Un train de nuit pour Bolina

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Théâtre de Sartrouville , Sartrouville

Du 02 au 04 octobre 2012
Durée : 1 heure

JEUNE PUBLIC

,

Coups de coeur

Célie Pauthe s’est emparée avec fougue de cette pièce de Nilo Cruz, auteur latinoaméricain. C’est une immense pulsion de vie qu’elle nous donne à voir à travers l’histoire de ces deux enfants qui, envers et contre tout, iront jusqu’au bout de leurs rêves, guidés par la puissance de leur imagination. A partir de 9 ans.
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Spectacle terminé depuis le 04 octobre 2012

 

Un train de nuit pour Bolina

De

Nilo Cruz

Mise en scène

Célie Pauthe

Avec

Julien Frégé

,

Mélanie Menu

,

Emilie Incati

,

Judith Morisseau

,

Eric Pingault

A partir de 9 ans.

Clara et Mateo ont dix ans et vivent quelque part en Amérique du Sud. Face à un quotidien pas toujours tendre, ils s’inventent mille jeux avec pour terrain favori le cimetière du village : les morts se révèlent souvent plus drôles, plus fleuris que les vivants. Un jour, ils décident de s’enfuir ensemble, loin, par le train de nuit pour Bolina.

À travers la pièce de Nilo Cruz, premier auteur latino-américain à recevoir le prix Pulitzer du théâtre, Célie Pauthe nous donne à voir une immense pulsion de vie. Car dans cette odyssée envers et contre tout, c’est l'imagination qui aura le dernier mot.

C’est le parcours initiatique de deux enfants qui vont apprendre à s’aimer malgré tous les obstacles que la vie leur tend, apprendre à conjurer l’impossible en opposant à la réalité violente et pressante que les adultes leur imposent, la force de l’imagination, la liberté inviolable des rêveurs et des poètes. Dans cette lointaine campagne d’Amérique latine affamée par la guerre civile, Clara et Mateo se consolent par leurs jeux.

De cette réalité rétrécie où les enfants n’ont par leur place, ils s’échappent, l’investissent autrement, la transcendent… Ils se réfugient dans des placards, dans des cimetières, dans des cartons chargés sur un train filant dans la nuit… Dans ces cachettes, ils se déguisent, jouent les morts, mettent en scène un mariage ou une confession…

« Privilège de l'enfance ?, écrivait Ingmar Bergman. Pouvoir aller et venir en toute liberté entre une terreur totale et une joie qui menace de vous faire éclater. »

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