Marguerite et moi

• Des prises de positions nettement tranchées

Face à un monde irrémédiablement mal fichu, Marguerite Duras nous donne sa façon de réagir au travers d’interviews et d’entretiens issus de grands moments de radio ou de télévision.

Toujours saisie sur le vif, cette parole pleine de férocité, de roublardise et de drôlerie donne à voir des prises de positions nettement tranchées sur des thèmes aussi différents que l’enfance, la pauvreté, l’engagement politique, les bains de soleil, le travail, le fou rire, le quotidien...

Et il est formidable de constater à quel point cette capacité d’indignation et ce désir de résistance font écho dans la France d’aujourd’hui, et ne connaissent pas de grands ou de petits sujets.

Elle dit : « Faire pour soi des pommes de terre sautées, c’est littéralement inconcevable », elle dit : « La sorcellerie est du côté de la femme », elle dit : « Moi je plains les gens qui sont en couple ».

Et quand on lui demande : « Mais vous admettez qu’il y ait des gens qui pensent autrement que vous ? », elle répond : « Euh, non, je ne l’admets pas ! »

• La presse

« Avec subtilité, Fatima Soualhia-Manet se joue de Duras et de toutes ses facettes. Et peint un portrait touchant de vérité. » Le Figaro

« La Dame acquiert une cohérence scénique savoureuse grâce au jeu subtil de Fatima Soualhia-Manet. Un jeu net et précis pour une soirée pimentée. » L'Express Styles

« La pièce dresse un portrait d’une Marguerite Duras subversive dans ses réponses, ses non-réponses et ses silences aussi. Cela nous rappelle combien cette parole est nécessaire et actuelle. » La Dispute, France Culture

« On ne saurait que trop conseiller de ne pas passer à côté de ce Marguerite et moi. Le spectacle, mis en scène avec acuité par les deux comédiens, se révèle passionnant. » Pariscope

« Un portrait sensible se dessine, drôle, grave, attachant. » La Croix

« Pièce novatrice au Théâtre de Belleville. Fatima Soualhia-Manet et Christophe Casamance nous font découvrir l’incroyable personnalité de l’écrivain et son regard sur le monde. » 20 Minutes