Un riche, trois pauvres

Un texte "Coup de poing"
Aventure intérieure
L’univers de la pièce
La presse

• Un texte "Coup de poing"

Un texte "Coup de poing" qui parle de notre vie quotidienne où se mêlent et s'emmêlent, dans un rythme effréné, espoirs et désespoirs.

Trois comédiens liés et reliés par une corde, un percussionniste en direct sur la scène, et Guignol, revenu de l'enfance de Calaferte, toujours en rébellion contre les pouvoirs aux têtes trop grosses, trop pleines, trop bien pensantes.

Une pièce qui surprend autant par son propos que par sa mise en scène vive et incisive. Une pièce à l'humour grinçant et cynique, dans la pure ligne de ce grand dramaturge. Quand la réflexion se mêle à l'émotion, la cruauté à l'espérance.

• Aventure intérieure

Les oeuvres de Louis Calaferte sont marquées par son aventure intérieure. "Mon travail n'est en fait qu'un journal déguisé." Ainsi, Calaferte plaçait l'existence comme seul fondement de la création, de la réflexion, de la connaissance. tout ce qui n'était pas basé sur l'expérience, sur le "vrai expérimenté", relevait pour lui de la malhonnêteté, de l'imposture.

• L’univers de la pièce

Un riche trois pauvres surprend autant par son propos que par sa mise en scène vive et incisive. Le texte est un assemblage de bribes, de discussions, de monologues écrits pour une foultitude de personnages. Ce sont des paroles de la vie quotidienne, mais aussi des aveux, des prières, des espoirs, des exhortations.

Mais aucun apitoiement. la place qu’il aurait pu tenir est largement comblée par de l’humour. Un humour cynique et grinçant. La mise en scène en elle-même accentue ce côté dérangeant.

Tous les personnages sont joués par trois comédiens. Une corde suspendue au plafond devient un instrument presque chorégraphique et un outil de jeu à usage multiple."Mon travail n'est en fait qu'un journal déguisé." Les comédiens s’y accrochent, échangent leurs places, tordant ainsi la corde dans tous les sens.

A mesure de l’intrigue c’est Guignol (celui là même qui vous sourit) qui fait son apparition. Trois petits films satiriques qui bousculent l’ordre établi. Jeux de mots, où les maux se prennent les pieds dans les cordes. cela tourne, virevolte, à la vitesse de l’éclair. la musique en direct accentue le tourbillon.

• La presse

"Un choc que ce texte de Louis Calaferte, servi par deux comédiens, une comédienne et quelques dizaines de mètres de corde jouant sur des poulies. Voilà le spectateur ficelé dans cet écheveau féroce et drôle. Réjouissant." Le midi libre

"Le trio infernal enchaîne des saynètes où l'humour côtoie l'absurde, le tout rythmé par une musique interprétée par René Le Borgne." L'Est républicain

"Ca gratte, ça grince, ça dérange, la satire içi est sans concession. Entre humour grinçant et zapping intellectuel, les comédiens se laissent embarquer dans le flot libertaire de Louis Calaferte à la vitesse super sonique. Cette pièce est un divertissement, elle se reçoit comme une gifle" Media pub

"L'intensité des saynètes, des situations et de la musique jouée en direct donne un rythme effréné à la pièce et aux propos de l'auteur. Le spectateur prend donc un véritable coup de cynisme et d'humour noir". Le quotidien indépendant luxembourgeois.

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