- Si l’habit ne fait pas le moine, la perruque...si !
Sur l’arène d’une scène magique pouvant se transformer en de multiples terrains de je/jeu, un acteur se coiffe d’une perruque…
Thomas Poitevin incarne une ribambelle d’anti-héros magnifiques. Des personnes plus que des personnages, sortant d’une énergie dramatique du « trop », comme prêtes à basculer dans la tragédie totale mais qui grâce au rire et à l’empathie qu’elles provoquent, parviennent à rester dans la lumière.
Ils/elles ont tous un besoin urgent de vous parler, ce soir, ici, maintenant.
C’est une fête des pas-à-la-fête, un ballet de névrosés et de râleurs, une comédie humaine acide et tendre qui est proposée aux spectateurs.
Qu’elles parlent beaucoup ou peu, qu’elles passent en coup de vent ou se déploient comme des tempêtes, toutes ces perruques sont uniques, touchantes, complètement paumées, obstinément humaines.
« Un trombinoscope hilarant de créatures parodiées avec ce qu’il faut de lucidité́ et de tendresse mêlées. » Télérama Sortir, 2020
« Thomas joue ses perruques est une formidable comédie humaine, drôle et cruelle. [...] Portées par une écriture soignée, ces “perruques” suscitent autant de fous rires que d’émotion parce qu’elles sont à la fois caustiques et tendres, terriblement humaines. » Sandrine Blanchard – Le Monde
« Thomas Poitevin crée des êtres délicats, pétris de contradictions, dont les névroses reflètent parfaitement les nôtres. [...] Un talent de miniaturiste, qu’il nous tarde de retrouver sur scène, en grand. » Favie Philipon – Elle
11 avis