Face de cuillère

Villeurbanne (69)
du 19 au 23 janvier 2016
1h15

Face de cuillère

On l’appelle Face de cuillère parce qu’elle a une tête toute ronde, comme lorsqu’on regarde son reflet sur le dos d’une cuillère. On dit qu’elle est attardée. Et en plus, elle est atteinte d’un cancer. Elle raconte sa passion pour les chanteurs d’opéra, la séparation de ses parents, la rencontre avec le professeur Bernstein… Son récit est un hymne à la vie.

tout ce qui existe est parti d’étincelles magiques
- tout le truc d’être vivant c’est de trouver l’étincelle

Lee Hall

  • Monologue d’un enfant condamné

On l’appelle Face de Cuillère parce qu’elle a une tête toute ronde, comme lorsqu’on regarde son reflet sur le dos d’une cuillère. On dit qu’elle est attardée. Elle raconte sa passion pour les chanteurs d’opéra, la séparation de ses parents, la rencontre avec le professeur Bernstein… La vie la pousse en avant.

Son récit est un hymne à la vie. On ne sait pas si Face de Cuillère au début du récit revient du pays des morts d’où elle se serait évaporée pour nous parler. On a l’impression qu’elle vient naître à nous. En tout cas, elle est terriblement vivante. Elle vient nous rappeler la beauté de la vie. Lee Hall - le scénariste de Billy Elliot et l’auteur de La cuisine d’Elvis, a le talent rare de jongler avec tous les ingrédients du mélodrame sans que cela devienne, ne serait-ce qu’un instant, mélodramatique. Pour cela, il possède une arme féroce : l’humour, cette faculté de surmonter les situations les plus désespérantes par l’esprit.

Parler de la souffrance d’un enfant et en particulier d’un enfant dit « anormal », relève de l’insoutenable. Avec Face de Cuillère, monologue d’un enfant condamné, Lee Hall, le scénariste de Billy Elliot et l’auteur de La cuisine d’Elvis, a écrit encore une de ses pièces dérangeantes. Mais Lee Hall a le talent rare de jongler avec tous les ingrédients du mélodrame sans que cela devienne, ne serait-ce qu’un instant, mélodramatique. Pour cela, il possède une arme féroce : l’humour, cette faculté de surmonter les situations les plus désespérantes par l’esprit.
L’Arche Editeur

Face de Cuillère
En innocence
En évidence
En offrande
Livre par morceaux
Ses réflexions
Monde intérieur en périple
Sur le dos de la mort
Pas effrayée
Elle étincelle
Maria Callas chante…
Alain Batis

Traduit de l’anglais par Fabrice Melquiot. L’Arche est éditeur et agent du texte représenté.

  • La presse

« (…) Ne ratez pas Face de Cuillère du britannique Lee Hall, scénariste de Billy Elliot. Traduite par Fabrice Melquiot, mise en scène avec une intelligence profonde par Alain Batis, la pièce, un monologue drôle et bouleversant, est interprétée par une jeune comédienne magnifique Laëticia Poulalion. » Armelle Héliot, Le Figaro

« … Remarquable est le soin apporté au décor de toile et de papier blancs (Sandrine Lamblin), aux lumières (Jean-Louis Martineau), au costume (Jean-Bernard Scotto). Tous participent au projet mené à bien par Alain Batis, qui aboutit à une réalisation dûment pensée, réfléchie, raffinée, qui donne toute sa chance à une écriture du sentiment. » Jean-Pierre Léonardini, L’Humanité

« Alain Batis réussit, une fois encore, un spectacle exemplaire, magnifique, profond et nourri, à la scénographie épurée, d’une poésie totale, d’une ampleur évanescente et lyrique qui plonge le spectateur dans une dimension magique. Un spectacle troublant et fascinant porté par une jeune comédienne lumineuse. Le théâtre est-il prophétique et peut-il changer le monde ? En tout état de cause, ce spectacle aura changé la vie de ceux qui l’auront vu. » Martine Piazzon, Froggy’s Delight

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Informations pratiques

Iris

331, rue Francis de Pressensé 69100 Villeurbanne

Accès handicapé (sous conditions)
Spectacle terminé depuis le samedi 23 janvier 2016

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