L’attachant Bertrand Chamayou en terres romantiques.
Mendelssohn Lieder ohne Worte op. 19 n° 1 &2 ; op. 38 n° 5
Ives Song without (good) words
Mendelssohn Lieder ohne Worte op. 53 n° 4; op. 30 n° 2; op. 53 n° 3; op. 38 n° 2
Fauré Romance sans paroles op. 17 n° 3
Mendelssohn / Liszt Auf Flügeln des Gesanges
Mendelssohn Lied ohne Worte op. 67 n° 4
Clara Schumann Romance en la mineur
Mendelssohn Lieder ohne Worte op. 85 n° 2; op. 30 n° 6; op. 67 n° 5; op. 67 n° 2
Schumann/ Liszt Frühlingsnacht
Lennon & McCartney / Takemitsu Golden slumbers
Schumann/ Liszt Widmung
Crumb Eine kleine Mitternachtsmusik (autour de Round Midnight de Thelonious Monk)
Kurtág Scraps of a Colinda Melody - faintly recollected (hommage à Farkas Ferenc 2) extrait de Jatékok
Schubert Wanderer-Fantaisie D. 760
Entre vignettes et pages d’envergure, Bertrand Chamayou fera chanter son clavier sans paroles, mais pas sans éloquence. Et nous offrira pour commencer un bouquet de romances mendelssohniennes piqué d’autres morceaux du genre signés Fauré, Ives ou Wieck-Schumann, ainsi que de mélodies ou chansons arrangées par Liszt et, pour les Beatles, Takemitsu. Avant de conclure la soirée avec une célèbre Fantaisie au sein de laquelle Schubert revient lui-même sur l’un de ses Lieder, le Toulousain explorera Eine Kleine Mitternacht Musik (2001), cycle de sept « ruminations » de George Crumb sur Round Midnight (Theolonius Monk). Il nous rappellera aussi, dans des échos de chants de Noël venus de l’est, ses affinités avec le minutieux miniaturiste Kurtág. De l’art d’élargir l’horizon.
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