Michaël Marche en chansons « Comme les Grands »

Paris 19e
du 9 octobre au 1 décembre 2001

Michaël Marche en chansons « Comme les Grands »

Immergé depuis toujours dans l’ambiance Souchon, Cabrel, Léo…cet artiste est empli de Poésie et de rêve. Mais pour lui, comme il chante dans une de ses chansons, «Il ne suffit pas de rêver qu’un peu »,et « un coin de bonheur, c’est fragile »…

     
Michaël Marche : un artiste à multi-facettes
Quelques étapes 
« La musique ? Plaisir égoïste »
La presse

Portrait d’un artiste différent. Extraits 
« Je ne suis pas un aventurier, je ne suis pas un sportif, mais ce soir, le fait de présenter 30 chansons dont seulement 8 reprises, c’est comme un véritable challenge pour moi » confie Michaël quelques minutes avant le concert. Le trac. Aucun artiste qui a du talent ne l’a pas. A 24 ans, Michaël a déjà fait un stage avec Francis Cabrel qui l’avait remarqué à travers quatre de ses chansons, ce qui lui a valu l’enregistrement de son premier CD « En Ballades ». Michaël a commencé le violon à cinq ans. Né dans une famille de musiciens, pour finalement lui préférer la guitare. Immergé depuis toujours dans l’ambiance Souchon, Cabrel, Léo…cet artiste est empli de Poésie et de rêve. Mais pour lui, comme il chante dans une de ses chansons, «Il ne suffit pas de rêver qu’un peu »,et « un coin de bonheur, c’est fragile »…

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1992 : premier concert à Toul au profit de « Handicap International »
1994 : première tournée « Sirius 94 »
1995 : -tournée « Octuor » -concert des lauréats des « Jeunes Créateurs » à Nancy
1997-98 : concerts de promotion du CD « En Ballades » avec les Kalomangas
1998-99 : stages et concerts dans le cadre des actions « Voix du Sud » avec Francis Cabrel
1999-2001 : -en tournée avec Gérard Cassone (en Duo) -musique de plusieurs comédies musicales 

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Hier soir, Michaël a séduit. Sous le masque se dégage la sensibilité d’un artiste seul qui fait face à ses juges passant d ’« Ulysse fatigué des méchants cyclopes » à des chansons sur l’amour, l’exclusion, le chômage… « Quand les gens viennent à un concert, ils sont là, avec leurs problèmes mais moi, je dois tout oublier. Ils sont venus pour voir comment j’écris, comment je transmets les sentiments de tous les jours comme la souffrance, la tristesse ou la joie.
Et comment vit-on quand on fait de la musique ? « En égoïste », Michaël l’avoue : « c’est égoïste la musique. On est sur scène comme dans une arène, comme un trapéziste parce qu’on aime être vu et reconnu .C’est un mouvement égocentrique. Je joue lorsque j’écris une chanson, mais plus sur scène ». 
« J’admire la flexibilité de son talent » commente un spectateur à l’entracte. « Dans toutes ses chansons, on devine sa personnalité sa sensibilité. Je dirais que sa causticité n’est qu’un masque ». Deux spectatrices ont trouvés ses textes « poétiques » mais ont finalement préféré ses propres chansons aux reprises. Anne-Charlotte Laugier - L’Est Républicain -  Nancy

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C'est le nouveau protégé de Cabrel
Retenez bien son nom, car s'il ne vous dit sans doute rien pour l'instant, Michaël Marche devrait bientôt faire parler de lui bien au-delà des murs du Théâtre de la Providence, où il chante en ce moment. En effet, ce jeune auteur-compositeur-interprète, l'un des derniers de la nouvelle génération à défendre les couleurs de la chansons à texte, cache un vrai talent derrière sa longue chevelure d'ébène et ses airs timides.
...Michaël Marche a quelque chose de Francis Cabrel. C'est évident dès qu'on l'entend, dès qu'il égrène ses premières notes. On n'est pas étonné alors, d'apprendre que Cabrel, justement est tombé sous le charme de ce nouveau venu. Sensible à la mélancolie poétique de Michaël Marche, il l'a pris sous son aile et parraine son actuel spectacle. Un bon atout pour le jeune chanteur qui, toutefois, se distingue de son parrain par sa fantaisie et un certain sens de l'humour,, glissant anecdotes et petites histoires amusantes comme autant de clins d'oeil pour annoncer chacune de ses chansons.
On passe un excellent moment en sa compagnie, avec de très beaux textes où il est question d'amour, évidemment, mais aussi d'enfance, de super héros, d'écologie ou encore des médias... On ressort de ce spectacle heureux, rêveur et léger, avec une irrésistible envie de chanter. Géraldine Thomas  Le Parisien, samedi 3 novembre 2001 

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Spectacle terminé depuis le samedi 1er décembre 2001

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