Les spectacles musicaux et la danse

Du Osez Joséphine dans un saloon au Vertige de l’amour dans un lit gonflable, la joyeuse troupe s’aventure sur les routes les plus sinueuses d’un répertoire aux multiples facettes. Exultation des voix et des corps et énergie débridée, il y a du plaisir à revendre. Allez en selle ! Osez Bashung !

Dans Piano Rubato, le duo formé par l’artiste aérienne Mélissa Von Vépy et le compositeur de jazz Stéphan Oliva imagine un concert de voltige dans lequel le génie créatif de la première répond à la virtuosité du second.

La très audacieuse chorégraphe cap-verdienne Marlene Monteiro Freitas explore avec Mal – Ivresse divine la troublante fascination de l’humanité pour le mal, sous toutes les coutures. Un ballet hypnotique et flamboyant.

Avec leur nouvel opus, les inénarrables 26000 couverts posent une question primordiale : faut-il, oui ou non, éradiquer lʼhumanité ? Entre pulsions satiriques débridées, burlesque dévastateur et poésie brute, cette opérette de science-fiction s’offre à nous dans sa folle extravagance !

Pascal Mantin interprète les plus belles pages du compositeur et pianiste polonais.

Pascal Mantin interprète les plus belles pages du compositeur et pianiste polonais.

Après Viel chante Brel et Viel chante Barbara, Laurent Viel revient avec un nouveau spectacle intime et personnel composé de 14 chansons originales abordant les thèmes de l’enfance, d’une blonde, de l’amour, du genre et de la sexualité, du parcours d’une vie, d’une brune, de la résilience... À partir de 12 ans.

Récital de piano aux chandelles par Elio di Tanna. Au programme : Passacaille de Haendel, Sonate pathétique de Beethoven, Les Gymnopédies de Satie et Rêve d'amour et Tarentelle de concert de Liszt.

Avec Love Chapter 2, Sharon Eyal et son complice Gai Behar signent une pièce envoûtante, rythmée par les percussions électroniques d’Ori Lichtik. Une œuvre enivrante jusqu’à l’extase !

Betty Tchomanga s’empare de cette figure mythologique dans un solo transcendé par la musique, les modulations étranges de sa voix et la contrainte incessante du mouvement. Sur la pulsation de sons électro hypnotiques et de « beats » issus de musiques traditionnelles africaines, la danseuse s’attache à la répétition d’un motif archaïque : le saut vertical. Virtuose dans cette transe exutoire, elle fait jaillir un sentiment de liberté à l’état pur.

Comment une chanson peut-elle créer l’unité de toute une société ? En guise de réponse, Miet Warlop livre une performance sportive et musicale survoltée et invite les performeurs à descendre dans le stade pour interpréter une même chanson en direct. Une radieuse invitation à faire communauté dans la plus glorieuse diversité !

Le chorégraphe Fouad Boussouf a l’art de propulser sur le plateau du théâtre l’énergie incandescente du collectif. Dans sa nouvelle création Fêu, il poursuit son exploration du groupe et de la communion pour nous faire ressentir la force évocatrice du brasier.

Jérôme Bel, chorégraphe iconoclaste, nous propose un portrait dansé de la comédienne virtuose Jolente De Keersmaeker, cofondatrice de la troupe flamande du tg STAN. Elle interprète, non pas les rôles du répertoire théâtral comme elle en a l’habitude, mais plutôt certaines danses de la modernité chorégraphique.

Qui êtes-vous Juliette Gréco ? Cette vertigineuse question se retrouve au cœur de la première pièce de théâtre coécrite par Mazarine et Léonie Pingeot, un étonnant spectacle musical et halluciné où apparaît une Gréco qui se dévoile et se dédouble.

En explorant les différents enjeux du toucher, la chorégraphe Laura Bachman dessine une histoire des corps. Elle danse Ne me touchez pas avec Marion Barbeau, en complicité avec les musiciens Vincent Peirani et Michele Rabbia.

Récital aux chandelles par Pascal Mantin. Au programme : Liszt, Satie et Beethoven.

Lola Lafon propose un projet inédit, composé à partir d’extraits de son journal et de cahiers de travail. Sur scène, accompagnée par le musicien Olivier Lambert, elle présente ainsi une performance littéraire et musicale sous forme d’abécédaire intime.

Dans ce premier solo, Nach développe un vocabulaire bien à elle, une danse puissante, tranchante, précise et expressive, passant de la douceur à la violence. Elle fait ainsi de Cellule un manifeste des possibles, un geste contre les places qu’on nous assigne comme celles dans lesquelles nous pouvons être tenté·e·s de nous replier.

Mohamed Toukabri convie sa mère, Latifa, à le rejoindre. Elle a toujours rêvé d'être danseuse, Mohamed en a fait son métier. Mère et fils se retrouvent, s’apprivoisent, se redécouvrent et, quand les mots ne suffisent plus à dire l’amour filial, les corps prennent le relais.