Gregory Font

Gregory Font

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De 1999 à hier - Gregory Font

Enter the ghost

Echangeur, Bagnolet

du 22 nov. au 9 déc. 2007
1h45
CONTEMPORAIN Coup de cœur Terminé
  • Mise en scène : Marie-José Malis
  • Avec : Pascal Batigne, Pascale Calvet, Sylvia Etcheto, Gregory Font, Olivier Horeau, Marie-Pierre Neskovic, Victor Ponomarev, Catherine Semat
Privée du texte Contre la télévision, la compagnie La Llevantina ne quitte pas pour autant la fureur pasolinienne : Marie-José Malis et ses comédiens font bloc autour de cette absence. Ils la détournent allègrement dans des scènes qui convoquent la satire, le burlesque ou la tragédie grecque pour donner corps à l’ombre de Pasolini, à la vigueur de sa parole et de sa pensée. Un rituel joyeux qui convie acteurs et public à penser ensemble notre société.
Enter the ghost

Le Forum de Blanc-Mesnil, Le Blanc-Mesnil

du 15 au 17 nov. 2007
1h45
CONTEMPORAIN Coup de cœur Terminé
  • Mise en scène : Marie-José Malis
  • Avec : Pascal Batigne, Pascale Calvet, Sylvia Etcheto, Gregory Font, Olivier Horeau, Marie-Pierre Neskovic, Victor Ponomarev, Catherine Semat
Privée du texte Contre la télévision, la compagnie La Llevantina ne quitte pas pour autant la fureur pasolinienne : Marie-José Malis et ses comédiens font bloc autour de cette absence. Ils la détournent allègrement dans des scènes qui convoquent la satire, le burlesque ou la tragédie grecque pour donner corps à l’ombre de Pasolini, à la vigueur de sa parole et de sa pensée. Un rituel joyeux qui convie acteurs et public à penser ensemble notre société.
Oedipe de Sophocle

Echangeur, Bagnolet

du 3 au 17 déc. 2005
3h45
CLASSIQUE Terminé
  • De : Friedrich Hölderlin
  • Mise en scène : Marie-José Malis
  • Avec : Pascal Batigne, Sylvia Etcheto, Gregory Font, Olivier Horeau, Luce Le Yannou, Victor Ponomarev
Oedipe de Sophocle c’est la tragédie par excellence, celle qui le mieux expose, avec une maîtrise parfaite du temps, de la structure, la tension qui déchire celui qui est pris entre un destin et une expérience, entre un daimon et un éthos. Chez Hölderlin, comme une eau forte de la pièce de Sophocle, tout est plus violent, plus chaotique aussi, comme si était repoussée la limite du saisissable pour ne garder que la tension en travail de l’énigme et de l’interrogation.