La Vieille au Bois Dormant

• Tour de chant théâtral

« Vous avez devant vous une femme qui jadis scintillait au firmament du music-hall. Elle scintillait comme un astre ! A présent, constatez le désastre ! »

Clémence Massart revient seule sur scène chanter de terribles chansons oubliées, mais aussi des nouvelles écrites pour elle, cruelles et drôles, sur sa décrépitude annoncée, sur les paradis artificiels, l'alcool, la jalousie, le crime et le le rhume.

• La presse

"Il suffit de la voir sur les planches brûler de cette envie de partager son plaisir. Alors, écoutez-la. (...) Riez, riez à ses éclats de voix." O.D., Le Nouvel Observateur

"Clémence Massart passa du Théâtre du Soleil au Magic Circus puis au Footsbarn Theatre, entre autres. Aujourd'hui, elle se fait chanteuse réaliste pour évoquer, au fil de refrains d'une cruelle drôlerie, les ravages de l'âge, la jalousie, l'alcool. S'accompagnant à l'accordéon, elle enchaîne mélodies écrites pour elle et succès d'antan : Le Grand Frisé, Du gris... Autant de textes que Clémence Massart pimente d'une piquante (auto)dérision." Télérama

"(...) un tour de chant étourdissant de malice et d'émotion. Comédienne hors pair, depuis toujours complètement piquée au fuseau de la fantaisie et des textes forts, Clémence Massart brose ici le tableau expressionniste et drolatique d'une vie atypique." Le Canard enchaîné, 26 octobre 2005

"Elle ose tout, le verbe cru et la voix à saute-mouton sur tous les registres. Rigolote peut-être, mais ses "oiseaux" au final sont un petit chef-d'oeuvre de chanson philosophique." Jean de Leysieu, L'humanité, 25 juillet 2005

"Elle descend des goualeuses, des artistes à tripes et tempérament qui ne craignent pas de pousser la note un peu trop fort, pathétique, à la limite du mélo. (..) Mais comme toutes les Carabosse, Clémence Massart est une fée, une magicienne sans paillettes ni poudre aux yeux, mais une femme qui nous séduit par sa nature. Immense, généreuse, fabuleuse qui vaut toutes les grâces du monde." Marion Thébaud, Le Figaro, 5 novembre 2005

"Sa voix, riche de nuances, a fait revivre l’univers des cafés, des filles de joie, de toute une humanité errante à travers les chansons de Fréhel, Damia, Violaine Barret avec laquelle elle a travaillé autrefois au Magic’Circus. Des poèmes de Robert Desnos ajoutaient à la fantaisie de ce voyage musical original où la truculence du verbe n’a d’égale que l’authenticité du propos." F. M., Le Dauphin libéré, 2 avril 2005

"C'est une grande tragédienne. Inquiétante, brutale, furieuse, désespérée, pathétique ... il n'y a que les sorcières pour changer d'apparence aussi facilement." Jacques Nerson