Coup de cœur CONTEMPORAIN Le 6 octobre 2017
Tout public dès 12 ans.
1987, Sidi Fares, un petit village proche d’Alger. Dans un garage secrètement transformé en salle de spectacle, Samir rejoue les plus grands baisers du cinéma que l’Etat censure.
« Un dinar la place et bienvenue au Haram Cinéma, le cinéma le plus illégal de toute l’Algérie ! »
Ici, il y a deux règles à respecter : l’identité de Samir doit rester secrète et les femmes sont interdites. Sauf qu’un jour, Leïla, la fille du puissant colonel Bensaada, se glisse dans le public et découvre la mythique histoire de Casablanca.
Un an plus tard, Samir et Leïla s’aiment d’un amour inconditionnel mais interdit... Ils rêvent à un avenir commun tandis que derrière eux, se trame l’ombre d’octobre 88...
« Déployant avec précision et humour le quotidien du village de Sidi Fares, à une époque, pas si lointaine, où la censure et la pénurie, l’oppression des femmes et la loi militaire maintenaient sous cloche les désirs de liberté. Ce spectacle porté par trois acteurs qui sautent de rôle en rôle avec énergie, est de ceux qu’on quitte heureux, bien convaincu que le théâtre, décidément, c’est aussi bien que le cinéma. Voire mieux. » Télérama
« Un étendoir, trois cagettes en plastiques, un rideau et l’espace se transforme sous nos yeux. On passe d’un intérieur modeste à une salle de spectacle, à une rue remplie de barricades… Acteur fétiche d’Alexis Michalik, Régis Vallée, qui signe ici la mise en scène, partage avec ce dernier une grande ingéniosité scénique, le sens du récit, la façon d’alterner rire et émotion et d’imbriquer habilement la petite histoire dans la grande. Parfois candide, souvent poignant. » Le Parisien
« La Main de Leïla est une histoire d’amour universelle rythmée par des intrigues poignantes, tel un Roméo et Juliette. On vibre, on garde espoir, on pleure même. Sans doute l’émotion de voir un théâtre si chargé de forces d’évocation et d’utopie. Immanquable ! » Le Point
« Une écriture brève, efficace, drôle et incisive donne un rythme haletant à l’histoire. Les deux personnages principaux une énergie et une aisance en scène qui donne la vitalité nécessaire à cette histoire torride sous les soleils brûlant de l’Afrique du nord. » Reg'Arts
« Dans une société sclérosée où les libertés sont asphyxiées, la fille d’un colonel et un doux rêveur, passionné de cinéma, vont s’aimer contre vents et marées. De leur écriture à quatre mains, vivante, vibrante, Aïda Asgharzadeh et Kamel Isker nous amènent à la découverte d’un pays meurtri au cœur d’une passion broyée par un système moribond. Du théâtre de tréteaux à la Michalik fort réussi ! » Mediapart
Magnifique ! Quels talents, quelle imagination avec leurs bouts de ficelles et leurs objets du quotidien improbables...mais indispensables... Et l'Algérie et cette population qui paie le prix fort... Un petit bijou à découvrir absolument !
Un moment de théâtre inoubliable. Des comédiens plein d'énergie qui font jaillir l'émotion, la tendresse, l'inquiétude, le rire. Tous les sentiments se mêlent, on ne voit pas passer le temps. Mise en scène intelligente et créativité dans les décors. Courez vite voir cette pièce qui est la meilleure vue depuis longtemps.
Pour 2 Notes
Magnifique ! Quels talents, quelle imagination avec leurs bouts de ficelles et leurs objets du quotidien improbables...mais indispensables... Et l'Algérie et cette population qui paie le prix fort... Un petit bijou à découvrir absolument !
Un moment de théâtre inoubliable. Des comédiens plein d'énergie qui font jaillir l'émotion, la tendresse, l'inquiétude, le rire. Tous les sentiments se mêlent, on ne voit pas passer le temps. Mise en scène intelligente et créativité dans les décors. Courez vite voir cette pièce qui est la meilleure vue depuis longtemps.
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