L’écriture du réel se construit pour raconter l’intimité d’un couple, d’une famille, d’une professeure, d’adolescents. Le travail d’enquête de Stéphane Schoukroun et Jana Klein se mêle à la fiction pour raconter une réalité insaisissable, retranscrire un territoire loin des clichés et nous mettre face à nos paradoxes.

Chute du mur de Berlin, massacre de la Place Tiananmen ou encore bicentenaire de la révolution française, Projet 89 revient sur la rupture historique de l’année 1989 et cherche à y faire résonner les échos de l’intime et du politique.

Chute du mur de Berlin, massacre de la Place Tiananmen ou encore bicentenaire de la révolution française, Projet 89 revient sur la rupture historique de l’année 1989 et cherche à y faire résonner les échos de l’intime et du politique.

Notre histoire (se répète) raconte la tentative de Jana et Stéphane — une Allemande et un Juif séfarade — de rejouer un spectacle créé en 2020, spectacle sur leur rencontre amoureuse et les écueils de leur vie de couple mixte, traversée par l’Histoire et notamment celle de la Shoah. 

Avec Descendre du cheval pour cueillir des fleurs, la Cie Sans la nommer poursuit sa réflexion autour de la mémoire ouvrière et de la question de la transmission, au cœur de chacun de ses dispositifs scéniques. Cette réflexion prend forme ici à travers l’histoire de trois sœurs imaginée à partir de témoignages collectés auprès d’enfants d’ouvrier.e.s.

Chute du mur de Berlin, massacre de la Place Tiananmen ou encore bicentenaire de la révolution française, Projet 89 revient sur la rupture historique de l’année 1989 et cherche à y faire résonner les échos de l’intime et du politique.

La science-fiction s’invite au plateau pour un spectacle hybride au croisement des arts vivants et des arts numériques.

Avec Descendre du cheval pour cueillir des fleurs, la Cie Sans la nommer poursuit sa réflexion autour de la mémoire ouvrière et de la question de la transmission, au cœur de chacun de ses dispositifs scéniques. Cette réflexion prend forme ici à travers l’histoire de trois sœurs imaginée à partir de témoignages collectés auprès d’enfants d’ouvrier.e.s.

Avec Descendre du cheval pour cueillir des fleurs, la Cie Sans la nommer poursuit sa réflexion autour de la mémoire ouvrière et de la question de la transmission, au cœur de chacun de ses dispositifs scéniques. Cette réflexion prend forme ici à travers l’histoire de trois sœurs imaginée à partir de témoignages collectés auprès d’enfants d’ouvrier.e.s.

La Cie Ascorbic vous propose de nous réunir, 39 minutes, pour transfigurer les noirceurs solitaires en une énergie collective.