Le Voyageur sans tête

Clamart (92)
le 27 novembre 2001

Le Voyageur sans tête

Max part pour un long voyage. Son errance est une quête d’identité au cours de laquelle il rencontre des créatures plus fantastiques les unes que les autres : des personnages en papier ou en fil lumineux, un couple de danseurs sans tête, des squelettes très remuants... Il en perd la tête !

 
Présentation
Rencontre avec Richard Zachary
Revue de presse en France et à l'étranger des précédentes créations du Théâtre Fantastique
La presse

Max part pour un long voyage. Son errance est une quête d’identité au cours de laquelle il rencontre des créatures plus fantastiques les unes que les autres : des personnages en papier ou en fil lumineux, un couple de danseurs sans tête, des squelettes très remuants... Il en perd la tête !
Richard Zachary, maître d’œuvre de ce périple marie avec talent les techniques traditionnelles du théâtre noir, du mime, de la danse, avec celles plus contemporaines de la vidéo, de l’image de synthèse ou encore de la fibre optique. Ce spectacle totalement visuel et musical, touche les cœurs et chatouille l’imagination des petits et des grands : c’est inventif et éblouissant de virtuosité. L’atmosphère est à la fois magique, romantique et drôle. Un spectacle burlesque et futuriste à découvrir en famille.

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Un théâtre Visuel et musical

Dans tous mes spectacles, j'emploie divers moyens d’expression : le mime, la danse, les marionnettes, le théâtre noir, les masques, les objets animés et des technologies nouvelles. Je détourne les objets de leur utilisation traditionnelle. Une simple feuille de papier, quand elle a la taille d’une porte et qu’on la manipule dans la lumière noire, devient vivante et expressive : elle peut sauter de joie ou au contraire se rétracter et se froisser dans la douleur…Je fais des ballets de lumière avec, par exemple, des balles de ping-pong illuminées de fibres optiques. Pour les costumes, je privilégie les matières telles que plastique, papier, latex, mousse, ampoules lumineuses, fibre optique…
Mon travail est principalement visuel et sonore. La musique conditionne l’atmosphère, le jeu de l’acteur et le rythme de mes spectacles. J'emploie tous les genres de musique : du blues pour accompagner des personnages électroluminescents, de la musique baroque pour un ballet de fibres optiques, du tango pour faire danser des amibes en lycra de six mètres de circonférence, des percussions indonésiennes pour accompagner la multiplication de molécules en polystyrène.

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Théâtre et nouvelles technologies

Tout en affirmant la primauté du jeu corporel de l’acteur, je suis fasciné par les possibilités narratives et ludiques de la réalité virtuelle, des images de synthèse, du laser, de la fibre optique, de la projection vidéo sur grand écran ou du MIDI, le langage informatique de la musique…
Les nouvelles technologies permettent de revisiter la mythologie. Le héros de « Voyageur sans tête » vit dans le troisième millénaire où notre perception du monde est conditionnée par les images télévisuelles et l’informatique.

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Masques et métamorphoses

Comme Ulysse dans l’Odyssée, Max part pour un long voyage. Son errance est une quête d’identité. Il rencontre des femmes, des sirènes et des démons, mais ces créatures fantastiques surgissent de son inconscient.
Les pouvoirs de métamorphose du masque lui permettent de se dédoubler, de se démultiplier. Le masque vidéo (masque composé d’un écran à cristaux liquides) permet de dépasser les limites du masque traditionnel. L’acteur peut changer non seulement d’expression mais aussi de personnage.
Le masque vidéo exprime le mouvement des pensées, des émotions et des souvenirs. Si je superpose l’image de mon propre visage sur mon visage grâce au masque vidéo, on obtiens un décalage qui permet de représenter mon inconscient, mes rêves…

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« Une suite d’images époustouflantes, un voyage théâtral dansant et inventif… Une musique surprenante, une imagination où l’invention le discute à la fantaisie font de ce voyage entre théâtre visuel et théâtre virtuel un petit bijou à voir absolument. » L’Humanité.

« Maintenant on sait de quelle étoffe sont faits les rêves. » Rheinische Post, Allemagne.

« 10 000 trouvailles à la seconde, un univers imaginaire où l’imagination est reine. » Journal du Centre.

« Magique, merveilleux, surréaliste…un poème dans lequel la vie se crée et se développe d’une façon nouvelle…Pas de dialogues, seulement une musique en parfaite harmonie avec le visuel. » République du Centre.

« Certains spectateurs réticents au début sont partis émerveillés, tout comme les enfants d’ailleurs, heureux d’avoir vu ce beau théâtre d’images. La troupe du Théâtre Fantastique nous a offert un spectacle de grande qualité et surtout plein d’originalité ! » Le Dauphiné Libéré

« Surgissent là des créatures fantastiques créant une atmosphère absolument magique autant que romantique saupoudrée de drôlerie. Les costumes étonnants se dessinent en milliers de lumières, allumant des étoiles dans les yeux du public. Dans cet espace réel-virtuel, on retrouve la trace de la tradition du théâtre noir où s’illustrèrent quelques grands magiciens sur les scènes des music- halls. » Le Berry, Printemps de Bourges.

« Toute cette fantasmagorie procède d’un art totalement neuf, original. C’est beau, fascinant, déconcertant de virtuosité et en même temps cela semble si simple qu’on a l’impression en le quittant, d’avoir rêvé. » La Voix du Nord.

« Les spécialités les plus remarquables de la troupe sont les ballets de lumières aux multiples facettes. »Bergische Morgenpost, Allemagne.

« Un travail quasiment inclassable tant il emprunte à la fois au cirque, au mime, à la musique, à l’ordinateur, au dessin, au collage, au gribouillage, qui lentement fait plonger le témoin dans un autre univers. » La Marseillaise

« We loved il. » Lethbridge Herald, Canada

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“Ovation énorme, rappels à l’infini, adultes debout, enfants époustouflés. (...) Ce qui fait dire à ma voisine, une dame venue à tout hasard : “Quand j’ai vu tous ces enfants, j’avais peur de m’être trompée. Mais là, je dois reconnaître...” Reconnaître qu’autant de talent, c’est gonflé.” Télérama

« Toute cette fantasmagorie procède d’un art totalement neuf et original. C’est beau, fascinant, déconcertant de virtuosité et en même temps cela semble si simple qu’on a l’impression en le quittant d’avoir rêvé. » - La Voix du Nord

« Un travail quasiment inclassable tant il emprunte à la fois au cirque, au mime, à la musique, à l’ordinateur, au dessin, au collage, au gribouillage, qui lentement plonge le témoin dans un autre univers. » - La Marseillaise.

« Si vous recherchez la surprise, la plongée dans l’inconnu, foncez tout de suite voir en famille « Voyageur sans tête ». Le Figaroscope.

Un spectacle totalement visuel et musical qui touche les cœurs et chatouille l’imagination : c’est inventif, éblouissant de virtuosité. Projeté dans un monde étrange peuplé de créatures fantastiques, Max perd la tête !

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Sélection d'avis des spectateurs - Le Voyageur sans tête

Clown Par Hachi P. - 28 décembre 2017 à 21h03

Ce spectacle oublié, devrait refaire surface si une vidéo a été faite, pour la simple raison que le fameux clown Jonathan Lambert Irlandais excellait dans l'art de l'imagination, digne d'un Charlie Chaplin, de Buster Keaton, Stan Laurel, et des MARX BROTHERS, Son menthor Marcel Marceau le désignant ainsi, étant fier d'avoir ce personnage sur sa route, a qui il demanda de lui écrire des sketchs quand celui ci fut agé

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Clown Par Hachi P. (1 avis) - 28 décembre 2017 à 21h03

Ce spectacle oublié, devrait refaire surface si une vidéo a été faite, pour la simple raison que le fameux clown Jonathan Lambert Irlandais excellait dans l'art de l'imagination, digne d'un Charlie Chaplin, de Buster Keaton, Stan Laurel, et des MARX BROTHERS, Son menthor Marcel Marceau le désignant ainsi, étant fier d'avoir ce personnage sur sa route, a qui il demanda de lui écrire des sketchs quand celui ci fut agé

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Théâtre Jean Arp

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