Festival "Corneille"

du 8 juin au 31 décembre 2001

Festival "Corneille"

CLASSIQUE Terminé

Après l’intégrale Racine en 1999 et l’intégrale Musset en 2000, l’intégrale Corneille est présentée jusqu’au 31 décembre 2001. Une vingtaine de spectacles pour découvrir et redécouvrir un grand classique.

Présentation
Programme
Les pièces - Modernité de Corneille
Miroirs de Corneille
Corneille : le sentier de la gloire
La Compagnie de L'Élan, 30 ans de feu sacré

Le Théâtre du Nord-Ouest est un théâtre d’art et d’essai, avec deux salles de spectacles. Sa programmation a la particularité d’alterner des saisons de six mois, consacrées soit à l’intégrale d’un auteur classique, soit à des pièces de création autour d’un thème de réflexion contemporain. Au cours d’une même saison, vingt à trente spectacles sont présentés en alternance.
Après l’intégrale Racine en 1999 et l’intégrale Musset en 2000, l’intégrale Corneille est présentée jusqu’au 31 décembre 2001. Une vingtaine de spectacles pour découvrir et redécouvrir un grand classique. Deux façons d'apprécier Corneille : les pièces jouées ou les mises en lecture.

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Les Pièces
en savoir plus sur Les mises en lecture

Les Pièces

A partir du 8 juin - Polyeucte,  mise en scène : Jean-Luc Jeener
A partir du 12 juin - Médée, mise en scène : Damiane Goudet
A partir du 15 juin - Le Cid, mise en scène : Jean-Luc Jeener
A partir du 19 juin - Mélite, mise en scène : Jan-Oliver Schroeder
A partir du 20 juin - Cinna ,  mise en scène : Gil Bourasseau
A partir du 11 juillet - Rodogune, mise en scène : Evanthia Cosmas et Franck Clément
A partir du 12 juillet - L'Illusion comique, mise en scène : Fabrice Merlo
A partir du 27 août- Suréna, mise en scène : Katia Scarton-Kim
A partir du 6 septembre - Horace, mise en scène : Delphin
A partir du 19 septembre - La Mort de Pompée, mise en scène : Nicole Gros
A partir du 25 septembre - Psyché, mise en scène : Julien Kosollek
A partir du 1 octobre - Le Menteur, mise en scène : Rémi Chenylle
A partir du 2 octobre - Attila, mise en scène : Thibaut Lacour
A partir du 5 octobre - Tite et Bérénice,  mise en scène : Claude-Henri Rocquet
A partir du 9 octobre - La Veuve, mise en scène : Christophe Poupineau
A partir du 23 octobre - Œdipe, mise en scène : Sylvain Ledda
A partir du 26 octobre - La Suivante,  mise en scène : Françoise Spiess

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Dans la Préface de Polyeucte, Corneille déclare qu’« une œuvre est une ingénieuse tissure des fictions avec la vérité ». Le dramaturge, conscient du pouvoir évocateur des situations historiques choisies, n’hésite pas à modeler la réalité historique pour en faire une vérité dramatique toujours plus proche de l’homme : Corneille écrit dans son siècle, avec son siècle pour les hommes de son siècle — et parfois son siècle le lui fit payer ! Sa conception du tragique renvoie aux événements politiques qui accompagnent sa vie — La Fronde, l’avènement de Louis XIV, les guerres européennes, la Querelle de la Grâce suffisante et de la Grâce nécessaire. Le talent de Corneille c’est d’être de son siècle, de le montrer sur la scène qui est theatrum mundi, sans entrer dans la polémique conjoncturelle, et, in fine, de donner à son œuvre une dimension atemporelle, universelle. Corneille a le génie du présent, de l’hic et nunc, et les héros cornéliens ont tendu un miroir aux spectateurs du XVIIe siècle qui lui ont parfois préféré la transparence des miroirs raciniens...
Aujourd’hui, les passions qui animent les personnages de Corneille trouvent en nous des échos vivants : soif d’héroïsme véritable, ambitions déçues, quête spirituelle, belles amours rêvées ou vécues, réflexion sur la mort et sur Dieu — c’est peut-être la question fondamentale du théâtre de Corneille ? Mais les miroirs de Corneille sont aussi sans tain et si l’on se place de l’autre côté, on y observe l’Autre, dans sa vérité, dans sa solitude et dans sa quête : le théâtre de Corneille invite spectateurs, comédiens et metteurs en scène à réfléchir au mystère qui confronte et unit les hommes, dans une dimension universelle, atemporelle, divine. Le. théâtre de Corneille, comme l’affirme Georges Forestier, est celui « de la gageure », et partant, cette entreprise audacieuse aux facettes variées rejoint nos préoccupations actuelles.

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« […] À dire le vrai, où trouvera-t-on un poète qui ait possédé à la fois tant de grands talents, tant d’excellentes parties ? L’art, la force, le jugement, l’esprit. Quelle noblesse, quelle économie dans les sujets ! Quelle véhémence dans les passions ! Quelle gravité dans les sentiments ! Quelle dignité et quelle prodigieuse variété dans les caractères ! Combien de rois, de princes, de héros de toutes nations nous a t-il représentés, toujours tels qu’ils doivent être, toujours uniformes avec eux-mêmes, et jamais ne ressemblant les uns aux autres ! Parmi tout cela une magnificence d’expression proportionnée aux maîtres du monde qu’il fait souvent parler, capable néanmoins de s’abaisser, quand il veut, et de descendre jusqu’aux plus simples naïvetés du comique, où il est encore inimitable. »

Jean Racine, 1683.

Cet hommage de Racine rendu à son « illustre rival » ne laisse pas de poser la question de l’unicité du théâtre de Corneille. Dramaturge prolixe et poète inspiré, Corneille offre une variété d’œuvres qui témoigne à la fois de son inspiration protéiforme et des divers mouvements esthétiques auxquels il fut attentif et dont il s’imprégna au cours des quarante-cinq années de sa carrière de dramaturge. Baroque, classique, précieux, l’univers cornélien est un prisme qui, tel le masque de Protée à l’aspect changeant, dévoile un monde traversé de figures diverses, de lieux différents et d’atmosphères antinomiques. Même si de loin en loin les motifs et les thèmes se répondent, il n’y a pas de comparaison entre la subtile Suivante, la sombre Mort de Pompée ou l’extatique Polyeucte. Corneille, comme le reconnaît Racine, possède tous les talents, abordant tous les genres, du plus badin au plus grave.
Cette variété s’exprime concrètement et se décline en trente-cinq pièces : huit comédies, dix-neuf tragédies, cinq tragi-comédies, trois pièces écrites en collaboration. Encore faudrait-il, à l’intérieur de ces strictes catégories génériques effectuer des nuances. L’Illusion comique, cet « étrange monstre », n’a rien à voir avec Suréna ni Cinna, et à l’intérieur du groupe des tragédies, il ne faut pas non plus chercher de véritable homogénéité mais se résoudre au caractère singulier de chaque création. Corneille lui-même, soucieux d’un constant renouvellement de son art, n’a de cesse de répéter le caractère unique, événementiel, de chacune de ses œuvres : « Voici une pièce d’une constitution assez extraordinaire », écrit-il à propos de Nicomède. Ou encore, évoquant Agésilas : « La manière dont je l’ai traitée [ la tragédie ] n’a point d’exemples parmi nos français, ni dans ses précieux restes de l’Antiquité qui sont venus jusqu’à nous...» L’écriture de Corneille est donc avant tout celle de la diversité et son « projet littéraire » semble se concevoir comme la recherche empirique de la vérité humaine qui, comme on le sait, possède mille visages.

Chez Corneille, la diversité générique ou technique n’est pas un artifice formel. S’il plaît aujourd’hui, c’est parce qu’il peint les méandres du cœur et du devoir, les aléas de l’amour mêlés à la politique, les déchirements qui plongent l’humain aux racines même de son existence. Mais s’il faut trouver un lien entre tous ces chefs d’œuvre, c’est peut-être la quête de l’identité héroïque. Novateur, Corneille est aussi explorateur psychologique, particulièrement habile à mettre en lumière les situations conflictuelles où amour-propre et gloire personnelle se mêlent, mais surtout où désir et renoncement s’opposent.
Toutefois ces oppositions sont transcendées par la dimension métaphysique, chrétienne de l’œuvre. En effet, la question de la « gloire » est au cœur de l’univers cornélien, mais il ne s’agit pas nécessairement de la gloire terrestre, c’est aussi de la gloire céleste dont Polyeucte, Théodore ou Œdipe sont les exemples les plus significatifs. L’Homme cornélien vit dans l’impétuosité du désir mais se caractérise par son aptitude à la sublimation. Car au-delà des objets auxquels il s’attache, le désir est désir de reconnaissance et quête d’identité. C’est lorsqu’il parvient à dépasser ses premiers mouvements que le héros se trouve et s’affirme comme une singularité exemplaire.

L’impatience qui pèse sur le héros cornélien est finalement d’une grande modernité. Les romantiques les plus véhéments, — Stendhal et Hugo en tête — souvent sans égards envers leurs aînés, ont admiré Corneille, et reconnu son habileté à dépeindre le sentiment vrai dans son expression la plus paroxystique, à l’instar de Caldéron ou de Shakespeare. En dépit de l’esthétique classique adoptée dès Médée, Corneille montre le « laid et le beau », héritier de la mimésis aristotélicienne et annonçant le drame romantique, il désigne l’homme féroce et l’homme bon, l’amour qui ravage comme l’amour qui élève. Comme Hugo, il fonde son intrigue sur la découverte d’une identité royale méconnue ou sur la punition infligée aux usurpateurs. Toutefois chez Corneille la punition c’est bien souvent le pardon du héros magnanime…

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Succès comiques
Triomphes tragiques
L’éclipse, la foi
Divin Racine, Glorieux Corneille

« Mon génie au théâtre a voulu m’attacher, Il en a fait mon fort, je m’y dois retrancher; Partout ailleurs je rampe et ne suis plus moi-même ».

Succès comiques

Commencée sous Louis XIII à l’âge de vingt trois ans — la carrière de Corneille au théâtre est l’une des plus longues de l’histoire littéraire française : quarante cinq ans ! —, elle s’achève en 1684, quelques mois avant sa mort
Né à Rouen en 1606, Corneille est resté attaché à cette ville durant toute sa vie. Après des études classiques au collège des Jésuites, il compose ses premiers vers français en 1622 pour déclarer son amour à Catherine Hue qu’il ne put jamais épouser à cause de sa modeste condition. Avocat à dix-huit ans, la vocation poétique l’emporte cependant et sa carrière dramatique débute brillamment à Paris en 1629 avec Mélite. Cette première comédie est suivie d’œuvres de la même veine qui lui assurent succès et renommée. Jusqu’en 1635, Corneille compose des comédies tout en assumant une charge d’avocat royal achetée en 1628.
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Triomphes tragiques

Intégré par Richelieu à la « Société des cinq auteurs », chargée d’illustrer la scène française, Corneille obtient une pension de 1500 livres, tandis que, influencé par le succès de Sophonisbe de Mairet, il compose Médée (1635), première des dix-neuf tragédies de sa carrière. A trente ans, Corneille signe deux chefs-d’œuvre de la littérature nationale et mondiale : L’Illusion comique et Le Cid. Le succès enthousiaste du public parisien pour Le Cid, tragi-comédie de la grandeur héroïque et de la passion exaltée, suscite jalousies et critiques. En 1637, «La Querelle du Cid » provoque le mécontentement de Richelieu et l’amertume de l’auteur. Jusqu’en 1640, Corneille traverse une période difficile : la mort de son père, la révolte des paysans normands, un procès au sujet de sa charge d’avocat l’éloignent de la composition et brisent son inspiration.
De 1640 à 1648, Corneille crée ses plus grands chefs-d'œuvre : Polyeucte, Cinna, Horace.
À trente-quatre ans il épouse Marie de Lampérière qui lui donnera sept enfants. La mort de Richelieu puis de Louis XIII ne l’empêchent pas d’obtenir la protection de Mazarin. Toujours novateur, Corneille invente tantôt des monstres capables de « beaux » crimes ( Rodogune, 1645), tantôt des pièces à machines alors très en vogue : Andromède (1647).

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L’éclipse, la foi

Les crises politiques qui agitent l’Europe autour de 1650 entraînent la fermeture des théâtres. Corneille en subit les affres comme il subit celles de la Fronde. D’abord élevé au rang de « Procureur des États de Normandie » par Mazarin , il est ensuite destitué de toutes ses charges. Désabusé par le pouvoir politique et ses méandres, Corneille trouve refuge chez son jeune frère Thomas et compose Nicomède en 1650.
Après l’échec de Pertharite (1652), Corneille se détourne de la scène, s’occupant des affaires de sa paroisse, de sa nombreuse famille. La traduction en vers de l’Imitation de Jésus-Christ absorbe également une grande partie de son travail littéraire. Le développement du jansénisme et la polémique autour des Provinciales ne l’éloignent pas de l’orthodoxie catholique : « J’ai été assez heureux pour conserver la paix en mon particulier avec les deux partis opposés sur la question de la Grâce », déclare-t-il.

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Divin Racine, Glorieux Corneille

Le succès du Timocrate de son frère et ses bonnes relations avec Molière incitent Corneille à reconquérir la scène parisienne. Les succès d’Œdipe (1659) et de La Toison d’or (1660) accompagnés des Trois Discours sur l’art dramatique (1660) consacrent l’hégémonie de Corneille dans le royaume littéraire. En 1662, Corneille quitte Rouen pour Paris où il fréquente les salons brillants, et malgré les brouilles avec Molière (« Querelle de L’École des femmes » en 1663) et Chapelain, il semble à l’abri de toute disgrâce morale ou matérielle, obtenant la faveur de Louis XIV dont il n’a de cesse de célébrer la gloire en vers.
Toutefois le succès croissant de Racine excite les passions, et le clan des Normands (Pierre et Thomas Corneille, Fontenelle – leur neveu –, Donneau de Visé) attaque chaque nouvelle tragédie de Racine. Les œuvres de ce dernier éclipsent pourtant celles de Corneille Attila, Tite et Bérénice, Suréna sont boudées, on leur préfère Andromaque, Bérénice et Iphigénie : les plus fervents cornéliens, Saint-Évremond et Mme de Sévigné en tête, reconnaissent l’incontestable génie racinien.
Les dernières années de Corneille sont celles de l’apaisement. La reprise triomphale de ses tragédies à Paris, l’écriture de vers à la louange de Louis XIV ainsi que des satisfactions familiales lui procurent d’ultimes joies. Corneille s’éteint le 2 octobre 1684 rue d’Argenteuil, après un an de sénilité. Racine, en 1683, prononce l’éloge de celui qui, à l’instar de Hugo, a traversé et pulvérisé son siècle par son génie...

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1968 - 1976  - Les balbutiements
1976 - 1986 - L'élan
1986 - 1995 - L'épanouissement
1997 - L'accomplissement

1968 - 1976  - Les balbutiements

En créant en juin 98, le Dom Juan de Molière, la compagnie de l'Élan fêtait ses 30 ans par un retour aux sources : Dom Juan fut en effet le premier spectacle présenté en 1968 au lycée Janson de Sailly. S'ensuivront une dizaine de spectacles, montés à droite et à gauche avec les moyens du bord mais déjà la rage de créer, parmi lesquels deux pièces écrites par le futur directeur de la troupe, Jean-Luc Jeener : Histoire de Roi et les Méfaits de Tchekhov.

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1976 - 1986 - L'élan

1976 marque la naissance officielle de la compagnie sous la double direction d'Éric Laborey et de Jean-Luc Jeener. Ceux-ci s'orientent résolument vers la création d'auteurs contemporains. Ils montent à deux reprises — en 1977 Le sang fort et en 1979 Les gens des Marais, les pièces du grand dramaturge africain, Wole Soyinka, encore peu connu du public mais futur prix Nobel. Pendant dix ans, la compagnie alterne les pièces pour enfants comme Le Fils du dragon et La Belle Sarrasine (Théâtre 13) avec des œuvres plus austères comme Le Rachat (Essaïon) ou plus monumentales comme l'An Mil (Cité Internationale) ou Spartacus (à la Conciergerie), avec pour chacune, plus d'une trentaine de comédiens. Deux thèmes, intimement liés l'un à l'autre hantent la plupart des œuvres créées : la question du mal, du péché, et celle du devenir de l'humanité. Une interrogation poussée à l'extrême à travers le personnage d'Erszébeth Bathory, comtesse sanguinaire, pendant féminin de Gilles de Rais, interprétée en 1982 par Elisabeth Tamaris. On trouve alors parmi les familiers de la compagnie, Yasmina Reza, Pascale Roze, Dominique Economidès et Anne Marbeau.

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1986 - 1995 - L'épanouissement

L'Élan trouve en 1986, sous l'Église Saint-Eustache un lieu à la mesure de son inspiration. La crypte Sainte-Agnès, qui date du XIIIe siècle, avec ses voûtes de pierre, correspond idéalement au théâtre de communion auquel son directeur aspire. Tout en poursuivant la création de pièces contemporaines, celles de Jean-Luc Jeener, de Patrice Le Cadre ou de Claude-Henri Rocquet la compagnie puise pour la première fois dans le répertoire classique. Phèdre, Bérénice, Bajazet de Racine, Le Misanthrope et Le Tartuffe de Molière, Le Cid de Corneille font six mois par an vibrer les âmes des spectateurs. En abordant ces monstres sacrés, L'Élan ne change nullement de sens : à travers les personnages de Racine ou de Molière, il s'agit toujours de retrouver face à soi, l'autre, c'est à dire soi-même, le frère humain. Montherlant, Le Maître de Santiago (1989), et Port-Royal (1995) et Péguy, Le mystère de la Charité (1990) contribuent également aux succès de la compagnie, à la constitution d'un public de fidèles.

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1997 - L'accomplissement

Après quelques spectacles montés à l'Essaïon, la compagnie a le coup de foudre pour un lieu, inoccupé depuis quelque temps, Le Passage du Nord-Ouest. Comé-
diens, auteurs, metteurs en scènes, éclairagistes, attachés de presse, réunis autour de Jean-Luc Jeener — et ils tiennent souvent plusieurs rôles à la fois — décident de retrousser leur manches pour créer là un vrai théâtre. Molière est le premier invité de l'été 97, avec sept comédies. Le projet artistique du Nord-Ouest est d’alterner œuvres de répertoire et pièces de création. Chaque saison, de six mois environ, s’organise autour d’un grand auteur ou d’un thème de réflexion. Après Molière, le vaudeville, Jacques Tessier, Tchekhov, l’intégrale Racine, La Confusion des sens, l’intégrale Alfred de Musset et un cycle « Quel avenir pour l’humanité ? », l’année 2001 sera consacrée à l’intégrale   de l’œuvre de Pierre Corneille. En quatre années d’existence, le Nord-Ouest aura présenté plus de cent cinquante spectacles dont vingt-cinq créations.

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Théâtre du Nord-Ouest

13, rue du Faubourg Montmartre 75009 Paris

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Spectacle terminé depuis le lundi 31 décembre 2001
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