Entre bestiaire médiéval, science-fiction écologique et western contemporain, Philippe Quesne crée une épopée rétrofuturiste à la rencontre des mondes à venir, librement inspirée du triptyque du peintre Jérôme Bosch connu pour ses allégories fantastiques.

Dans le sillage de ses précédents spectacles, Philippe Quesne trouble le genre de la fable écologique, envoie un peu balader la morale et acclimate notre sensibilité à la sphère du non-humain. Ses personnages, comme redevenus enfants, retrouvent toute leur capacité d’étonnement devant la diversité et la beauté de la nature. En anglais surtitré en français.

Dans le sillage de ses précédents spectacles, Philippe Quesne trouble le genre de la fable écologique, envoie un peu balader la morale et acclimate notre sensibilité à la sphère du non-humain. Ses personnages, comme redevenus enfants, retrouvent toute leur capacité d’étonnement devant la diversité et la beauté de la nature. En anglais surtitré en français.

La version jeune public de La Nuit des Taupes. La fête s’achève, dans la chambre traînent quelques cadeaux et les restes du goûter quand… une, deux, trois puis sept taupes s’invitent à l’after party creusant leur taupinière jusque-là. A partir de 6 ans.

De retour d’un petit tour du monde underground, les taupes, doux mammifères classés à tort dans la catégorie des nuisibles et révélés à la scène par Philippe Quesne en 2016, reviennent à Nanterre-Amandiers. Une immersion en forme d’opéra-rock dans les abysses de la fiction.

Pour sa nouvelle création, Philippe Quesne invente une île, entourée d’une vaste étendue d’eau, peuplée de quelques palmiers et d’on ne sait trop quelles espèces animales, dont le paisible environnement va être bouleversé par de nouveaux arrivants, fraîchement débarqués d’un avion en flammes…

David et Léo se demandent comment vivre dans le chaos . Ils jouent de ce qui leur tombe sous la main, bifurquent, digressent, construisent une structure démesurée et désordonnée. Avec l’espoir enfantin qu’ils finiront bien par trouver un trésor, ou décrocher la lune.

L'Accord sensible est une compagnie singulière qui a la particularité de nourrir ses créations de textes philosophiques et qui aime laisser le temps aux rêves, aux intuitions et aux plaisirs de l'exploration. Le Hublot l'accueille pour un nouveau projet. L'enjeu sera de tendre vers le spectateur une parole profonde, fragile et légère grâce à la présence poétique de Léo Gobin.

Trois individus sont réunis dans un espace clos. Ils travaillent et des éléments extérieurs (bruits, informations) viennent perturber leur quiétude. Ils se retrouvent très vite submergés par la quantité de signaux reçus et ne parviennent plus à prendre le recul nécessaire. Chaque nouvelle tentative les plonge encore un peu plus dans un dédale infernal.