À partir de 11 ans.
Molière 2022 du Théâtre public.
Dans le cadre du festival OVNI (Théâtre 71).
Après Bigre, Molière de la Comédie 2017, Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan, dans un feu d’artifice de bouts de carton, nous invitent à un voyage imaginaire, fusion des délires d’un cabaret de « cartoons » et d’une épopée shakespearienne.
Il quitte les plaines du Grand Nord, maudit par une sirène pêchée par accident. Il s’évade en patins, à trottinette, en avion cartonné. Il découvre l’Écosse, repart vers le sud à dos de mulet, assassine quelques cornemuseurs au passage, cherche l’amour, toujours. Mais l’acteur en costume trois pièces reste assis, c’est la folie du spectacle. Son acolyte en maillot de bain s’agite autour de lui avec des centaines de morceaux de carton où sont inscrits les noms des pays, accessoires ou bestioles rencontrées. Aventures rocambolesques déployées à force d’astuces et de gags, c’est une explosion d’idées géniales et farfelues.
Distribution en alternance.
« Derrière ce titre énigmatique, légèrement gênant aux entournures, se cache un spectacle d’une grande originalité, à découvrir en famille. Un « road trip » de carton où l’irrévérence le dispute à la poésie. » La Croix
« Rire sans cesse, secoué par les trouvailles gamines et extravagantes, les trouvailles de ces deux garçons hyper doués qui s'amusent et nous amusent avec leur cabaret de carton. » Le journal d'Armelle Héliot
« Les gros patinent bien déborde d'inventivité et de joie scénique. » La Terrasse
« Sans qu'un seul mot soit prononcé, le spectacle rend hommage au burlesque du cinéma muet et aux gags burlesques de la comédie du slapstick. Irrésistible. » Les Inrockuptibles
« Le duo évolue de façon aussi pertinente que naturelle dans cette pièce qu’il n’est nul besoin d’expliquer. Et le public ne s’y trompe pas, la proposition fait un bien fou à l’esprit. Même la statuette de Molière qui, pour le coup, n’est pas en carton, a trouvé sa place dans cette mise en scène de l’absurde. » Peter Avondo – Snobinart
« Récompensée du Molière du Théâtre Public, l’odyssée burlesque de Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan n’en finit pas de faire rire aux éclats. » Etienne Sorin – Le Figaro
70 avis