Une Carmen arabo-andalouse

du 20 novembre 2001 au 6 janvier 2002

Une Carmen arabo-andalouse

Une Carmen arabo-andalouse venue de l’Atlas en quête de liberté.

“Elle avançait en se balançant sur ses hanches comme une pouliche du haras de Cordoue...”

Fougueuse, fière, scandaleuse, douce et cruelle, Carmen révèle une image sauvage et fascinante de l’amour. Il s’agit ici d’une Carmen andalouse, symbole du métissage artistique, carrefour des cultures méditerranéennes de Marrakech à l’Andalousie. Fruit de la collaboration entre l’Institut français de Marrakech et l’Opera Éclaté, cette version de l’opéra comique de Bizet mêle musique classique et éléments traditionnels marocains.

« Les mythes – comme tout ce qui vit – ont besoin d’être irrigués et renouvelés sous peine de mort. » Michel Tournier

« Il y a dans la nouvelle de Mérimée et dans la musique de Bizet, une brutalité, des ombres qu’il m’apparaît intéressant de mettre en relief. Il y a dans les tonalités et les sonorités des instruments arabes, un lien fort avec les différents thèmes de Bizet. Il y a aussi dans ces danses populaires, dans ces diseurs de bonne aventure, une ambiance telle qu’on aurait pu l’imaginer à Cordoue au XIIe siècle, âge florissant de l’art arabe. Alors pourquoi ne pas imaginer une Carmen descendant de l’Atlas ou du Rif vers le sud de l’Espagne, région qui a tant de parenté avec celle de Tanger. On retrouvera tout ce que l’on connaît, mais à partir de cela, on découvrira une vision plus humaine et plus rugueuse des personnages. L’intimité créée par les lieux et par l’orchestration nous mettra face à l’insoutenable désir de liberté de Carmen et l’insoutenable descente aux enfers de Don José… Et, malgré la mort, à l’impératif besoin de vivre jusqu’au bout sa vérité. » Olivier Desbordes

Sélection d’avis du public

Une Carmen arabo-andalouse Le 1er janvier 2002 à 19h20

Monsieur Olivier Desbordes est malheureusement un triste personnage qui détruit l opera et ses artistes.Il s entoure de médiocres comme lui et c est cela sans doute son plus grand défaut...

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Une Carmen arabo-andalouse Le 1er janvier 2002 à 19h20

Monsieur Olivier Desbordes est malheureusement un triste personnage qui détruit l opera et ses artistes.Il s entoure de médiocres comme lui et c est cela sans doute son plus grand défaut...

Informations pratiques

Théâtre Silvia Monfort

106, rue Brancion 75015 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Bar Restaurant
  • Métro : Porte de Vanves à 417 m
  • Tram : Brancion à 251 m
  • Bus : Morillons - Brancion à 104 m, Brancion - Morillons à 166 m, Fizeau à 186 m, Porte Brancion à 236 m, Vercingétorix - Paturle à 360 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Théâtre Silvia Monfort
106, rue Brancion 75015 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 6 janvier 2002

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