Mais qui est donc cette femme sans âge, aux cheveux orange vif, encombrée de plusieurs sacs plastiques ?
Florence l’a rencontrée en automne 2011. Le 9 janvier 2013, elle est assassinée rue Lafayette à Paris. Obsédée par son souvenir, Florence enquête pour connaître l'histoire de cette femme et celle de son peuple, les Kurdes.
Le spectacle Une légende à la rue est soutenu par l'association Beaumarchais-SACD, l'ADAMI déclencheur et MNA TAYLOR - Prix Constant Coquelin.
« Avec une caisse pour seul décor, Florence Huige salue la mémoire de celle dont elle possède qu’un fragment d’identité. Elle sonde son passé, remonte le fil de la résistance kurde. Enregistrées les notes de Bouzouk l’accompagnent et subliment ce spectacle - hommage. » Télérama, TT
« Florence Huige se penche sur l’histoire généralement ignorée du peuple kurde. L’autorité de l’actrice, qui fait ainsi œuvre pie, n’exclut pas le zeste d’autodérision qu’elle s’impose, face au malheur de ces autres lointains, qu’elle révèle avec feu sur une scène nue. Un spectacle à ne pas manquer. » L'Humanité
« Un spectacle rare, où tout est juste, les mots, le regard, la mise en scène. Le plateau est nu. À part une malle à roulettes, et Florence. Elle raconte […] Elle est douée pour l’autodérision. » Le Canard enchaîné
« Spectacle incisif et hautement instructif. Florence Huige interpelle au passage son regard d’Occidentale soudain rattrapé par le réel avec ce qu’il faut d’humour et d’autodérision. Un petit bijou de théâtre-documentaire. » JDD
« Florence Huige utilise une langue élégante, vivante, sans didactisme. La mise en scène tout en lumières de Morgane Lombard dessine un fantôme qui, après avoir hanté Florence, la possèdera littéralement. » Culture Box
« Qu’est-ce que la narratrice n’a pas compris en faisant cette rencontre ? C’est ce qu’elle explore ici avec sincérité, détermination et une bonne dose d’autodérision dans une mise en scène très attentive de Morgane Lombard. Voici un récit particulièrement haletant. » Esprit Paillettes
« Florence Huige captive son auditoire d’emblée. Par une mise en scène simple, efficace et percutante, nous nous accrochons au récit comme un enfant avide de connaître la suite d’un conte. » Le Coryphée
« Dans une mise en scène sobre et minutieusement synchronisée, Florence Huige nous conte avec talent, l’histoire de Sara (…) et de son peuple Kurde. (…) Nous sommes ensorcelés et n’osons respirer. Un moment de théâtre bouleversant, poignant, les mots fusent et nous transpercent le cœur. » Critique Théâtre Clau
« Très bien dirigée par Morgane Lombard qui parvient à introduire des ruptures, des changements de régime dans la narration, Florence Huige rayonne d’une autorité sororale. La vraie histoire, c’est son intérêt passionné pour cette femme étrange. » Le Journal d’Armelle Heliot
« Cette rencontre de l’autrice avec une femme kurde est aussi la nôtre, dans une pièce narrative écrite avec tact, et interprétée avec vécu, rigueur, et imagination. […] Florence Huige utilise une langue élégante, vivante, sans didactisme. » France Info culture
« La mise en scène par l'autrice en collaboration avec Morgane Lombard est remarquable et la comédienne, incroyable d'engagement et d'émotion. On suit sans temps mort cette plongée dans la vie d'une légende kurde avec fascination .[…] Un spectacle bouleversant d'humanité à ne pas rater. » Froggy's delight
« Dans une ruelle parisienne, une rencontre en apparence anodine devient le point de départ d’une quête fascinante. […] Ce spectacle résonne bien au-delà du plateau. […] Un théâtre nécessaire, qui ne laisse aucune place à l’indifférence. » Manithéa
6, rue Pierre-au-Lard 75004 Paris