Nadir Legrand est parisien mais il grandit sur le plateau de Valensole, dans les Alpes-de-Haute-Provence. De retour à la capitale, il met son accent du midi de côté et se forme à la classe-libre de l'École Florent avant d'intégrer plusieurs compagnies de théâtre.
En 1996, il rencontre Éric Ruf et intègre la Compagnie d’Edvin(e). Il travaille également avec Éric Vigner dans Marion de Lorme de Victor Hugo et intègre le collectif Les Possédés en 2003.
Il tourne aussi dans plusieurs séries de télévision et joue au cinéma dans Regarde-moi de Marco Nicoletti. Parallèlement, il se forme à la réalisation en étant stagiaire sur des longs-métrages et réalise son premier court-métrage Transport en commun en 1999.
Il crée Brushing Production avec Cathy Verney en 2003. À l’aide de cette structure, il produit et met en scène 24 heures et des poussières, un spectacle-performance présenté lors de l’édition 2004 du Festival Temps d’Images à la Ferme du Buisson. Il joue dans Oncle Vania et dans Le Pays lointain avec le collectif Les Possédés. En 2005, il a rejoint la compagnie flamande tg STAN pour la création L’Avantage du doute (Théâtre de la Bastille, 2005). En 2007 il joue dans Derniers remords avant l'oubli de Lagarce avec le collectif Les Possédés. Il participe ensuite à Merlin ou la terre dévastée de Tankred Dorst.
Il trouve son zénith avec le collectif l'Avantage du Doute, pour qui il joue, écrit et met en scène depuis 2008.
En 2010 il joue dans Tout ce qui nous reste de la révolution, c’est Simon, par le collectif l’Avantage du doute.
En 2019 il reçoit un prix Artcena pour son spectacle La Caverne, qu’il écrit et met en scène pour l’Avantage du Doute.
En parallèle, il tourne dans plusieurs séries (Hard, Les Sentinelles pour Canal +), et joue au cinéma (Regarde-moi de M. Nicoletti, Pourquoi tu pleures ? de K. Lewkowicz, Rien à perdre de D. Deloget).
Dans ses deux longs-métrages (Tout ce qu’il me reste de la révolution et Bonjour l’Asile), Judith Davis lui écrit des personnages d'entrepreneur détruits et destructeurs. L'absence totale de redondance entre Nadir et ces deux personnages ambivalents lui permet de sortir des sentiers battus et d’explorer sa part d’ombre.
Ses textes Encore plus, partout, tout le temps et After Show, co-écrit avec le collectif l’Avantage du Doute, sont édités en 2025 aux éditions Esse Que.
Il est végétarien mais ça tout le monde s’en fout.
Photo : © Julian Torres
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Ferme du Buisson, Marne-la-Vallée
L’asile du titre est à la fois le monde de fou dans lequel nous vivons et l’HP, « l’Hospitalité Permanente », refuge magnifique où l’histoire se déroule, et où il est encore permis de rêver d’autres possibles. Si Bonjour l’Asile interroge au cinéma notre besoin de faire monde ensemble, Bonjour l’Asile Picture Show invite à le faire dans la vraie vie.
Maison des métallos, Paris
Choisir l’outrance plutôt que la bien-pensance, mettre les pieds dans le plat pour frapper les esprits de nos petites ou grandes défaillances. Avec le collectif L’Avantage du doute, il est toujours permis d’en rire. Un théâtre à hauteur d’humains, frondeurs et drolatiques en diable car si le grand effondrement est au bout du chemin, autant y aller gaiement ! À partir de 14 ans.
Ferme du Buisson, Marne-la-Vallée
Lorsque tout est éteint dans le théâtre, des figures font irruption sur le plateau et reprennent possession des lieux en invitant les spectateurs à partager un moment de fête, un Aftershow.
Espace Marcel Carné, Saint-Michel-sur-Orge
Lorsque tout est éteint dans le théâtre, des figures font irruption sur le plateau et reprennent possession des lieux en invitant les spectateurs à partager un moment de fête, un Aftershow.
Théâtre du Rond-Point, Paris
Lorsque tout est éteint dans le théâtre, des figures font irruption sur le plateau et reprennent possession des lieux en invitant les spectateurs à partager un moment de fête, un Aftershow.
Théâtre de Corbeil-Essonnes, Corbeil-Essonne
Choisir l’outrance plutôt que la bien-pensance, mettre les pieds dans le plat pour frapper les esprits de nos petites ou grandes défaillances. Avec le collectif L’Avantage du doute, il est toujours permis d’en rire. Un théâtre à hauteur d’humains, frondeurs et drolatiques en diable car si le grand effondrement est au bout du chemin, autant y aller gaiement ! À partir de 14 ans.
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris
Choisir l’outrance plutôt que la bien-pensance, mettre les pieds dans le plat pour frapper les esprits de nos petites ou grandes défaillances. Avec le collectif L’Avantage du doute, il est toujours permis d’en rire. Un théâtre à hauteur d’humains, frondeurs et drolatiques en diable car si le grand effondrement est au bout du chemin, autant y aller gaiement ! À partir de 14 ans.
Théâtre de la Bastille, Paris
Choisir l’outrance plutôt que la bien-pensance, mettre les pieds dans le plat pour frapper les esprits de nos petites ou grandes défaillances. Avec le collectif L’Avantage du doute, il est toujours permis d’en rire. Un théâtre à hauteur d’humains, frondeurs et drolatiques en diable car si le grand effondrement est au bout du chemin, autant y aller gaiement ! À partir de 14 ans.
Théâtre Jean Vilar à Vitry-sur-Seine, Vitry sur Seine
Parc de la Villette - Grande Halle, Paris