Meurtres au troisième

Paris 19e
du 6 janvier au 27 février 2000

Meurtres au troisième

CLASSIQUE Terminé

Une femme, Rachel, berce sa fille de quatre ans, Sarah, au rythme d’une musique yiddish interprétée par un flûtiste. Elle est interrogée par un inspecteur de police. Un couple a été assassiné au troisième étage de l’immeuble.

Avant-propos
Synopsis
Note d'intention
La presse... et les précédentes créations 

Avant-propos

Françoise LORENTE, enfin une comédienne originale, avec une grande présence sur scène, burlesque et inquiétante. Après chacun de ses textes, vous avez envie de lui en demander un autre pour savoir où ses tours d’esprit, de malice et de télescopage avec les mots vont vous entraîner. "Monologues" et "Soliloques" sont dans un bateau, "Monologues" tombe à l’eau, qu’est-ce qui reste : "Soliloques" ! Ceux de Françoise LORENTE, j’aime bien.

Jean-Paul FARRÉ

Synopsis

Une femme, Rachel, berce sa fille de quatre ans, Sarah, au rythme d’une musique yiddish interprétée par un flûtiste. Elle est interrogée par un inspecteur de police. Un couple a été assassiné au troisième étage de l’immeuble. Sous les menaces et le charme de l’inspecteur Manuel, Rachel lui présente ses voisins, des personnages de sketches ubuesques! Evidemment, ils ont tous un alibi...

Roberta, la femme de Roberto, ne cessait de se lamenter ce soir-là, à la manière d’une certaine Juliette : " Oh Roberto! Pourquoi es-tu Roberto, Roberto... ".
Marcelle, une femme obèse, et son mari, Marcel, un homme maigrichon, manquaient de se noyer à la piscine! : " Maigrelet comme il est, pas plus épais qu’un sandwich SNCF, avec moi autour, on aurait dit un hot dog! "
Jeanne, médecin, les réanimait tandis que ses enfants, Justin et Justine, les " jujus ", manipulaient : " Qu’est-ce que vous manipulez avec vos petits doigts potelés?... Des gènes! ... Les petits génies... "
Quand à Rachel, elle voit en Manuel... Samuel, le papa de Sarah, qui est parti et qu’elle regrette amèrement : " Un de perdu, dix de retrouvés. Surtout des comme lui! Tout tordu!... tellement qu’on devait le tenir des fois, il ne marchait plus droit. "
Des musiques traditionnelles, interprétées par un flûtiste complice du jeu, rythment la vie de cette maison de fous.

L’inspecteur découvrira-t-il le meurtrier?

Note d'intention

Après avoir mis en scène des textes d’auteurs tels que Wilde, de Beauvoir, Cocteau ou Genêt, j’avais envie de me " frotter " à la comédie. A la lecture de " Meurtres au troisième ", j’ai découvert une pièce originale, d’un humour très personnel, dans laquelle la réalité et l’absurde sont intimement liés. Je pense que dans la comédie, plus que dans tout autre style théâtral, la direction d’acteur et la mise en scène se doivent d’être à l’image d’une partition musicale : précise et discrète, afin de disparaître pour mieux laisser apprécier la musicalité des mots et la virtuosité de l’interprète. La personnalité de l’auteur, de la comédienne, ainsi que celle d’un musicien " live " apportant complicité et originalité, ont confirmé le désir de me lancer dans cette aventure.

Michel VOLETTI
Metteur en scène

La presse... et les précédentes créations 

Le Quotidien de Paris : " ... Françoise Lorente, petite fille inspirée de Queneau et Pérec. Notre héroïne a du génie et le vent en poupe. Car, si elle possède une plume brillantissime, elle a aussi un don d’actrice exceptionnel ". Sabine MAIDA.

Le Point : " Françoise Lorente possède un vrai talent d’imagination, une présence forte. Elle "déménage" et emporte son monde là où elle veut. Elle renouvelle le genre du comique féminin. Avant qu’elle ne figure dans l’encyclopédie du non-sens, on peut la voir dans "Je me sens dessus dessous" ". Claude AUBRY.

L’événement du jeudi : " Françoise Lorente donne libre cours à ses fantasmes dans une série de sketches à textes servis par une palette de mimiques théâtrales. Une valse d’associations de mots et d’idées à consommer... ". Pierre NOTTE.

Figaroscope : " Une comédienne attachante, mystérieuse, d’une subtile beauté, seule en scène pour un "One-woman-show" pas comme les autres ". J. L. JEENER.

Le Cercle des Amis d’Arte : " L’univers dans lequel Lorente nous transporte est proche du délire onirique. Les images s’imposent d’elles-mêmes. Cette comédienne donne une dimension poétique et théâtrale au comique ".

Le Parisien : " Une nouvelle venue pleine de talent. On apprécie la gestuelle de cette grande jeune femme brune et son aplomb à vous raconter des histoires à dormir debout qu’elle débite de sa voix précise, juste, à plusieurs registres. ". Sophie CAMBAZARD.

Le Panorama du Médecin : " Chaos sentimental aux urgences. Son humour est parfois déroutant mais jamais racoleur. On la suit dans ses méandres imaginaires, étonnés devant ce monde "sens dessus dessous" ". Sylvia ZERBIB.

Profils médico-sociaux : " D’un mot à l’autre, sur un mode surréaliste, Françoise Lorente nous livre un "One-woman-show" d’un genre nouveau ".

La Terrasse : " Une écriture très originale et très imaginative. Ce "One-woman-show" est complètement délirant et burlesque. Françoise Lorente sait jongler avec les mots qu’elle triture, chiffonne, déguste et réorganise à son gré, pour notre plus grand plaisir ". Monique CHARRON.

Paris Boum Boum : " En quête de "One-woman-show" d’un genre nouveau? Vous serez bien inspirés d’aller découvrir Françoise Lorente. Rideau! " Myriem HAJOUI.

Faim de siècle : " Si présenter un corps de liane offre quelques avantages, savoir le faire parler de mots suscités et de mots dits en un jeux décadent, burlesque, voire inquiétant, confine à l’exercice de style et à la distinction ". Catherine DESPINOY.

Têtes d’Affiches (De Paris) : " Cette femme, la belle Françoise, est du genre douée; elle a écrit cette pièce, "Je me sens dessus dessous". Ce puzzle très drôle nous plaît. ". Philippe NOISETTE.

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Spectacle terminé depuis le dimanche 27 février 2000

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Spectacle terminé depuis le dimanche 27 février 2000