Brève biographie de Tamerlan
Portrait de Tamerlan
Tamerlan, la pièce
Tamerlan dans
luvre de Marlowe
Origines. Tamerlan était né en 1336 en Transoxiane, dans un faubourg de la ville de Kech (Chakhrisabz), à une centaine de kilomètres de Samarkand. Sa famille était issue des groupes de tribus nomades qui sétaient installées dans cette région de lAsie centrale à la suite des invasions et des transhumances, et que lon appelait péjorativement Karaunas (sang-mêlé). Taragaï, le père de Tamerlan, était le chef dun de ces groupes qui dominait Kech et qui portait un nom tribal dorigine mongole : Barlas. Ces Barlas sétaient profondément turquisés et avaient adopté lislam sunnite, tout en se sédentarisant partiellement. Ils ne représentaient dailleurs quune force assez modeste dans un pays en proie à lanarchie féodale depuis laffaiblissement du pouvoir gengiskhanide, incarné en Transoxiane par les descendants de Tchaghataï, un des fils de Gengis Khan.
Son nom et sa jeunesse Il portera toute sa vie le nom de Timour Beg, ou
dEmir Timour (ce qui signifie Timour le seigneur). Il refusa de se faire appeler roi
ou empereur, bien quil en ait eu tous les pouvoirs, par calcul politique. Sa
première épouse, Saraï Mulk Khanum, était apparentée à la famille gengiskhanide.
A cause de sa démarche pénible, conséquence de blessures infectées, jamais guéries
(elles développèrent des tumeurs), reçues pendant son adolescence, les Iraniens le
surnommèrent Timour Leng (Timour le boiteux) dont les Européens firent Tamerlan.
Son nom ne commence à être cité dans les chroniques quà partir de sa seizième
année, à loccasion de sa participation, encore modeste, aux conflits locaux des
féodaux. On ne sait pas grand-chose de son enfance, sinon quil participait aux jeux
des jeunes Barlas et à la garde des troupeaux de la collectivité. On rapporte aussi,
hélas trop brièvement, quil accompagnait son père, devenu membre dune
confrérie de soufis, à la mosquée et quil assistait aux réunions des derviches.
Peut-être devint-il un de leurs initiés, car il entretint des relations privilégiées
avec eux pendant son règne. On peut aussi supposer que cest auprès des soufis de
Kech quil acquit les bases de ses étonnantes connaissances en matière de religion
et dhistoire, ainsi que dans lart du maniement des hommes, qui
impressionnèrent ant ses contemporains et qui intrigueront ses biographes.
Le conquérant Au bout de dix-huit années dépreuves, passant tour à
tour de la position de fugitif à celle de mercenaire ou de chef de bandes, Tamerlan
réussit enfin à semparer du pouvoir en Transoxiane. Son premier acte de souverain
fut de faire de Samarkand sa capitale. Il entreprit ensuite la conquête de lAsie et
en trente-cinq ans il arriva à se tailler un immense empire qui allait de la
Méditerranée à la Chine, de lInde aux territoires russes. Après avoir vaincu les
meilleurs soldats de son temps, les tribus de la Horde dOr, les Mamelouks de Syrie
et les Ottomans de Turquie, il mourut à soixante-dix ans à la veille denvahir la
Chine.
Doué dun extraordinaire charisme, il avait bâti sa puissance sur le dévouement
sans borne de ses guerriers à sa personne, et son génie militaire lui avait fait
réussir ses fulgurantes campagnes. Mais, pour briser tout esprit de résistance et
empêcher toute velléité de révolte des populations et des garnisons des pays envahis,
il employait des méthodes terrifiantes : massacres, prises desclaves, pillages
systématiques, destructions
Quelques tours élevées avec des têtes coupées
servaient davertissement aux rebelles potentiels. Cependant, lorsque les armées
sétaient tues et que ladversaire était dompté, les populations étaient
relativement bien traitées, bénéficiaient dune administration efficace et
pouvaient participer à la prospérité de lempire qui sétait
considérablement développé depuis que Tamerlan avait réorganisé et assuré la
protection des grandes routes du commerce pan asiatique.
Le constructeur. Au cours de ses conquêtes, Tamerlan ordonnait à ses troupes dépargner et de protéger les élites des pays envahis, savants, lettrés, religieux, architectes, artistes et artisans, pour les envoyer résider à Samarkand afin quils contribuent au rayonnement et à lembellissement de sa capitale. Grâce à leur concours, aux immenses richesses provenant de butins de guerre et des revenus des routes de la soie, la Samarkand de Tamerlan atteignit son plus haut degré de prospérité et de gloire. Sous son impulsion, la ville sorna de splendides monuments réalisés avec la participation darchitectes et de décorateurs, sous la direction de maîtres iraniens venus des pays conquis, fondant ainsi ce mouvement artistique nouveau et syncrétique que lon appellera la Renaissance Timouride. Mais cest limage du Tamerlan conquérant sanguinaire et destructeur qui est restée dans notre histoire et qui a occulté celle du Tamerlan organisateur, protecteur des savants et des artistes, et constructeur, fondateur de la splendide école darchitecture timouride.
Les miniatures persanes et timourides ne le représentent
quimparfaitement, car lart du portraitiste y est trop soumis à des règles
classiques et rigides sans souci de la ressemblance. Lécrivain Ibn Arabchah, son
contemporain, est le seul peut-être à en avoir donné une évocation fidèle :
Tamerlan était grand et robuste. Sa tête était massive, son front élevé et sa
peau blanche et saine. Il avait de la prestance, de larges épaules, des jambes longues et
des mains fortes. Il était manchot et boiteux du côté droit. Il portait la barbe
longue. Son regard avait une lueur troublante et sa voix était forte et perçante. Âgé
de près de quatre-vingts ans, il jouissait de toutes ses facultés. Son esprit était
resté ferme, son corps vigoureux et sa volonté inébranlable .
(Extrait dIbn Arabchach, Etrangeté du destin sur les aventures de Timur, 1440 (?), traduction française de Pierre Vattier, Paris, 1658.)
Clavijo, qui lavait approché, dit seulement quil était si vieux que
les paupières lui tombaient sur les yeux.
En 1941, les restes de Tamerlan furent extraits momentanément de son tombeau du Gour-e
Mir pour être étudiés par des chercheurs soviétiques. Le squelette était celui
dun homme grand pour le XVème siècle : 1m70, aux os robustes, sauf ceux de la
jambe droite atteints dune dégénérescence dordre pathologique et ceux du
bras droit, moins touchés, mais avec deux phalanges de la main très abîmées. Plusieurs
entailles sur ces os indiquaient des blessures par armes tranchantes.
(Voir Lucien Kehren, Tamerlan, éd. La Baconnière, Neuchâtel, 1978, p. 163-164.)
Lanthropologue Guerassimov réalisa à partir du crâne une reconstitution de la tête de Tamerlan qui a été souvent reproduite. Le front est large, le menton carré, les pommettes saillantes, le nez épaté, les yeux écartés et bridés. Le visage exprime une cruauté hautaine si appuyée que lon peut penser que cette exagération de la part de Guerassimov correspond aux instructions des autorités staliniennes qui voulaient effacer ou décrier tout ce qui aurait pu servir à mettre en valeur lhistoire des peuples dAsie centrale, car Arabchah et Clavijo rapportent que Tamerlan montrait à loccasion affabilité et courtoisie.
Tamerlan ou Timour-Leng (1336-1405) qui, à lexemple de Gengis-Khan, fonda le second empire mongol, exerça une véritable fascination sur les écrivains de la Renaissance (Ruy Gonzàlez de Clavijo, Pero Mexia, Paolo Giovio, Pietro Perondino, Abramo Ortelio) par sa férocité et le faste oriental dont il sentoura.
Le poète anglais Christopher Marlowe (1564-1593) sest inspiré de Mexia et de Perondino dans ses Tamerlan (Tamburlaine I & II), pièces représentées en 1587 (bien que la première ait sans doute été rédigée à Cambridge, un an auparavant) et publiées ensemble en 1590, expurgées toutefois des scènes grotesques insérées par les clowns élisabéthains. La pièce met en scène lauthentique conquérant mongol Timour-Leng (le boiteux), surnommé Tamerlan. Simple berger, puis chef dun clan de petits voleurs, ambitieux, il défait le roi de Perse avant de voler de victoire en victoire jusquà parvenir, comme il la voulu, au sommet de la puissance. Sa soif rassasiée ne lempêche pas dagir comme le dernier des sadiques. Il encage Bajazet, sultan de Turquie (qui lui sert parfois de tabouret ou de trône), et finit par le pousser au suicide. Les rois vaincus lui servent de montures pour tirer son char. Le conquérant se laisse pourtant conquérir par Zénocrate (devenue Apollonie, dans la version française), la fille du sultan dEgypte : elle parvient à sauver la tête de son père, même si tous les habitants de Damas sont massacrés.
Le succès hystérique de la pièce
Le succès hystérique de la pièce poussa le directeur du théâtre à commander une suite. Pressé par le temps, Marlowe neut pas loccasion de se livrer à des recherches historiques comme pour son premier Tamerlan. Mais quimporte pour qui possède une carte géographique et pour qui connaît linculture du public : Tamerlan II, dénué de toute réalité historique, propulse définitivement Marlowe au rang des premiers dramaturges de son temps. Cette fois, Tamerlan affronte lOccident, entre autres Sigismond de Hongrie qui se fait battre. Tamerlan se sent vieillir et se consacre à léducation de ses fils, nhésitant pas à en tuer un qui lui paraissait trop mou. Comme pour Tamerlan I, la pièce se termine sur un paroxysme de cruauté : le sultan triomphe sur son char traîné par les rois vaincus dans les bouches desquels il a fourré des mors et quil traite comme des montures, à grands coups de fouet. Après avoir massacré sauvagement le gouverneur de Babylone, il affronte la mort en inondant ses fils de conseils. Travaillant pour lacteur Edward Alleyn, Marlowe a centré ses deux pièces sur un seul personnage dexception. Tamerlan (sans doute la projection de lauteur) est un surhomme qui se veut une plaie de lhumanité. Sa volonté de puissance, son cynisme, son sadisme rappellent les théories de Machiavel, que Marlowe avait lu dans le plus grand secret, et annoncent celles de Nietzsche. Jésuite avant la lettre, Tamerlan ne connaît aucun ami, ne reconnaît aucune promesse, renverse les alliances comme du sel sur la table et, surtout, se gargarise de sa cruauté. Prodigieux automate quanime un unique ressort, rien ne larrête, ni force extérieure ni pitié intérieure. La trajectoire de ce projectile humain est tracée comme celle dune comète dévastatrice qui suit son orbite avec lentêtement sourd et aveugle de la Destinée. (F. C. Danchin).
Lécrivain espagnol Luis Vélez de Guevara (1579-1644) a écrit le Grand Tamerlan
de Perse On doit également à lAnglais Nicholas Rowe (1674-1718) une tragédie,
Tamerlan, sur le même sujet.
Cest une image toute neuve du conquérant que nous propose lécrivain
américain Edgar Allan Poe (1809-1849) dans un de ses poèmes de jeunesse,
dinspiration byronienne, publié en 1827 dans le volume intitulé : Tamerlane and
Other Poems. Cest une confession de Tamerlan au soir de sa vie, dans laquelle il
livre le secret dun cur las de lorgueil et du déshonneur. Il raconte
comment lui vint le goût des conquêtes et comment il aima une jeune fille
dun amour qui eût fait envie aux anges eux-mêmes . Sans doute ses rêves de
grandeur ne lauraient-ils jamais mené aussi loin sil navait, joignant
lamour à lambition, voulu donner à sa Dame un empire. Parvenu à la
toute-puissance, Tamerlan nest au fond, quun proscrit ceint du diadème
et, lorsque après tant de conquêtes il regagnera sa capitale, ce sera pour
constater que la jeune fille quil aimait nest plus, et quelle est morte
peut-être de douleur et dabandon. Le Tamerlan dEdgar Poe est moins une
créature vivante quun symbole, mais déjà on y pressent, par endroits, la poésie
simple dAnnabel Lee.
Dans le domaine musical, nombreux sont les opéras consacrés à Tamerlan. Rappelons ceux
de : Georg Friedrich Haendel, Nicolas Porpora, Antonio Vivaldi, Anton Maria Sacchim.
Nouveau dictionnaire des auteurs de Laffont-Bompiani, Robert Laffont, 1994
(
) Toutes les pièces de Marlowe peuvent se résumer en un seul nom, en un seul
type, qui reste à jamais imprimé dans limagination de traits ineffaçables : Tamerlan,
Faust, le Juif de Malte,
le Duc de Guise. Ces personnages hors nature sont véritablement ce que
Marlowe a voulu quils fussent : le démon idéal de la conquête et de la gloire,
aussi bien Napoléon que Tamerlan, le démon de la haine et du fanatisme, le démon de
lambition et du Machiavélisme, le démon de la science et de lorgueil
intellectuel.
Tamerlan, étant le premier-né de Marlowe, devait se ressentir plus que tous ses autres
drames des défauts et des absurdités inséparables de sa tentative révolutionnaire.
Comme tout innovateur audacieux, il dépassait son but. Mais ce débordement
dénergie et de passion, cette fougue que rien ne peut contenir, cette emphase,
cette pompe, cet éclat de langage, cette profusion et cette hardiesse de métaphores, qui
détonnent si étrangement avec le ton ordinaire et la platitude de la plupart des pièces
en faveur de son temps, et qui font sourire aujourdhui notre dilettantisme nerveux
et blasé, tout cela devait enthousiasmer jusquà la fureur un public ouvert à
toutes les impressions vives, amoureux du grand, du violent, de loutré, du
gigantesque. Les spectateurs, étrangers aux délicatesses et aux raffinements dun
goût artificiel et savant, ne ressentaient pas comme nous, formés à la tendre musique
de Racine, les exagérations de la pensée ou du style, ne sarrêtaient point à
épiloguer sur la monotonie, les négligences et les faiblesses de la versification. Le
souffle des beaux endroits les portait haletants et émerveillés jusquà la fin.
Ils ny découvraient rien de mesquin, rien de trivial ; ils sabandonnaient, en
enfants ivres de jouir, au mouvement, à la vie intense des personnages, et se laissaient
soulever par cet enthousiasme juvénile qui leur montrait des êtres surhumains, des
passions surhumaines, tout en les emportant dans une atmosphère inconnue de lyrisme
harmonieux et divin. Nous pouvons nous faire une idée de ce moment unique dans
lhistoire de la littérature anglaise par lenthousiasme qui accueillit en
France les premiers chefs-duvre de notre école romantique ; Victor Hugo ne
triomphe dans le drame quen revenant en une certaine mesure aux procédés favoris
de Marlowe et de son école. Il y a beaucoup moins loin de Hernani
à Tamerlan quà Iphigénie ou
à Phèdre. (
)
Jean Richepin. (Préface) in Christopher Marlowe, Théâtre. Albert Savine éditeur, 1889.
( ) Comme le Cid, Tamerlan conquit du premier jour le public parce quil exprime lenthousiasme irrésistible de la jeunesse et lambition sans limite de la Renaissance. Marlowe se garde bien, dailleurs, de faire ne fût-ce quune allusion à la boiterie du vrai Tamerlan, alors que cette difformité physique était à peu près tout ce que les Européens savaient sur lui en tant quindividu. Son protagoniste se rapproche du peintre beaucoup plus que du modèle, à en juger par ses caractéristiques : volonté de puissance qui franchit les frontières admises, foi invincible en sa fortune, maîtrise totale sur sa propre destinée, balance établie entre les satisfactions matérielles et les conquêtes de lintelligence, scepticisme à légard des convictions religieuses et morales, suprématie de la force sur le droit des rois quil vienne de Dieu ou de la tradition, cruauté se réjouissant en elle-même, transfiguration de lappétit du pouvoir en une aspiration surhumaine vers la connaissance et la beauté. Est-il nécessaire de souligner à quel point ce portrait préfigure le surhomme de Nietzsche ? ( )
Denis Marion in Christopher Marlowe, dramaturge. LArche éditeur, 1955.
Deux tiers qui se barre ? Et alors. Y faut voir qui. A force de developper une politique d'abonnements, n'importe qui vient au theatre. Beaucoup de beau monde... Les deux tiers qui sont partis ce soir la sentaient la fourrure et le troisieme age. Ils ne pouvaient etre que choquer par la mise en scene non conventionnelle du JBS. S'il y a peut etre quelques imperfections on ne peut ni nier l'invention, ni les grands moments de verites. A puis un grand coup de pied dans le monde du theatre parisien ca fait du bien. Il faut survivre a Regy, c'est une necessite. Peut etre qu'il faut le renier(?) un instant.
Aïe aïe aïe, les deux tiers de la salle se sont vidés en une heure ! je dois aller voir cette pièce le mois prochain, je crains le pire. J'ai lu la plaquette, déjà l'hisoire semble très compliquée... Est-ce le texte au départ ou la mise en scène qui rend le tout inaccessible ?
il semble que sastre pense que la mise en scène peut êter indépendente du texte. Une suite d'idées, de bon coups, de gagues ; l'idée que la mise en scène soit au service du texte, l'éclaire, mettre en évidence des points de vue non encore explorés lui échape totalement. Nous en avons pris plein la vue au point de ne plus voire la scène. Les expériences sont toujours bonnes, il faut se souvenir de celles qui sont négatives, afin de ne jamais les reproduire. J'espère que se sera le cas. Une salle qui se vide des deux tiers en une heure, est un indice qui ne doit pas être négligé.
Deux tiers qui se barre ? Et alors. Y faut voir qui. A force de developper une politique d'abonnements, n'importe qui vient au theatre. Beaucoup de beau monde... Les deux tiers qui sont partis ce soir la sentaient la fourrure et le troisieme age. Ils ne pouvaient etre que choquer par la mise en scene non conventionnelle du JBS. S'il y a peut etre quelques imperfections on ne peut ni nier l'invention, ni les grands moments de verites. A puis un grand coup de pied dans le monde du theatre parisien ca fait du bien. Il faut survivre a Regy, c'est une necessite. Peut etre qu'il faut le renier(?) un instant.
Aïe aïe aïe, les deux tiers de la salle se sont vidés en une heure ! je dois aller voir cette pièce le mois prochain, je crains le pire. J'ai lu la plaquette, déjà l'hisoire semble très compliquée... Est-ce le texte au départ ou la mise en scène qui rend le tout inaccessible ?
il semble que sastre pense que la mise en scène peut êter indépendente du texte. Une suite d'idées, de bon coups, de gagues ; l'idée que la mise en scène soit au service du texte, l'éclaire, mettre en évidence des points de vue non encore explorés lui échape totalement. Nous en avons pris plein la vue au point de ne plus voire la scène. Les expériences sont toujours bonnes, il faut se souvenir de celles qui sont négatives, afin de ne jamais les reproduire. J'espère que se sera le cas. Une salle qui se vide des deux tiers en une heure, est un indice qui ne doit pas être négligé.
1, Place du Trocadéro 75016 Paris