Meurtrières à 4 épingles

du 5 septembre au 3 novembre 2007

Meurtrières à 4 épingles

Lors de leur « réunion hebdomadaire » destinée à comparer les vêtements qu'elles ont réussi à voler dans la semaine, trois étudiantes fauchées mais soucieuses de leur image tuent par accident un cambrioleur qui s’était introduit dans leur appartement. Loin de les effrayer, cette situation les excite, surtout lorsqu'elles apprennent que le dit voleur a une bague d'une valeur d'un million d'euros sur lui...
  • Tueriez-vous pour un million d’euros ?

Lors de leur « réunion hebdomadaire » destinée à comparer les vêtements qu'elles ont réussi à voler dans la semaine, trois étudiantes fauchées mais soucieuses de leur image tuent par accident un cambrioleur qui s’était introduit dans leur appartement. Loin de les effrayer, cette situation les excite, surtout lorsqu'elles apprennent que le dit voleur a une bague d'une valeur d'un million d'euros sur lui...

Par la Cie Alchimia.

  • Le mot de l’auteur

Cette pièce est un boulevard qui en respecte tous les codes : péripéties, mouvement, quiproquos… Faire rire est donc mon unique ambition. Les dialogues sont crus, certaines situations violentes (voire sanglantes), mais uniquement dans ce but.

Dans cette pièce, j’ai voulu donner la parole à trois jeunes femmes, c’est-à-dire âgées d’une vingtaine d’années. En effet, nombre de pièces, films, séries, nous dépeignent les travers d’une génération trentenaire, mais jamais ou - rarement - les tribulations de jeunes adultes.

Voici sur le devant de la scène une génération précaire, estudiantine, subissant le « diktat » de la mode et vivant au-dessus de leurs moyens. Les propositions dramatique et thématique ne sont pas d’une haute philosophie.

Cependant, je tente, sans prétention, de pointer du doigt certaines « dérives » : l’influence des programmes américains, qui baigne toute une génération dans une culture télé abrutissante ; l ’appât du gain, thème sans cesse utilisé dans nombre de comédies, avec la particularité qu’ici, ce sont trois jeunes femmes qui sont sur le devant de la scène, prêtes à tout pour s’enrichir et ainsi sortir de la galère que leur impose leur condition sociale ; la précarité des jeunes étudiants (le CPE n’était pas encore au centre des débats lorsque j’ai commencé à écrire) combinée avec la dictature de la mode qui pousse ces trois jeunes femmes (mais sont-elles les seules ?) à voler sans cesse des vêtements. Ce dernier point peut sembler excessif, mais je suis parti d’un constat bien réel pour me permettre de le développer ici.

Certains passages de la pièce ne sont pas sans évoquer le grand guignol, de par leur aspect sanglant et « trashy » ; c’est une manière de rendre hommage à ce genre presque oublié mais repris aujourd’hui à mon sens par les films d’horreur ou films « gore ». Encore une manière de parodier certains programmes américains, sans toutefois les attaquer de front, loin de moi cette prétention.

Benjamin Waltz

Sélection d’avis du public

Meurtrières à 4 épingles Le 20 septembre 2007 à 04h15

Succulent!On a adoré..c'est si bien joué et si drôle! on en sort léger et souriant, n'hésitez pas...allez y!

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Meurtrières à 4 épingles Le 20 septembre 2007 à 04h15

Succulent!On a adoré..c'est si bien joué et si drôle! on en sort léger et souriant, n'hésitez pas...allez y!

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Guichet Montparnasse

15, rue du Maine 75014 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Lieu intimiste Montparnasse Salle climatisée
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  • Bus : Gare Montparnasse à 63 m, Jean Zay - Maine à 328 m, Montparnasse à 346 m
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15, rue du Maine 75014 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 3 novembre 2007

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