Consignes sanitaires
Le port du masque n'est plus obligatoire mais recommandé.
Le Théâtre Tristan Bernard est un théâtre à l'italienne de 398 places.
Vous avez de nombreuses possibilités de vous restaurer à proximité du Théâtre Tristan Bernard, l'équipe vous recommande La Pergola Loundge.
Le Théâtre dispose d'un vestiaire au prix de 1 euro par dépôt.
Les ouvreurs sont rémunérés au pourboire.
Le retrait des places s'effectue 30 minutes avant le début du spectacle.
Construit en 1911 par la Fondation Léopold Bellan (qui en est toujours propriétaire ) pour accueillir les réunions et les spectacles éducatifs de son institution de jeunes filles, la salle s'ouvre par la suite au public en 1919 sous le nom de Théâtre Albert 1er, en l'honneur du roi des belges.
Tristan Bernard en prend la direction en 1930. Il le baptise Théâtre Tristan Bernard et y présente ses comédies. Après son départ, le théâtre retrouve son nom de Théâtre Albert 1er.
En 1936, Charles de Rochefort, comédien qui avait tourné à Hollywood sous la direction de Cecil B. de Mille, revint à paris et s’installa dans cette salle renomme la salle, Théâtre Charles de Rochefort. Il commence sa programmation avec Allo, Police-secours, pièce policière dont il est l'auteur. Le succès l'incite à présenter de nombreuses pièces policières et à suspens, genre qui plaisait beaucoup à l’époque et dont le théâtre se fit une spécialité. parmi les succès de l’époque, il faut citer : L’Homme au parapluie, Liberty Bar et Le troisième témoin. Le concours des Jeunes Compagnies de théâtre y est organisé chaque année au mois de mai. Mobilisé et blessé à la guerre en 1939, il doit céder la direction à son épouse Mary Grant jusqu'en 1972.
En 1973, Dominique Nohain, fils de l'animateur Jean Nohain, prend la direction du théâtre et le renomme Théâtre Tristan Bernard en souvenir de son passage comme directeur. Il présenta : Seul le poisson rouge est au courant, Les Dzi croquett’s et Crime à la clé.
En 1985, Edy Saiovici, en reprenant la direction, y assura une programmation conforme à ses goûts. Il fit appel à des metteurs en scène amis comme Philippe Caubère, Jean-Michel Ribes, Marcel Maréchal, Jean-Marie Besset, Jean-Luc Revol...
Il accueillit les spectacles de Albert Dupontel, Patrick Timsit, Sylvie Joly et Dany Boon.
Plusieurs spectacles furent récompensés par des Molières : Brèves de comptoir, André le magnifique, La Framboise Frivole, Commentaire d’amour, Théâtre sans animaux, L’amour est enfant de salaud, Les Muses orphelines, Le Jazz et la diva, Une souris verte, L’Illusion conjugale....
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