À partir de 15 ans.
- La voix d’une jeunesse rarement entendue
Ils n’ont pas froid aux yeux, s’emparent du plateau pour dire ce qui les unit, les sépare, les fragilise, leur donne la force de se tenir debout et d’avancer.
Dans le sillage d’Illumination(s) et F(l)ammes, accueillis précédemment à Cachan, Incandescences est le dernier chapitre de la trilogie créée par Ahmed Madani, Face à leur destin.
Cette nouvelle aventure s’inscrit dans la dynamique des deux premiers spectacles : faire entendre la voix d’une jeunesse rarement entendue, y amener d’autres corps, d’autres visages, d’autres histoires, poussée par un vent de liberté, de joie et d’espérance.
Incandescences met en scène une dizaine de jeunes gens non professionnels, nés de parents ayant vécu l’exil et résidant dans des quartiers populaires. Ces filles et ces garçons n’ont pas froid aux yeux. Accompagnés par l’auteur et metteur en scène, ils s’emparent du plateau avec jubilation et malice pour dire ce qui les unit, ce qui les sépare, ce qui les fragilise, ce qui leur donne la force de se tenir debout et d’avancer. Tantôt légers, tantôt graves, ils évoquent leur premier « je t’aime », leur premier baiser. Ce récit universel, joué, dansé, chanté, est l’expression de l’immense joie d’amour qui a engendré notre humanité, c’est aussi un éclat de rire qui résonnera longtemps après que les feux de la rampe se seront éteints.
« Ça veut dire quoi, aimer, quand on vit dans une cité où la loi de quartier domine ? Où la femme n’est pas tout à fait l’égal de l’homme ? Ce pourrait être douloureux. C’est l’inverse : lumineux et sensible, touchant. » Le Canard Enchaîné
« Galvanisant, touchant, drôle (…). Ahmed Madani a le don pour récolter la parole de ces jeunes et la transformer en un récit universel passionnant et formidablement mis en scène. » Le Monde
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