Myriam Marzouki est metteure en scène et directrice artistique de la Compagnie du dernier soir.
Ancienne élève de l’ENS, agrégée de philosophie, Myriam Marzouki se forme au jeu par le théâtre universitaire et approfondit sa formation de comédienne aux ateliers de l’Ecole du Théâtre National de Chaillot.
Avec la Compagnie du dernier soir qu’elle fonde en 2002, elle a monté Les Quasi-Monténégrins (P.O.L, 2003) de Nathalie Quintane en 2004, Être tout choses… un spectacle de théâtre musical autour de textes de Georges Perec, Francis Ponge et Nathalie Quintane en 2006. En 2007-2008, elle travaille sur United Problems of Coût de la Main d’œuvre de Jean-Charles Massera (POL, 2002), spectacle créé en juin 2008 à la Maison de la Poésie à Paris.
Elle collabore également avec la poète Véronique Pittolo sur une mise en scène de son texte Hélène mode d’emploi (New Al Dante, 2008). Elle prépare la création en 2009 de Europeana, une brève histoire du XXème siècle de Patrik Ourednik (Allia, 2004) sous une forme de théâtre-concert. En 2012, elle reprend cette création en mettant en scène le texte d'Emmanuelle Pireyre évoquant le désarroi contemporain de la première décennie du XXIème siècle.
En juillet 2011, elle présente une conférence performance dans le cadre de la Session poster mouvement au Festival In d’Avignon (Ferme du Buisson 26 novembre 2011). Ces déclinaisons préparatoires forment les premières étapes d’Invest in Democracy (création 2012-2013).
L'Azimut - Théâtre La Piscine, Châtenay-Malabry
Pâcome, Laura, Basile ou encore Katell s’inquiètent des grands projets qui menacent leur environnement. Victimes de violences au cours d’une manifestation, ils font face au dilemme de l’engagement : continuer ou pas ? En convoquant musique, chant et mouvements dansés, Je me souviens de la terre évoque par fragments les événements qu’ils ont traversés, à travers leurs rêves, leurs souvenirs et leurs témoignages. À partir de 14 ans
L'Azimut - Théâtre F. Gémier / P. Devedjian, Antony
Myriam Marzouki fait un état des lieux d'une Tunisie marquée par la révolution de 2011. Avec un regard sensible plein de tendresse et de fierté porté sur ce peuple avide de liberté, cette pièce traduit une certaine torpeur, des sentiments, des ressentiments, mais surtout une sincérité salutaire. A partir de 15 ans.
MC93, Bobigny
Myriam Marzouki fait un état des lieux d'une Tunisie marquée par la révolution de 2011. Avec un regard sensible plein de tendresse et de fierté porté sur ce peuple avide de liberté, cette pièce traduit une certaine torpeur, des sentiments, des ressentiments, mais surtout une sincérité salutaire. A partir de 15 ans.
Malakoff scène nationale – Théâtre 71, Malakoff
Le paysage mental, inconscient ou non, qui entoure la notion de citoyenneté a été pour la metteuse en scène le détonateur du spectacle Que viennent les barbares.
Echangeur, Bagnolet
MC93, Bobigny
Le paysage mental, inconscient ou non, qui entoure la notion de citoyenneté a été pour la metteuse en scène le détonateur du spectacle Que viennent les barbares.
Maison de la Poésie, Paris
Maison de la Poésie, Paris
Maison de la Poésie, Paris