« La princesse s’habille – belle garde-robe – des chansons de Dimey, Aznavour, Ferré, Brassens… Elle marche dans les pas des plus grands d’hier, en s’entourant des plus grands d’aujourd’hui. Elle pose son phrasé jazz dans les allées régulières de la vraie chanson française où l’on y découvre des reprises joliment taillées en standards de jazz. Un jazz subtil approché avec art et élégance… Un Album d’une grande unité de ton, à la fois grave et profond, léger et frais, rond et chaud. Le résultat est beau et généreux. » J.D-L
Ainsi, Mélanie Dahan transforme sans nostalgie de belles chansons françaises en standards de jazz. Du Bal perdu à La princesse et le croquenotes, sa voix unique fait revivre ces ritournelles, « longtemps, longtemps, après que les poètes ont disparu ». Elle revisite des textes célèbres ou au contraire peu connus de Brassens (à qui elle emprunte presque littéralement le titre de son album), Dimey, Nougaro, Aznavour et ose même Ferré !
Jeune espoir du jazz vocal français au festival Les couleurs du jazz en 2005, finaliste aux révélations Jazz à Juan la même année, Mélanie Dahan s’est créé un répertoire bien à elle et s’est forgé depuis 2001, date de la création de son premier quartet avec le pianiste Pierre Bertrand, une solide expérience de la scène. Elle est accompagnée sur ce premier album par le pianiste de jazz Giovanni Mirabassi, Marc-Michel Le Bevillon à la contrebasse, Matthieu Chazarenc à la batterie, et invité sur deux titres, le saxophoniste inspiré Pierrick Pédron.
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