que leur moral. Ces milliers d’enfants sont déportés à partir du 17 août 1942 vers le camp d’Auschwitz et gazés aussitôt après leur arrivée.

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• La presse

Admirable Mireille Perrier – Marianne

Mireille Perrier, une grande comédienne – Le Nouvel Observateur

Mireille Perrier lumineuse – Zurban

Pour se souvenir, dans la grâce – Télérama

Un moment de pure émotion – Le Journal du Dimanche

Outrageusement généreuse, Mireille Perrier irradie le spectacle – Les Inrockuptibles

Une comédienne rare – Le Figaroscope

Le talent rare et l’intelligence de Mireille Perrier – L’Avant-Scène

Le spectacle nous attrape les oreilles et le cœur ! l’un des plus beaux spectacles du moment ! – A Nous Paris

Bouleversant ! la petite sœur d’Anne Franck – Paris Match

Une bouleversante rigueur. Mireille Perrier, si bouleversante, si sobre qu’on en à l’âme chavirée. Elle est à la fois la petite fille, et l’adulte, elle est ferme, nette, impeccable et toujours tellement profonde ! On sort de là ayant traversé des émotions inouïes, on sort de là fort d'une parole vraie. C’est du grand théâtre ! – Le Quotidien du Médecin

Bouleversant, un témoignage rare ! - Le Parisien Libéré

Francine Christophe, une vivante de génie ! Mireille Perrier confondante ! notre gratitude à Philippe Ogouz – Le Monde

A la fin de la représentation, applaudissements et larmes se mélangent, c’est l’émotion –  Euro J Magazine

Allez voir et entendre Mireille/Francine, emmenez vos enfants, vos élèves, vos petits-enfants s’imprégner de l’histoire d’une enfance saccagée, ils comprendront son message universel – Le Patriote Résistant

Selon les épisodes qu’elle rapporte, la voix de Mireille Perrier change de registre, sans jamais tomber dans le pathos, ni l’expression outrancière d’une souffrance hors du commun. Comme toujours elle est juste – L’express, Le Magazine

Epoustouflante Mireille Perrier. Une spectacle rare et nécessaire pour parents et adolescents. – La Tribune

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