
« Urbains…sûrement, joyeux…à n’en pas douter…mais aussi féroces et drôles, généreux et émouvants. Sur un groove acoustique remarquablement maîtrisé, quatre garçons nous servent des textes délicats et loufoques, le tout nappé d’une prestation scénique époustouflante. Les joyeux Urbains proposent une chanson d’humour contemporaine qui a su s’affranchir des clichés passéistes des chansonniers de cabaret. Un grand bol « d’airs » à savourer sans retenue. » Le Mans cité chanson, P.M Robineau
« Dans la grande lignée des groupes inclassables, les Joyeux Urbains enchaînent mélodies grinçantes et franche déconnade. Ils savent tout faire et tout jouer : une java en ukulélé, du swing comme s’il en pleuvait, un bon rock pour la frime ou un pur « groove acoustique ». Tous les styles y passent ! Même le folklore japonais ! Ces zazous sont des pros ! » Culture pays de la Loire, Janvier 2005
Chant, piano, accordéon, glockenspiel : Arnaud Joyet
Chant, contrebasse : Emmanuel Urbanet
Guitare, chœurs : Mathieu Rieusset
Batterie, chœurs : David Roquier
Originaires du St Quentinois, le groupe est le fruit de la rencontre de Serge, Mohamed, Farid et de Pascal (batteur afro-jazz-reggae ). Ils jouent depuis quelques années une musique à la rythmique soutenue, un reggae aux textes imprégnés d’une conscience. Le répertoire, spécialement préparé, pour cette soirée de festival sera éclectique avec une musique festive « rock » et « ska », c’est en effet dans cette harmonie que les effarés aiment se produire.
Serge : batterie
Mohamed : basse
Farid : guitare, chant
Pascal : percussions
Dikès est un étonnant personnage, nouant ensemble les cultures des deux rives de la Méditerranée, sans jamais s’imaginer ailleurs que dans la chanson française…Bien sur, il chante deux titres en arabe, assaisonnés au passage de violon latin, de percussions indiennes et de piano antillais, ou plonge dans les usages du flamenco L’Echarpe de Maurice Fanon. Mais il chante (et écrit aussi, parfois) de pures splendeurs évadées entre Kessel et Brel, ou Y’a pas de honte à ça, écrit par Allain Leprest…
« …En l’écoutant, on comprend que Yahia Dikès a connu l’abject…Au son de mélodies bigarrées – mélange de classique, de jazz, de musique cubaine, tsigane ou indienne, l’artiste algérien chante avec force une réalité, celle des bas-fonds qu’il a sans doute explorés. Dans ce monde-là, il y a la douce musique menaçante et incessante « des gyrophares qui passent » ; la violence « des lames qui scintillent et laissent des traces » et encore « des joints et de l’alcool », des isoloirs, des regards perdus et si peu de sanglots de plaisir… »
Rue Gabriel Péry 02430 Gauchy