La danse des poules

Il est belge, elle est canadienne. Ils se sont rencontrés à Paris en 1980 où ils ont étudié Jacques Lecocq. " C’est un itinéraire propre au clown. Le rire, fragile, imprévisible, viscéral, se maîtrise au fil du temps. Au cours de chaque représentation, nous cherchons une certaine complicité, une qualité de rire, une pureté dans le geste… dans la confrontation à des publics sans cesse renouvelés, le spectacle s’enrichit, évolue, s’affine… " .

 " D’une pauvreté de décor, ils font une vertu. Proche de Chaplin dans la case des petits pains, leur burlesque utilise peu d’objets. A mi-chemin entre une histoire d’amour et un concours de gymnastique, Abel et Gordon jouent le burlesque tendre… " Libération