
En l’An de grâce 1158, le Roi Gauthier II de Bougredec pleure l’absence d’une épouse et d’un dauphin, tandis que les Anglois assiègent son château délabré. L’irruption magique de Caroline, styliste contemporaine catapultée depuis de XXIème siècle, vient bouleverser ce joyeux capharnaüm médiéval.
En l’An de grâce 1158, le Roi Gauthier II de Bougredec pleure l’absence d’une épouse et d’un dauphin, tandis que les Anglois assiègent son château délabré. Son conseiller Facile, son preux chevalier Gonzagues et sa soeur Beth rivalisent de maladresses pour tenter de sauver le royaume.
L’irruption magique de Caroline, styliste contemporaine catapultée depuis de XXIème siècle, vient bouleverser ce joyeux capharnaüm médiéval. Mais qui est-elle vraiment ? Suzanne, la chambrière disparue ? Une élue des Dieux ? Une menace pour l’ordre établie !
Portée par un langage ciselé et farfelu, une galerie de personnages hauts en couleur et des ruptures de ton délicieusement absurdes, Le Royaume de Bougredec est une comédie anachronique aussi rythmée que déjantée. Elle joue avec les codes du théâtre classique, du vaudeville et de la parodie historique pour mieux interroger le désir d’amour, de reconnaissance… et de pouvoir.
Cette jeune troupe déborde d'énergie et d'inventivité, et elle nous embarque sans effort dans une histoire aussi bien écrite que pleine de surprises. On aurait pu craindre une énième parodie façon Kaamelott, mais non : ici, c’est du neuf, du frais, du malicieux. Le roi et son fou forment un duo explosif — une sacrée complicité et une énergie qui fait mouche. Les situations comiques s’enchaînent bien, portées par un vrai sens du rythme. À leurs côtés, le chevalier Gonzague et la garde forment un tandem à part, plus subtil, plus en roublardise, mais tout aussi efficace : une fine roublardise, une malice tranquille, presque fusionnelle... L’équilibre entre les styles fonctionne à merveille. Alors oui, parfois, on aimerait une petite pause, un souffle… mais franchement, quand on rit autant, on ne va pas chipoter. Le sourire reste accroché du début à la fin. C’est intelligent, drôle, surprenant. Bref : une vraie réussite. Quel bonheur de découvrir une création aussi vive, malicieuse et sincère. Tout ce qui nous fait aimer le théâtre est là, réuni sur un seul plateau. Bravo et MERCI pour ce joli moment !
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Cette jeune troupe déborde d'énergie et d'inventivité, et elle nous embarque sans effort dans une histoire aussi bien écrite que pleine de surprises. On aurait pu craindre une énième parodie façon Kaamelott, mais non : ici, c’est du neuf, du frais, du malicieux. Le roi et son fou forment un duo explosif — une sacrée complicité et une énergie qui fait mouche. Les situations comiques s’enchaînent bien, portées par un vrai sens du rythme. À leurs côtés, le chevalier Gonzague et la garde forment un tandem à part, plus subtil, plus en roublardise, mais tout aussi efficace : une fine roublardise, une malice tranquille, presque fusionnelle... L’équilibre entre les styles fonctionne à merveille. Alors oui, parfois, on aimerait une petite pause, un souffle… mais franchement, quand on rit autant, on ne va pas chipoter. Le sourire reste accroché du début à la fin. C’est intelligent, drôle, surprenant. Bref : une vraie réussite. Quel bonheur de découvrir une création aussi vive, malicieuse et sincère. Tout ce qui nous fait aimer le théâtre est là, réuni sur un seul plateau. Bravo et MERCI pour ce joli moment !
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