Dans la lumière des saisons

Paris 11e
du 19 mars au 21 avril 2002

Dans la lumière des saisons

Les quatre lettres qui composent Dans la lumière des saisons ont pour destinataire un interlocuteur américain. À l’écoute de ses préoccupations du moment, une jeune femme écrivain, parle librement de ses balades sur les collines de son village, de l’attente, du temps qui passe, de l’écriture, de la lecture, de la connaissance de soi, de ce que fait lever en elle chacune des quatre saisons qui rythment le cours de l’année…

Présentation
Obliques sans lendemain
Intentions de jeu
Confessions épistolaires

Les quatre lettres qui composent Dans la lumière des saisons ont pour destinataire un interlocuteur américain. À l’écoute de ses préoccupations du moment, une jeune femme écrivain, parle librement de ses balades sur les collines de son village, de l’attente, du temps qui passe, de l’écriture, de la lecture, de la connaissance de soi, de ce que fait lever en elle chacune des quatre saisons qui rythment le cours de l’année…

Elle tente d’en restituer les paysages tant extérieurs qu’intérieurs, sa démarche d’écriture, son itinéraire et ses errances. En demeurant au plus près de la langue et du rythme de l’écriture, des images et des émotions affleurent, et une pensée sur soi, sur autrui et le monde se dévoilent pudiquement, au fur et à mesure de ses cheminements.

Haut de page

En deux soirées, dans deux époques (aujourd’hui et à la fin du dix-neuvième siècle) les spectateurs sont conviés à partager l’expérience intime d’une création littéraire.

Dans la Lumière des Saisons de Charles Juliet et Romans de poche des enfants Brontë ont en commun d’explorer des territoires de la création. L’écriture puis le théâtre sont vécus comme autant de laboratoires d’expression et d’invention.

Dans la Lumière des Saisons suit le cheminement de l’écrivain Charles Juliet. A travers des déambulations dans ses paysages intérieurs et extérieurs, un écrivain évoque ses liens à l’écriture. Un chemin à la rencontre de soi-même, des autres et du monde.

Romans de poche, des Brontë relate l’expérience de création littéraire, mystérieuse et jubilatoire de Charlotte, Branwell, Emily et Anne Brontë. Comment s’inventent dans les nuits du presythère de Haworth, des héros fantastiques qui donneront forme à travers l’écriture et la vie aux personnages des romans d’une précoce maturité, les Hauts de Hurlevent et Jane Eyre.

Haut de page

« Le texte est dit et joué par Florence Marguier - qu'il soit mis dans la voix d'une femme, celle à qui les textes sont peut-être adressés, permet l'invention d'une dramaturgie, de sorte qu'on n'en reste pas à une simple lecture mise en espace. Texte et jeu se croisent. C'est toujours la question de la mise en scène de textes qui n'ont pas été écrits pour le théâtre et dans ce Festival on aura vu nombre de monologues sans intérêt dramatique ou dont la dramaturgie n'a pas été' trouvée. Il n'est pas sûr que les acteurs soient de bons lecteurs.

En revanche on peut leur demander d'agir, de jouer, d'être. "Faire théâtre de tout", comme disait Vitez, certes oui, à condition de "faire théâtre", y compris des textes de théâtre... »

Bernard Proust

« J’ai demandé à Florence Marguier de recréer en elle les mots qu’elle avait à faire vivre, de les charger de ce que j’avais déposé en eux à l’intention de cette amie lointaine. Mais surtout, je lui ai recommandé de chercher à atteindre cet art sans art auquel parvenaient à la fin de leur existence les meilleurs des peintres de la Chine ancienne. » 

Charles Juliet

Haut de page

Avec Dans la lumière des saisons, Florence Marguier entre dans l’intimité de Charles Juliet. A travers quatre lettres envoyées à une amie américaine installée au Texas, une jeune femme évoque les quatre saisons en écho à ses émois intérieur. La nature est souvent présente dans l’œuvre de Charles Juliet qui a signé ce texte que Florence Marguier fait résonner aux Marronniers.

Dans cette aventure intérieure, sur les chemins d’une nature changeante, elle confie ses pensées, ses émois, ses lectures et ses rencontres.

Ce spectacle court, dense, séduira les inconditionnels de Charles Juliet et ils sont nombreux.

A. Mafra - Le Progrès
27 janvier 2002

Haut de page

Vous avez vu ce spectacle ? Quel est votre avis ?

Note

Excellent

Très bon

Bon

Pas mal

Peut mieux faire

Ce champ est obligatoire
Ce champ est obligatoire

Vous pouvez consulter notre politique de modération

Informations pratiques

Proposition

3, cité Souzy 75011 Paris

  • Métro : Rue des Boulets à 47 m
  • Bus : Rue des Boulets à 47 m, Claude Tillier à 253 m, Philippe Auguste - Dumas à 304 m, Faidherbe - Chaligny à 339 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Proposition
3, cité Souzy 75011 Paris
Spectacle terminé depuis le dimanche 21 avril 2002

Pourraient aussi vous intéresser

Partenaire
- 20%
Pauline & Carton

La Scala Paris

Partenaire
- 29%
- 20%
Big Mother

Théâtre des Béliers Parisiens

La Loi du marcheur

Théâtre de la Bastille

Oublie-moi

Théâtre Actuel La Bruyère

Spectacle terminé depuis le dimanche 21 avril 2002