Comme tu me veux

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Odéon - Théâtre de l'Europe , Paris

Du 15 janvier au 17 février 2021
Durée : 2h10

CLASSIQUE

,

Policier

,

Théâtre dramatique

En adaptant la pièce de Luigi Pirandello, Stéphane Braunschweig poursuit son enquête théâtrale sur les énigmes de l'identité, la rémanence des traumatismes, et les jeux de simulacres grâce auxquels on survit.

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Spectacle terminé depuis le 17 février 2021

 

Photos & vidéos

Comme tu me veux

De

Luigi Pirandello

Mise en scène

Stéphane Braunschweig

Avec

Cécile Coustillac

,

Claude Duparfait

,

Alain Libolt

,

Annie Mercier

,

Thierry Paret

,

Lamya Regragui Muzio

,

Chloé Réjon

,

Sharif Andoura

,

Alexandre Pallu

,

Pierric Plathier

  • Les énigmes de l'identité

Dix ans après la fin de la Grande Guerre, la scène est à Berlin – ville où Pirandello résida cinq ans, à la veille de la prise du pouvoir par les Nazis. Au centre de la pièce, « L’inconnue », une danseuse de cabaret, maîtresse de l’écrivain Salter, qu’a reconnue dans la rue un photographe italien. Selon lui, elle n’est autre qu’une certaine Lucia, jeune mariée portée disparue à la fin du conflit mondial au nord de l’Italie, dans une région qu’avaient occupée et dévastée les troupes autrichiennes. Rentré de la guerre dans une maison vide, Bruno, son époux, n’a cessé de la chercher. Mais est-ce bien elle, cette femme qui semble vouloir oublier son passé dans une vie de débauche ? Ses réactions, face à ces retrouvailles, sont ambiguës, et le restent lorsqu’elle retourne vivre auprès de son époux, en Italie. Imposture ou amnésie traumatique ? Et du côté de Bruno, foi dans le miracle ou opportunisme de celui qui, veuf, aurait été dépossédé des biens de sa femme ?

Mi-drame policier, mi-fable existentielle, Comme tu me veux est aussi une pièce sur fond de ruine et de désastre, située dans une Europe au bord d’un nouveau naufrage. Après Soudain l'été dernier de Tennessee Williams et Nous pour un moment d’Arne Lygre, Stéphane Braunschweig poursuit son enquête théâtrale sur les énigmes de l'identité, la rémanence des traumatismes, et les jeux de simulacres grâce auxquels on survit.

  • La presse

« On sort hypnotisé des pièces abstraites et cérébrales de Pirandello, où ne règne aucune vérité tangible. » Télérama sortir TT

« Stéphane Braunschweig éclaire avec nerfs et délicatesse une pièce où l’art côtoie la folie pour abolir l’oubli. » Les Inrockuptibles

« Entre trop-plein de paroles et vide intérieur, Chloé Réjon campe avec superbe une héroïne violentée par l'histoire qui refuse toute résilience ou rédemption. L'actrice et ses partenaires sont mis en scène avec rigueur par un Stéphane Braunschweig particulièrement inspiré. » Philippe Chevilley, Les Echos

« La pièce de Pirandello, portée par l’impressionnante Chloé Réjon, explore avec acuité les traumatismes historiques et le relativisme de la vérité. » La Terrasse

« Stéphane Braunschweig adapte admirablement la pièce féroce de Pirandello sur la guerre. » Le Figaro

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