L'ouverture

Présentation
La lettre du metteur en scène
Le mot de l'auteur
La Compagnie du Sourire
Critiques des spectacles précédents

Présentation

Une visite inopinée d'une personne d'un service de contrôle administratif chez un ermite social. Voilà le point de départ d'une situation qui va en amener d'autres, encore plus suprenantes à bien des égards. Chacun des personnages va petit à petit casser ses barrières et essayer de jouer franc-jeu avec l'autre et se montrer tel qu'il est, sans faire pour autant tout ce qu'il dit.

La lettre du metteur en scène

Dans cette comédie philosophique chacun des comédiens doit faire évoluer le caractère de son personnage et lui apporter, lui amener progréssivement une émotion, une humanité et une réflexion ceci sans pour autant négliger le rythme nécessaire à toute comédie.

C'est cette association délicate mais indispensable que j'ai éssayé de réaliser dans la mise en scène et la direction d 'acteurs avec le concours actif de l'auteur Christian Bernard.

Le mot de l'auteur

En écrivant l'Ouverture j'ai voulu montrer que tou individu attend de vivre autre chose que sa vie actuelle. Mais c'est uniquement par "L'Ouverture" de son coeur qu'il peut y accéder.

Finalement après des réflexes de circonstances les personnages laissent apparaitre leurs rêves et c'est ce qui les rends attachants. Leurs philosophies de la vie évoluent face à l'innatendue, prouvant qu'ils peuvent se transformer en de véritables "êtres humains"!

La Compagnie du Sourire

La Compagnie du Sourire a été crée voilà déjà neuf ans par Jean-Christophe ROUX. Son but est de produire et de promouvoir ses spectacles, créations ou pièces d'auteurs confirmés.

En 90, "Feydeau à Marceau", pièce et extraits de Vaudeville, au Trois Mailletz et à la Maison de la Hollande, à Paris (60 dates).

En 91 "On Va Faire la Cocotte !" et "Mais n'Te Promène Donc pas Toute Nue!" de Feydeau, au Trois Mailletz à Paris et au Festival de Seyne sur Mer (80 dates).

En 92 "Le Canard à l'Orange" de William Douglas Home, à la Seyne sur Mer (25 dates).

En 94, "Double Jeu", une comédie de et mise en scène par Natacha Roux, au Théâtre de Nesle à Paris (30 dates).

Puis, en 95-96 "Un, Deux, Trois... Guitry !", trois pièces en un acte de Sacha Guitry, au Bateau Théâtre le Mystral et au Théâtre de Nesle, à Paris (80 dates).

En 97, "La Suite" trois mois (Mars, Avril, Mai) au Théâtre de Nesle une création de Philippe POURXET en co-production. Théâtre de Chambre de Jean Tardieu en Juillet, Aout, Septembre 97.

En 2000 "Mais n' te promène donc pas toute nue!" et "On va faire la cocotte" au Théâtre de Nesle de Mai à Juillet 2000 (80 dates).

Festival Sacha Guitry de Dax, Juin 2000, 1 représentation de ''un, deux, trois…Guitry".

Critiques des spectacles précédents

"Un, deux, trois... Guitry !" de Sacha Guitry
" La Compagnie du Sourire nous présente, dans le ravissant petit théâtre de Nesle, trois pièces de Sacha Guitry : "On passe dans huit jours", "Un type dans le genre de Napoléon" et "Une paire de gifles". Grâce à la mise en scéne faite de simplicité, on retrouve tout à fait la finesse de l'esprit de Guitry, ses dialogues à la fois tendres et fantaisistes. " Paris Paname, Eté 1996

Guitry fait le plein
" L'auditorium Maurice-Ravel affiche complet vendredi 27 février pour le très attendu spectacle intitulé "1,2,3... Guitry" (...) Délectable en soi, le texte était en outre remarquablement servi par la Compagnie du Sourire, qui s'est fait une spécialité de Guitry et donc c'était la première apparition à Levallois " Levallois Perret, Février 1998

"La suite", une comédie enlevée, pleine de rebondissements. France Inter, José Artur, Mars 1997
"La suite", un divertissement "4 étoiles"!
Une bonne comédie de genre (...) Une mise en scène vitaminante (...) un divertissement pétillant comme de l'asti Spumante. Paris Boum Boum; Myriem Hajaoui, Mars 1997

"Théâtre de Chambre" de Jean Tardieu
" Autour de l'un de leur metteur en scène, Jean-Christophe Roux, responsable par ailleurs de cette belle aventure, on a aimé Ann-Gaïd Collin, Annabelle Penard et Flavie Romer. La grâce de cette dernière, sa distinction, son talent et sa beauté bien particulière éclairent cette soirée. La Compagnie du Sourire, la bien nommée. " Le Parisien; André Fetet, Septembre 1997