5 nominations aux Molières 2007 ! "Meilleur Spectacle Public", "Meilleure Adaptation" Pierre Laville, "Meilleure Comédienne" Geneviève Casile, "Meilleure Comédienne Second Rôle" Marie-France Santon et "Meilleur Comédien Second Rôle" Jean-François Guilliet.
Nouvelle version de mise en scène.
Comédie lumineuse
L’homme brillant et le paria
La presse
L’éventail de Lady Windermere est la première des quatre comédies d’Oscar Wilde, qui toutes ont pour cadre la haute société anglaise de l’ère victorienne finissante. Lady Windermere, femme du monde réputée pour sa rigueur morale, s’apprête à recevoir à l’occasion de ses vingt et un ans ce que la haute société anglaise du XIXème siècle compte de plus huppé. Elle apprend que son mari entretient une femme au passé douteux. Mise en face de réalités qu’elle abhorre, elle manque commettre un acte irréversible quand la femme qu’elle méprise sauve sa réputation.
Oscar Wilde savait résister à tout, sauf à la tentation… Cette comédie incontournable est lumineuse comme l’homme qu’il voulut être. L'importance de l'élégance, l'idéal de l'amour, la constance de l'esprit sont peints ici avec cruauté et humour.
Adaptation de Pierre Laville.
- L’homme brillant et le paria
C’est la première comédie d’Oscar Wilde. Une des trois pièces, avec l’Importance d’être constant et Le Mari Idéal, qui ont fait de lui un auteur incontournable.
Il décrit le monde de la haute société anglaise comme un peintre jette quelques coups de crayon pour dessiner une esquisse. Cela semble léger, mais l’essentiel est là, le coup de crayon est acide, cruel. Avec de l’humour, bien sûr… Toujours quand le drame est proche… Le monde est si superficiel. Et certains hommes si vains et si fats…
L’importance de l’élégance, l’idéal de l’amour, la constance de l’esprit, voilà ce qui se cache derrière cet éventail. Oscar Wilde aimait briller en société et son œuvre est lumineuse comme l’homme qu’il voulut être. Malheureusement, sa pièce raconte son propre destin, avant même qu’il ne le vive.
L’histoire de cette Mme Erlynne qui appartenait à la bonne société, qui en a été chassée pour mauvaise conduite et qui tente de revenir des années plus tard, c’est la sienne. Il ne le savait pas encore en écrivant la pièce, mais Mme Erlynne, c’est lui. Et sa vie à lui a été plus tragique encore… Jeté en prison pour homosexualité, condamné aux travaux forcés qui l’ont anéantis, il ne pourra jamais plus écrire avec la franche gaîté qui était la sienne.
Les deux Oscar Wilde sont donc réunis dans cette pièce : l’homme brillant et le paria qu’il deviendra… L’homme qui aimait la société anglaise et celui qui en savait toutes les vanités et toute la vacuité. L’homme que l’on a puni parce qu’il était différent et aussi parce qu’il était plus intelligent que les autres.
Sébastien Azzopardi
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"Insolence irrésistible de wilde. Jubilatoire." Canard enchaîné, 1er novembre 2006
"Une intrigue dont l'ingéniosité est digne d'un thriller." Marianne, 7 octobre 2006
"Rire, suspense, émotion... Brillant." Parisien, 22 septembre 2006
"Très belle pièce, Casile est magistrale." Pariscope, 27 septembre 2006
"A voir et à aimer. Brillante comédie. Une incontestable réussite." Visioscène, 13 septembre 2006
"Spectacle plein de feu et de grâce. Mise en scène lumineuse. Nul doute que Wilde aurait aimé cela." Rue des beaux arts, 15 septembre 2006
"Traits d'esprit fulgurants, suspense, pièce menée sans temps mort." Les 3 coups, 14 septembre 2006
"Très agréable. Acteurs et mise en scène subtile, rendent au texte son sens et son éclat." Horizon-étudiant, 16 septembre 2006
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3 avis