Balayer un lieu quotidien équivaut au vent qui souffle dans le désert. Le protagoniste est l’homme qui le vit. La vie même est une cérémonie permanente.
« Avec son sac de baroudeuse, elle s’éloigne dans le météo. “Au fait qu’est ce qu’il faut voir à Paris en ce moment ?” On lui indique deux ou trois spectacles. “Non, pas ça, je voulais dire des choses underground. Il n’y en a pas ?” Si au studio Le Regard du Cygne. » Libération
Chorégraphie et interprétation : Graziella Martinez
Bande son : Pedro Mendes
210, rue de Belleville 75020 Paris