Le condamné à mort

du 26 au 29 novembre 2003

Le condamné à mort

Le Condamné à Mort, écrit à la prison de Fresnes, est l’une des premières œuvres de Genet. Dédié à l’assassin Maurice Pilorge, ce poème lyrique et sublimement trivial donne à entendre en même temps la parole d’un condamné et celle de son fiévreux adorateur. Nourri des nuances de la musique contemporaine, ce poème, aujourd’hui devenu opéra, est porté à la scène par l’homme de théâtre Michel Fau.

Pari(s) d’opéra : un événement

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Mettre en musique le texte de Genet

Pilorge et Genet

Maurice Pilorge, le condamné à mort

Extraits

La presse

Le Condamné à Mort, écrit à la prison de Fresnes, est l’une des premières œuvres de Genet. Dédié à l’assassin Maurice Pilorge, ce poème lyrique et sublimement trivial donne à entendre en même temps la parole d’un condamné et celle de son fiévreux adorateur.

« Ce long poème érotique à la gloire de Maurice Pilorge, assassin de vingt ans est une splendeur. La prose est courte, insolente, hautaine. Le style est parfait » Jean Cocteau

Le langage est ici traversé par deux influences : celle du voyou provocateur des faubourgs et celle, mystique et pure, du poète quasi tragique. Dans sa composition musicale, du « parlé » théâtral au chant le plus lyrique, Philippe Capdenat a alterné les formes musicales traditionnelles (pasacaille, rondo, …) avec des formes plus actuelles (musette, variété, …). Nourri des nuances de la musique contemporaine, ce poème, aujourd’hui devenu opéra, est porté à la scène par l’homme de théâtre Michel Fau.

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« Je vais au théâtre afin de me voir sur la scène, tel que je ne saurais ou je n’oserais me voir ou me rêver et tel, pourtant, que je me sais être. »

« J’éprouvais cette émotion lorsque je découpais, dans un journal policier, la photographie de Pilorge. Mes ciseaux suivaient lentement la ligne du visage et cette lenteur m’obligeait à distinguer les détails, le grain de la peau, l’ombre du nez, de la joue. D’un point de vue neuf, j’apercevais le visage chéri. Puis devant tourner de haut en bas, pour les facilités de découpage, il me composa soudain un paysage montagneux, d’un relief lunaire, plus désert et désolé qu’un paysage du Tibet. J’avançais sur la ligne de front, je tournais un peu et soudain, avec la rapidité d’une locomotive emballée, fonçaient sur moi des perspectives d’ombres, des gouffres de douleur. »

Jean Genet

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Genet comme Shakespeare ou Pirandello reste opaque et ambigu, il nous échappe, il est plus fort que nous, on ne peut que témoigner de ce mystère, de ce jeu de rôles, de ce labyrinthe fantasmatique.

Plus que jamais avec Le Condamné à mort (peut-être parce que c’est un poème et aussi parce que ça devient un opéra) Genet avoue nos désirs plus ou moins conscients en mêlant lyrisme fiévreux et trivialité sublime.

Il faudrait retrouver ça sur scène. Ne pas se contenter d’une reconstitution sinistre et anecdotique de l’univers carcéral mais au contraire se rapprocher du domaine du Balcon (la maison d’illusions !) où le cliché théâtral épouse une barbarie charnelle, sous forme de cérémonie macabre. La puissance de la musique et de la voix chantée affirme l’imaginaire sulfureux de Genet.

Michel Fau

Parfois, il m’arrive un miracle. Par exemple : Le Condamné à Mort de Jean Genet. Ce long poème est une splendeur. La plaquette est datée de la prison : Fresnes, septembre 1942. Poème érotique à la gloire de Maurice Pilorge, assassin de vingt ans. La prose est courte, insolente, hautaine. Style parfait. Jean Cocteau

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Genet a passé relativement peu de temps en prison et pour des délits mineurs. Mais dans son œuvre qu’il donne souvent comme autobiographique, il aggrave les causes, les conditions et la durée de ses détentions pour des raisons qui peuvent être d’orgueil et de narcissisme « inversés » (au sens où l’on parle souvent de la morale « inversée » de Genet), mais qui sont à coup sûr des raisons littéraires pour atteindre au tragique et à l’universel.

C’est donc ce « personnage » qui ment pour dire une vérité plus profonde que j’ai voulu mettre sur la scène et « faire chanter ». Le choix s’est très vite porté sur un comédien chanteur qui avait le désir profond de l’incarner, plutôt que sur une voix lyrique : il s’agit avant tout d’un spectacle de théâtre, écrit pour l’interprète à qui il est dédié. Ce premier choix a bien sûr orienté le style vocal de mon écriture.
Ce « personnage » est double à plus d’un titre : C’est d’abord le (faux) Genet parlant du (vrai) condamné à mort Pilorge, qu’il veut faire croire son ami ; c’est aussi Pilorge, dans une totale recréation du poète. Les passages de l’un à l’autre sont clairs dans le poème et dans les styles de la musique.

C’est un voyou homosexuel des boulevards de l’entre-deux-guerres, provoquant, trivial et cynique dont le langage est cru ; c’est aussi le superbe poète qui atteint de très grandes hauteurs d’évocation, de pensée et même souvent de mysticisme, dans une langue très pure, élitaire et quasi-racinienne ; la séparation entre ces deux derniers personnages ne coïncide pas toujours avec celle des deux précédents.

C’est enfin celui qui dit : « je vous méprise, seul devant mon malheur et ma mort » et en même temps : « j’écris pour que vous me compreniez et m’aimiez » ; cette imbrication est l’essence même du tragique de ce poème et de l’émotion qu’il nous donne. Usant de toute la gamme du mélodrame (du parlé de théâtre au chant le plus lyrique), l’interprète incarne tous les aspects contradictoires du « personnage » sans qu’aucun des styles vocaux ne soit rigidement liés à l’un de ces aspects ce qui m’aurait paru naïf et infidèle à la constante ambiguïté du poème. Dans ses fluctuations entre les styles, le chanteur reste dans une élocution simple et quasi « populaire ».

De même, l’accordéon solo, s’il est là bien sûr pour le côté voyou et interlope (dans la «  » et les deux « Chansons » par exemple), est aussi l’instrument à part entière qui peut soutenir un discours « noble » et donc plus « contemporain ». L’instrumentation de l’orchestre est choisie pour convenir à la fois à un effectif de type « variété » (clarinette, trompette, trombone, piano, contrebasse) et à une formation de type « symphonie de chambre » sans là non plus de liens rigides avec les « personnages » les formes ni même les styles. Le synthétiseur sera aussi employé à des « bruitages de théâtre » de sons carcéraux. ou exotiques (Guyane). Il arrive donc que la « symphonie de chambre » accompagne une chanson sur un texte « voyou » ou qu’une formation de « variété » joue dans un style « noble » sous un texte (chanté ou parlé) de grande hauteur poétique, ainsi que bien d’autres combinaisons entre tous les éléments évoqués, toujours dans ce souci d’ambiguïté non formaliste.

Écrire dans un style uniquement « contemporain » n’aurait pris en compte que le côté élitiste du texte. Faire une série de chansons aurait rabaissé le ton général du poème. Je crois avoir évité le danger de manque d’unité par les multiples interpénétrations déjà dites et par l’utilisation d’un matériau unique (la série « tous intervalles ») qui se prête à tous les usages qui m’ont été nécessaires. Tout cela m’a permis de clore l’opéra par une « Marche funèbre » uniquement instrumentale, évoquant l’exécution du condamné telle que Genet l’a décrite dans Le miracle de la rose, sorte d’ouverture à la fin qui rappelle et combine entre eux les mélismes, les couleurs, les styles et les formes qui se révèlent là non contradictoires.

L’œuvre est en cinq grandes parties comme le poème de Genet et les quatrains qui composent ces parties sont groupés par thèmes dans des formes par numéros qui souvent s’enchaînent, sans préjuger d’une mise en scène qui aurait besoin de silences.
Les formes sont aussi bien traditionnelles (passacaille, variations, récitatif, air, stances, hymne, rondo, agitato, etc.) que plus actuelles (musette, chanson, salsa, etc.).

En résumé, il s’agit d’une sorte de « cycle de chansons » (comme on dit « cycle de lieder ») dans un ton général de simplicité populaire mais « avec tout le confort moderne » (cf. Schoenberg) de la musique contemporaine.

Philippe Capdenat, compositeur

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« Tous les voyous ont les yeux de leur mère » Jean Genet

À partir de 1926, Maurice Pilorge, orphelin de douze ans, et Jean Genet, alors pupille de l'Assistance âgé de seize ans, se croisent souvent, sans se rencontrer, au sein de patronages pour « dévoyés ». Dans les Vosges, le tueur de poules et l'incorrigible fugueur défilent devant le même secrétaire qui enregistre leur état civil. Étrange concomitance : tous les deux sont nés un 19.

La biographie de Maurice Pilorge n’est qu'incessant jeu des gendarmes et du voleur. En janvier 1931, il s'offre un vélo pour la nouvelle année : six mois de prison avec sursis... Parfois, le noté « très hypocrite et très sournois » s'accordait une accalmie, comme à Eysses, dans l'ancienne centrale aménagée où il s'adonne à la menuiserie. En 1935, libéré de la centrale d’Eysses, il se rend à Paris, chez sa tante, concierge au 135, rue de Versailles. Ce pourrait être une adresse banale sauf que l'immeuble mitoyen fut un temps la propriété d'un certain Anatole Deibler qui appartient à une dynastie de bourreaux. Incroyables chassés-croisés entre Pilorge-Genet-Deibler ! Ce qui devait arriver arriva...

Ayant dépouillé de leurs économies la quasi-totalité des membres de sa famille, Pilorge commet d'innombrables méfaits entrecoupés de séjours derrière les barreaux. L'été 1938, le déserteur échoue à Dinard, histoire de cambrioler quelques villas, « ivre de sa seule danse ».(…) Pilorge s'imagine bourgeois, à défaut d'être Arsène Lupin. Après ses forfaits, il va boire au Brighton où un jeune Mexicain, qui lui fait des « propositions déshonnêtes », transforme le voleur en criminel. Pilorge soutire de l'argent à son éphémère « amant » (dixit Genet) qu'il égorge avec un rasoir. Arrêté, Pilorge est jugé aussitôt : « Tâche d'avoir un mot, lui dit son avocat, sinon tu vas te faire condamner à mort. » Et Pilorge : « Je m'en fous ».

Pilorge subira la décollation en février 1939, avec, selon Genet, la « nonchalance de la fatalité ».

Extrait de l’article de Bernard Morlino,
Lire, mai 1999

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Maurice Pilorge a payé sa dette avec le sourire… Maurice Pilorge meurtrier du Mexicain Escudero, le 5 août dernier, à Dinard, est mort hier, à Rennes, avec humour, sérénité et un certain détachement. Mais on doit reconnaître qu'il a su garder sa tête jusqu'au bout...

... Exactement jusqu'au moment fatal où M. Desfourneaux, l'habituel collaborateur de feu Deibler, la lui a tranchée. L’assassin, qui avait lu dans sa cellule jusqu’à une heure du matin, dormait profondément lorsque l’avocat général, son défenseur, l’aumônier et le gardien-chef de la prison vinrent le réveiller pour lui annoncer le rejet de sa grâce. Pilorge avait d’ailleurs écrit lui-même au Président de la République, insistant auprès de lui pour être exécuté le plus rapidement possible. Le fait étant assez rare vaut d'être signalé. Pilorge accueillit donc la nouvelle de son exécution imminente en déclarant avec philosophie :
- Après tout, on ne meurt qu’une fois...
Il s'étonna ensuite du nombre de personnes qui avait envahi sa cellule. 
- Comme vous êtes nombreux  ! Jamais je n'aurais pensé avoir tant de monde à mon service pour mon petit lever...
Après quoi, le condamné fit soigneusement sa toilette et réclama son petit-déjeuner. L’aumônier lui ayant demandé s’il désirait communier, le criminel acquiesça. Pour se rendre à la chapelle, il se coiffa d'un chapeau en papier qu’il avait confectionné la veille. Un chapeau de gendarme… Pilorge, bien que la journée s’annonçât plutôt mal pour lui, prenait comme on voit, les choses du bon côté. Après avoir entendu la messe et communié, sérieusement, le condamné fut conduit au greffe où il demanda une seconde fois son petit-déjeuner :
- Un grand bol de lait chaud, précisa-t-il, avec du rhum.
Il convient de noter que Maurice Pilorge était grippé, ces jours derniers, et qu’on lui avait badigeonné la poitrine de teinture diode la veille. De là son désir de boire du lait au rhum qui convenait à son état.
- Il est bon, remarqua le meurtrier après avoir dégusté son bol de lait à petites gorgées. Et comme le bourreau le pressait, il lui répliqua : 
- Si vous êtes pressé, prenez ma place, voulez-vous ? (…) M. Desfournaux ayant donc décliné l’offre de Pilorge, celui-ci fuma quelques cigarettes cependant que les aides, à coups de ciseaux, échancraient la chemise du condamné qu’ils se mirent en devoir de garrotter.
- Mais vous me faites mal, voyons, se plaignit-il, vous allez me casser les bras si vous continuez…
Le condamné fut alors dirigé vers l’échafaud, mais au moment de franchir la porte de la maison d’arrêt, il fit arrêter le cortège et demanda à dire quelques mots au gardien-chef qui se présenta :
- Je vous remercie de vos soins, lui dit-il ; je tiens à vous dire que la montre-bracelet que j’ai déposée au greffe à mon arrivée ici est pour mon avocat.
Puis, se tournant vers Me Bourdon :
- Maître, je vous la donne. Vous pouvez la porter sans crainte d'être contaminé et merci pour tout ce que vous avez fait pour moi. Vous méritiez un meilleur client.

La tête haute, Maurice Pilorge s'avança vers l'échafaud sans dire un mot. À 6 h 45 exactement, sa tête roulait dans le panier. Qu'il s'agisse de crânerie, de forfanterie ou d'inconscience, Maurice Pilorge a fait preuve, de toute évidence, devant la mort, d'une certaine élégance et d'un humour que nous ne nous défendons pas d'admirer. Il a su donner au châtiment suprême un petit ton léger, gai, spirituel, enjoué, auquel on n'était pas habitué. L'homme, certainement, valait mieux que sa destinée.
Dommage... Enfin... c'est la vie...

L'Oeuvre, 5 février 1939

 Deibler, bourreau de son métier, meurt d'une crise cardiaque dans le métro alors qu'il partait guillotiner Pilorge.

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Sur mon cou sans armure et sans haine, mon cou
Que ma main plus légère et grave qu'une veuve
Effleure sous mon col, sans que mon cœur s'émeuve,
Laisse tes dents poser leur sourire de loup.

O viens mon beau soleil, ô viens ma nuit d'Espagne,
Arrive dans mes yeux qui seront morts demain.
Arrive, ouvre ma porte, apporte-moi ta main,
Mène-moi loin d'ici battre notre campagne.

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« Genet, de la prison à l’Usine »
(…) Drame lyrique, certes Philippe Capdenat puise dans une tradition plus ancienne qui correspond mieux sans doute au poème de Genet ; le mélodrame romantique. Une forme que Mozart appréciait fort chez son compatriote tchèque Benda, et que Liszi a beaucoup pratiquée avec accompagnement de piano.
Ici, ce dernier est remplacé par une vingtaine d’instruments tous remarquables, placés sous la baguette de Jean-François Verdier, qu’on connaissait plus jusqu’à présent comme jeune super-soliste, clarinette solo de l’Opéra de Paris. Cette fréquentation régulière des chanteurs n’est pas pour rien dans sa totale réussite. Car la partition d’orchestre est comme une vaste toile aux reflets les plus divers, empruntant à tous les genres et à toutes les époques pour soutenir le monologue, tantôt parlé, tantôt chanté comme un long récitatif, du héros de Genet.

Il est piquant d’observer qu’a des kilomètres de distance et sans se connaître ni se concerter deux compositeurs - le Hongrois Peter Eötvös et le Français Philippe Capdenat - en viennent à recourir, parfois, comme sous une même contrainte à la chanson française réaliste et poétique pour illustrer Genet (…).
Depuis que Jean-Pierre Brossmann l’a intégré voilà dix ans à la troupe de l’Opéra de Lyon, on savait la qualité du musicien et la vaillance du chanteur. Cette épreuve du « seul en scène » révèle un extraordinaire comédien qui parle avec son corps, immobile ou déchaîné, avec tous les registres de sa voix, y compris parlée. Car le compositeur n’entre que progressivement dans le poème de Genet, laissant d’abord parler les mots, se contentant de brosser une trame orchestrale avant d’imposer sa ligne de chant. Jamais un mot du poème ne se perd.

Il serait injuste de ne pas associer à cette réussite la famille Michel Fau : Michel pour la direction d’acteur, Bernard pour le décor et Pascale pour le maquillage. Important est aussi le rôle des lumières de Xavier Hollebecq. Michel Fau suggère ou explicite le drame sans jamais quitter le registre poétique dans lequel s’inscrit la violence ou la crudité des mots (…). Un magnifique spectacle qui va voyager et dont on espère qu’il passera par Paris (…).

Jacques Doucelin, Le Figaro, 7 août 2002

« Opéra polychrome d’après Genet »
(…). Une partition qui va du grand opéra à la tradition du cabaret.
Découpé en cinq parties, conformément au poème de Gent, l’ouvrage de Capdenat découle du monodrame initié par Schumann, Liszt et Strauss ; et l’on songe au Pierrot lunaire et Erwartung de Schönberg. (…) Cette longue page d’une heure ponctuée de judicieux silences, mêle certes tous les styles, ce qui ne l’empêche pas d’en avoir un qui lui soit propre. Mais le compositeur, qui qualifie lui-même sa pièce de « cycle de chansons, comme on dit cycle de lieder » réussit la gageure de réaliser une œuvre forte, personnelle, opulente, entièrement portée sur l’expression juste des sentiments et de la révolte du condamné à mort. Sans sombrer dans la facilité et sans étalage d’un savoir-faire pourtant évident. Aussi reste-t-il au service de l’esprit ambigu et sombre de Genet. (…)

Le récit de ce monodrame a été confié à un baryton qui se doit d’être autant chanteur solide que comédien inspiré. Des conditions réunies en la personne de Christophe Lacassagne, artiste complet à la voix sombre et au regard d’une intensité expressive extraordinaire.

La mise en scène de Michel Fau (…) magnifie le climat poétique et la crudité brute de l’univers de Genet, soulignées par la scénographie de la famille Fau (…). Un spectacle remarquable que l’on espère revoir très vite, en région comme à Paris.

Bruno Serrou, La Croix, août 2002

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Sélection d’avis du public

christophe lacassagne Le 23 novembre 2006 à 13h50

A quand une reprise de ce spectacle? Je suis une fan depuis que je suis toute petite de ce chanteur (une petite flute enchantée) et quand j'ai vu le condamné à mort, je me suis dit qu'il trouvait là son meilleur rôle. Elisa

Le condamné à mort Le 22 novembre 2006 à 08h00

D'accord à 100%! Et heureux de voir qu'enfin ce chanteur commence être reconnu à sa juste valeur. Si sa prestation dans le condamné à mort reste innoubliable, je vous invite à voir son Schweik dans le brave soldat Schweik. Enfin un chanteur qui est capable de jouer des rôles complétement différents. J'allais dire enfin de la différence dans le théâtre ou l'opéra.

Le condamné à mort Le 22 juin 2006 à 16h50

Christophe lacassagne: artiste éblouissant... Le plus grand baryton actuel. Ce chanteur a 30 ans d'avance dans sa modernité. Acteur remarquable, diction parfaite, musicalité à pleurer. Chante-il? joue-t-il? on s'en moque! il nous fait voyager dans des univers differents. Oui, on en redemande. Merci à vous monsieur.

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christophe lacassagne Le 23 novembre 2006 à 13h50

A quand une reprise de ce spectacle? Je suis une fan depuis que je suis toute petite de ce chanteur (une petite flute enchantée) et quand j'ai vu le condamné à mort, je me suis dit qu'il trouvait là son meilleur rôle. Elisa

Le condamné à mort Le 22 novembre 2006 à 08h00

D'accord à 100%! Et heureux de voir qu'enfin ce chanteur commence être reconnu à sa juste valeur. Si sa prestation dans le condamné à mort reste innoubliable, je vous invite à voir son Schweik dans le brave soldat Schweik. Enfin un chanteur qui est capable de jouer des rôles complétement différents. J'allais dire enfin de la différence dans le théâtre ou l'opéra.

Le condamné à mort Le 22 juin 2006 à 16h50

Christophe lacassagne: artiste éblouissant... Le plus grand baryton actuel. Ce chanteur a 30 ans d'avance dans sa modernité. Acteur remarquable, diction parfaite, musicalité à pleurer. Chante-il? joue-t-il? on s'en moque! il nous fait voyager dans des univers differents. Oui, on en redemande. Merci à vous monsieur.

Informations pratiques

Théâtre Silvia Monfort

106, rue Brancion 75015 Paris

Accès handicapé (sous conditions) Bar Restaurant
  • Métro : Porte de Vanves à 417 m
  • Tram : Brancion à 251 m
  • Bus : Morillons - Brancion à 104 m, Brancion - Morillons à 166 m, Fizeau à 186 m, Porte Brancion à 236 m, Vercingétorix - Paturle à 360 m
Calcul d'itinéraires avec Apple Plan et Google Maps

Plan d’accès

Théâtre Silvia Monfort
106, rue Brancion 75015 Paris
Spectacle terminé depuis le samedi 29 novembre 2003

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