Lucia di Lammermoor

Opéra Bastille , Paris

Du 14 octobre au 16 novembre 2016
Durée : 2h45 avec 1 entracte

MUSIQUE & DANSE

,

Coups de coeur

,

Opéra

,

En langue étrangère

S’appuyant sur un livret d’une clarté et d’une puissance dramatique rares, Donizetti hisse le bel canto à son stade suprême. Somptueuse fleur fracassée par la violence d’une société d’hommes, Lucia est interprétée par Brenda Rae dans la production d’Andrei Serban, dirigée par Aziz Shokhakimov.

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Spectacle terminé depuis le 16 novembre 2016

 

Lucia di Lammermoor

De

Gaetano Donizetti

,

Salvatore Cammarano

Mise en scène

Andrei Serban

Direction musicale

Aziz Shokhakimov

Avec

Quinn Kelsey

,

Brenda Rae

,

Javier Camarena

,

Thomas Bettinger

,

Adam Palka

,

Julie Pasturaud

,

Eric Huchet

En langue italienne. Surtitrage en français et en anglais.

  • Dramma tragico en deux parties (1835)

« La terre et le ciel m’ont trahie ! Je voudrais pleurer mais je ne puis… Les pleurs mêmes m’abandonnent ! » Lucia, Acte II, scène 6

Dans les collines de Lammermuir, au sud de l’Écosse, la belle Lucia retrouve à chaque aurore un mystérieux jeune homme dont elle est amoureuse : Edgardo, de la lignée des Ravenswood. Mais comme dans Roméo et Juliette de Shakespeare, les amants sont issus de deux familles en guerre et n’ont pas le droit de s’aimer.

L’histoire authentique de Janet Dalrymple – qui assassina son mari pendant sa nuit de noces et le paya de sa raison – avait déjà inspiré un roman à Walter Scott. Donizetti s’en empare et Lucia di Lammermoor connaît un succès immédiat à sa création à Naples en 1835. S’appuyant sur un livret d’une clarté et d’une puissance dramatique rares, le compositeur hisse le bel canto à son stade suprême.

Devenu emblématique de l’opéra romantique, le célèbre « air de la folie » incarne aujourd’hui encore la magie de la musique italienne. Somptueuse fleur fracassée par la violence d’une société d’hommes, Lucia est interprétée par la Sud‑Africaine Pretty Yende, étoile montante de la scène lyrique, dans la production d’Andrei Serban, dirigée par Riccardo Frizza.

D'après Walter Scott, La Fiancée de Lammermoor.
Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris.
Chef des Choeurs : Ching-Lien Wu

  • La presse

« Mais le véritable atout de Pretty Yende est sa voix. Un timbre à la fois ambré et lumineux, riche, soyeux, dense. Une vocalité rayonnante au charme irrésistible. Un chant d’une justesse et d’une précision à faire pâlir la flûte qui gravite avec elle dans la cosmogonique « scène de la folie », des graves capiteux, des aigus dardés comme des lames de feu, la chaleur du soleil et l’attraction de la lune. » Marie-Aude Roux, Le Monde, 20 octobre 2016

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Mirjana O. (5 avis) 17 novembre 2016

Lucia di Lammermor Merveille de merveille et +
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