Grand Large

Paris 18e
du 10 au 13 décembre 2008
55 minutes

Grand Large

Des fonds marins au café du port, de tempêtes en naufrages, d’explosions rythmiques en instants poétiques, de débordements d’énergie en souffle d’émotion, quatre hommes (danseurs et musiciens) trament un drôle d’univers maritime où s’entrelacent subtilement musique, théâtre visuel, danse et arts du cirque. Tout au bout du ponton, l’appel du Grand Large n’est autre que l’appel à l’imagination. Dès 5 ans.

Dès 5 ans.

  • Note d’intention

Pour cette pièce, l’idée est que, scénographie, lumière, musique, théâtre et danse se partagent équitablement le plateau, à valeurs égales.

Scénographiquement, je décline des accessoires évoquant l’océan, des objets que l’on détourne de leur sens premier pour solliciter l’imaginaire (deux galets se transforment en oiseaux posés sur la grève..). Je ne cherche pas à être ludique avec : ils sont instruments de musique, costumes sonores, contraintes d’espace, partenaires chorégraphiques ou encore présents pour leur simple beauté ou leur force suggestive. La lumière ouvre l’espace, évoque et construit l’espace de l’écriture chorégraphique, les costumes sont ceux des gens de la mer, simples et robustes, usés par les intempéries de la vie.

Musicalement, le son est le fil conducteur de la pièce : il vient du plateau, musical, vocal ou bruitiste.
La voix intervient sous forme d’onomatopées, mots ou bribes de phrases pour tisser les différents relationnels entre les interprètes sans avoir recours à l’évidence de la phrase ou du texte.

Théâtralement, c’est dans l’humour tendre et décalé que je cherche l’attachement aux personnages, enfin chorégraphiquement, c’est à la frontière du mouvement dansé et du théâtre visuel, et en visitant pour cette pièce le cirque, que j’ai écrit… selon mon habitude.

Prendre le large, partir et laisser le rivage,
Franchir la frontière entre terre et mer,
Changer d’élément,
Mais courber le dos lors des grains ou laisser ricocher les galets ?
Se laisser bercer ou se laisser emporter dans les eaux salées ?
Non, juste s’immerger dans l’immensité.

Michèle Dhallu

  • La presse

« Mer, danse et musique pour nourrir les rêveries. Il y a de l’humour, il y a de la beauté et que l’on soit enfant ou adulte on reste coi, fasciné par ce sublime et mystérieux instant de grâce évanescente. Ce mélange habile de théâtre dansé,tthieu Lecoq -Théâtre En de musique aux allures spontanées et d’évasion vers l’eau salée que nous offre la compagnie Carré Blanc ne peut réveiller en nous que l’appel du grand large qu’est l’imagination… », Matthieu Lecoq -Théâtre Enfants.com.

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Spectacle terminé depuis le samedi 13 décembre 2008

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