Frédéric Antoun est ténor. Originaire du Québec, Frédéric Antoun a étudié le chant au Curtis Institute of Music de Philadelphie. Son vaste répertoire s’étend de Rameau à Stravinsky, avec une prédilection pour l’opéra français, Mozart et le belcanto.
Il est invité au New York City Opera (le Prince Charmant de Cendrillon), à la COC à Toronto (Tamino de La Flûte enchantée), au Festival de Charleston (Roméo de Roméo et Juliette), à l’Opéra de Montréal (Gerald de Lakmé, Almaviva du Barbier de Séville), au Florida Grand Opera (Lindoro de La Cenerentola, Almaviva), à La Monnaie de Bruxelles (Cendrillon), à l’Opéra d’Amsterdam (Achille d’Iphigénie en Aulide), au Theater an der Wien (Laërte d’Hamlet), au Théâtre du Châtelet (Tamino), à l’Opéra Comique (L’Amant jaloux de Grétry), au Capitole de Toulouse (Belmonte de L’Enlèvement au sérail, Hippolyte de Hippolyte et Aricie), à l’Opéra de Montpellier (Orphée d’Orphée aux Enfers, Tamino et Gerald), à l’Opéra de Nice (le Chevalier de Dialogues des carmélites)…
En concert, il interprète le Magnificat, les Passions et la Messe en si de Bach, les Requiem de Mozart et de Berlioz, La Création et Les Saisons de Haydn, L’Oratorio de Noël de Bach, Le Messie de Haendel, Carmina Burana de Carl Orff…
Il a collaboré avec les chefs d’orchestre Marc Minkowski, Emmanuelle Haïm, Michel Plasson, Alain Altinoglu, Ivor Bolton, Mikko Franck…
Récemment, on a pu l’entendre dans The Tempest de Thomas Adès (Caliban) au Festival de Québec, Lakmé à Montpellier et à l’Opéra Comique, L’Italienne à Alger (Lindoro) à l’Opéra de Marseille, L’Heure espagnole (Gonzalve) avec l’Orchestre national de Lyon et à l’Opéra d’Amsterdam, Dialogues des carmélites et Falstaff (Fenton) à Toronto, Armide de Gluck (Renaud) à Amsterdam. Il a fait ses débuts au Covent Garden de Londres dans La Fille du régiment (Tonio), au Festival de Salzbourg dans Charlotte Salomon (création de Marc-André Dalbavie) et à l’Opéra national de Paris dans L’Enlèvement au sérail (Belmonte).
Frédéric Antoun a participé à Cosi fan tutte mis en scène par Anne Teresa De Keersmaker à l'Opéra de Paris en janvier 2017.
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