Souffle / L’angle mort / L'un de nous deux

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L'Étoile du Nord , Paris

Du 18 au 20 octobre 2012
Durée : 1h30

MUSIQUE & DANSE

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Coups de coeur

Dans Souffle, le corps, comme une arme, cherche à travers le mouvement dansé la place du poétique dans l'ici / maintenant et fait de cette quête son identité. L’angle mort est le premier extrait de la prochaine création de Camille Ollagnier. Dans L'un de nous deux, chaque corps est embarqué dans un mouvement sans fin, insufflé par la voix, les paroles, du chanteur.
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Spectacle terminé depuis le 20 octobre 2012

 

Souffle / L’angle mort / L'un de nous deux

De

Camille Ollagnier

,

Pierre Pontvianne

,

Aragorn Boulanger

Avec

Pierre Pontvianne

  • Souffle

« Il faut voir en ce solo la métaphore d'un combat. Celui de créer un mouvement doux et incisif, vital et engagé, dans l'un des temps les plus noués selon moi : le présent.

Le corps, comme une arme, cherche à travers le mouvement dansé la place du poétique dans l'ici / maintenant et fait de cette quête son identité.

Pourquoi souffle  ? C'est un mot que je lie simplement à la respiration. Aussi, ce travail parle indirectement de vivre et de mourir. »

Pierre Pontviann

  • L'angle mort

L’angle mort c’est cette part de l’espace qui demeure invisible. C’est un espace en péril car d’un seul mouvement de la tête il peut s’anéantir et peut-être reparaître plus loin. Comme une histoire de fantômes, d’apparitions et de disparitions.

C’est la possibilité que du mouvement des deux parties, le miroir et son non-reflet, de leur rencontre, sourde une nouveauté insoupçonnée.

L’angle mort est le premier extrait de la prochaine création de Camille Ollagnier, Les Garçons Sauvages, succession de solos pour garçons. Des solos comme des duos.

Chacun d’eux né d’une occasion particulière. Chacun d’eux pas forcé mais presque.

Chacun des garçons à sa manière. Chacun des garçons seul, parce que chacun le mérite.

  • L'un de nous deux

Il y a deux interprètes sur scène ; partant d’un état d’abandon, chaque corps est embarqué dans un mouvement sans fin, insufflé par la voix, les paroles, du chanteur. La continuité de ce mouvement va soudain être contredite par une immobilité accidentelle, très fugace, puis par une autre, puis une autre…

S’installe alors une alternance entre ce mouvement qui circule et une immobilité qui s’introduit subtilement par de très courts instants d’arrêts, des images fixes et furtives.

Dans cette alternance, ces immobilités vont se faire plus fréquentes et plus longues, elles vont à leur tour se remplirent d’une parole et prendre la place du mouvement qui se raréfie, devient insaisissable, disparait de plus en plus, jusqu’à ne laisser qu’une seule image...

Dans le cadre du Festival Avis de turbulences, 8ème édition.


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