
Lieu : Maison de la Culture
La presse
Libération 8/12/98
" Le barde imagineur du rock celtique des 70 revient en grâce nationale avec sa
world-harpe des années 90. Il avait électrifié binious et bombardes en déclencheur de
la revendication identitaire. Il métisse désormais ses compositions de rythmes technos
et de contributions arabes ou wolof, en grand frère d’une Bretagne s’ouvrant au
monde… "
Le Journal du Dimanche 26/04/98
"Alan Stivell reste la figure incontournable des plus grands moments de renouveau du
folk breton depuis trente ans...Douar, album-concept résolument celte et non moins
futuriste, pétri d’influences world et techno…a été enregistré entre Rennes,
Paris et New-York , avec une pléiade d’invités de marque : Jim Kerr,
Youssou N’Dour, Khaled, John Cale… "
Ouest-France Avril 1998
" Techniquement, Alan a depuis longtemps habitué son public aux innovations.
Pour 1 Douar, et parce qu'il se sent " à l’aise dans un perpétuel bain
d’influences ", il n’a pas hésité à flirter avec ce qui flotte dans
l’air du temps : la techno, le trip hop, le dub. Construisant des architectures
sonores dont le tempo rappelle à la fois la tradition bretonne et les rythmes
d’aujourd’hui. Une sorte d’ethno-rock new age, dont il rêve quelquefois
qu’on puisse le danser dans les boites de nuit, " le chaînon manquant
entre la discothèque et le fest-noz ".
Rock & Folk – Juin 1998
" Etonnant Alan Stivell. Au début des années 70, il fut le révélateur de
la musique bretonne, l’électrifiant et la confrontant au rock pour l’une des
premières tentatives de ce qu’on appellerait plus tard fusion. Près de 30 ans
après, il reste l’une des figures marquantes mais aussi les plus
évolutives…Car Stivell ne s’est jamais confiné dans le folklore passéiste ou
les fest-noz. Sa précédente tournée créait la surprise avec un parti rock
rentre-dedans qui avait de quoi décoiffer les puristes et bousculer les sacro-saintes
traditions. Avec (1 Douar) Alan enfonce le clou. Cet album résolument moderne est une
démonstration éloquente du talent d’un barde breton qui a su opter
l’internationalisme et le mélange des cultures ".
Télérama – 22 avril 1998
" Des échos de harpe celtique, de kora mandingue, de talking-drums africains,
côtoient des nappes synthétiques entre raves et new age…Le barde breton qui
révolutionne les chants du pays Breizh depuis une vingtaine d’années parvient
encore une fois à nous charmer. "
Zebrock Automne 98
" …Stivell ne mérite pas seulement le respect. Sa musique est
profondément actuelle, inscrite dans le monde d’aujourd’hui, mais sans jamais
céder à l’air du temps. Lorsqu’il lui prend l’envie d’inviter sur
son dernier album Youssou N’Dour, Khaled ou John Cale, on n’a pas de raison de
contester sa démarche. On sait qu’il ne tente pas la recette miracle, fondée sur
une mixture " world " opportuniste. Tout part d’une démarche
artistique, qui affirme sa certitude que la terre est Une, et riche de toutes sonorités
qui la composent. "
L’Affiche – Mai 98
" L’Assurancetourix des fest noz s’est transformé en barde
planétaire. Poursuivant l’entreprise de rajeunissement rythmique lancée avec Brian
Boru, ce disque (1 Douar) aux multiples featurings, est une synthèse mondiale, expression
parfaite de ce concept parfois fumeux nommé World Music. Le moyen âge rencontre les
civilisations d’orient, les continents se frôlent au son de la harpe
bretonne… "
BP 416 58004 Nevers cedex