Volo et Le petit dernier

Paris 4e
du 10 au 11 juillet 2007

Volo et Le petit dernier

Le retour de Volo, ça ne se refuse pas... Si en plus, Le Petit Dernier est de la partie, alors là !... Volo et Le Petit Dernier vont donc se partager l'affiche sur deux dates exceptionnelles, pour deux concerts qui ne le seront pas moins ! Des guitares, des textes, de l'acoustique et plein d'autres trucs sympas !

Le retour de Volo, ça ne se refuse pas... Si en plus, Le Petit Dernier est de la partie, alors là !... Volo et Le Petit Dernier vont donc se partager l'affiche sur deux dates exceptionnelles, pour deux concerts qui ne le seront pas moins ! Des guitares, des textes, de l'acoustique et plein d'autres trucs sympas ! Alors, surtout ne les ratez pas : vous pourrez dire : "J'y étais !"

  • Volo

Issus de la région de Tours, Frédo et Olivier Volovitch se côtoient dès leur plus jeune âge puisqu’ils portent le même nom, qu’ils ont les mêmes parents, et que par conséquent, ils sont frères…

Frédo, l’ainé, a fait rue Blanche. Il fait partie depuis 10 ans, en tant que chanteur guitariste, des Wriggles (label Atmosphériques), avec qui il additionne des centaines de dates en France, l’Olympia, la Cigale, le Bataclan, et enregistre quatre albums et un DVD.

Olivier après une maîtrise de philo, prépare, passe et repasse les concours de l'éducation nationale, tout en écrivant des chansons à ces heures perdues. Ce qui lui réussi nettement mieux…

En 2001, l’idée vient aux deux frangins de se réunir pour créer Volo.

En 2002, ils font leurs premiers concerts dans un bar de Saint Etienne. La presse locale les encense. Ils enchaînent avec la première partie des Joyeux Urbains à l’Européen, de Benabar à la salle Jeanne d’Arc et d’ Entre 2 Caisses.

En 2003, Volo entre dans le catalogue Blue line. Programmés au festival Paroles et musique 2003, ils sont remarqués par un bon nombre d’artistes et de professionnels, et sont invités sur des premières parties.

Séduit par leur écriture au cordeau, leurs mélodies fluides et leur jeu de guitare très personnel, opera-music signe Volo en contrat de production et en édition (avec Sony publishing).

  • Le petit dernier

Il est des albums qui sont l’aboutissement d’une longue recherche de soi, qui naissent après qu’aient patiemment mûri les fruits de multiples rencontres. Encore faut il avoir comme « Timike » le cœur à portée de main pour pouvoir les cueillir.

« Timike » alias Le petit dernier a vu le jour en Guadeloupe, mais c’est près de Paris qu’il grandira. Chanteur des Mister gang, il parcourt le monde pendant 4 ans pour donner les concerts explosifs qui firent la renommée du groupe. Les tournées marathon entamées avec le Gang satisferont l’immense désir d’un homme gorgé de soleil, intensément avide de rencontres et d’échanges. Lors d’une de ces aventures, il sera amené à partager la vie des Kanaks en Nouvelle-Calédonie. Véritable retour aux sources, cette expérience lui permettra d’apprendre beaucoup de choses sur lui-même. Il en rapportera le titre « Le Sage ».

C’est après tous ces voyages, toutes ces expériences, que « Timike » se trouvera. L’objet de sa quête était tout simplement là, au bout de sa guitare. Avec elle, à sa manière de la faire parler, de la caresser, de la faire résonner, de la transformer tour à tour en percu, grosse caisse ou basse, il trouvera cet équilibre tant recherché : entre soul et reggae, funk et folk, à l’endroit où se rencontrent les chansons de Ménilmontant et les rythmes chaloupés de Pointe-Noire. C’est « là-bas dans sa campagne », là bas dans son cœur vaste « comme ça » qu’il a trouvé son Graal.

Ainsi est né Le petit dernier « Timike » s’en va alors parcourir les salles, bars et autres festivals de France et de Navarre, effectuant de nombreuses 1ères parties prestigieuses, la guitare en bandoulière (Cali, Mathieu Boggaerts, La rue ketanou, Tete, Dobacaracol, Tryo sur les Zéniths, Anis…). Au final, c’est après plus de 130 concerts au cours desquels il aura longuement affiné, arrangé et réfléchi à la juste mesure de ses titres qu’il décidera de concrétiser son travail sur un album.

Cette fois, c’est à lui d’inviter d’autres artistes : Jean-philippe Dary (clavier et co-réalisateur artistique de l’album avec « Timike »), Pascal Mikaelian (harmoniciste entre autre de Pascal Verbeke) sur le fougueux « Le Sage » ainsi que sur « Partir », Riton de K2R Riddim à la contrebasse sur le reggae coloré «Au revoir Jules » et sur « Ma mère » ou encore La sexion sur « Une journée sans vous »

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15, rue des Blancs Manteaux 75004 Paris
Spectacle terminé depuis le mercredi 11 juillet 2007

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