Claude Stratz est né à Zurich. Il étudie la psychologie à l’Université de Genève, enseigne la dramaturgie et l’interprétation à l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique de Genève. Assistant de Patrice Chéreau au Théâtre des Amandiers à Nanterre (1981-1988), il a dirigé la Comédie de Genève de 1989 à 1999 et en a inauguré la première saison avec Chacun son idée de Pirandello.
Il signe en 2001 une nouvelle mise en scène du Malade imaginaire qui connaît un immense succès. En collaboration avec le compositeur Marc-Olivier Dupin, il met à l’honneur l’excellence de cette comédie-ballet. Ce spectacle, repris régulièrement depuis sa création en 2001, est parti cet automne en tournée en Asie.
Il est nommé la même année directeur du Conservatoire national supérieur d’art dramatique de Paris.
1985 Le Legs et L'Épreuve de Marivaux, Comédie de Genève, Théâtre Nanterre-Amandiers
1987 Le Suicidé de Nikolaï Erdman, Comédie de Genève, Théâtre Nanterre-Amandiers
1989 Chacun a son idée de Luigi Pirandello, Théâtre national de Strasbourg, Comédie de Genève
1990 Jules César de William Shakespeare, Comédie de Genève
1992 L'École des mères, Les Acteurs de bonne foi de Marivaux, Comédie de Genève
1995 Fantasio d’Alfred de Musset, Comédie de Genève, Théâtre national de Chaillot
1998 Un ennemi du peuple d'Henrik Ibsen
2005 Les Grelots du fou de Luigi Pirandello, Comédie-Française Théâtre du Vieux-Colombier, Théâtre des Célestins
Théâtre de la Porte Saint-Martin, Paris
« La dernière pièce de Molière commence dans les teintes d’une journée finissante. C’est une comédie crépusculaire teintée d’amertume et de mélancolie. » C’est par ces mots que Claude Stratz, aujourd’hui disparu, dépeint Le Malade imaginaire qu’il met en scène en 2001. La mise en scène épurée restitue la palette infinie de cette comédie-ballet.
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
« La dernière pièce de Molière commence dans les teintes d’une journée finissante. C’est une comédie crépusculaire teintée d’amertume et de mélancolie. » C’est par ces mots que Claude Stratz, aujourd’hui disparu, dépeint Le Malade imaginaire qu’il met en scène en 2001. La mise en scène épurée restitue la palette infinie de cette comédie-ballet.
Opéra Royal de Versailles, Versailles
« La dernière pièce de Molière commence dans les teintes d’une journée finissante. C’est une comédie crépusculaire teintée d’amertume et de mélancolie. » C’est par ces mots que Claude Stratz, aujourd’hui disparu, dépeint Le Malade imaginaire qu’il met en scène en 2001. La mise en scène épurée restitue la palette infinie de cette comédie-ballet.
TGP - CDN de Saint-Denis, Saint-Denis
Comédie-Française - Salle Richelieu, Paris
« La dernière pièce de Molière commence dans les teintes d’une journée finissante. C’est une comédie crépusculaire teintée d’amertume et de mélancolie. » C’est par ces mots que Claude Stratz, aujourd’hui disparu, dépeint Le Malade imaginaire qu’il met en scène en 2001. La mise en scène épurée restitue la palette infinie de cette comédie-ballet.
Théâtre éphémère, Paris
« La dernière pièce de Molière commence dans les teintes d’une journée finissante. C’est une comédie crépusculaire teintée d’amertume et de mélancolie. » C’est par ces mots que Claude Stratz, aujourd’hui disparu, dépeint Le Malade imaginaire qu’il met en scène en 2001. La mise en scène épurée restitue la palette infinie de cette comédie-ballet.
Théâtre éphémère, Paris
« La dernière pièce de Molière commence dans les teintes d’une journée finissante. C’est une comédie crépusculaire teintée d’amertume et de mélancolie. » C’est par ces mots que Claude Stratz, aujourd’hui disparu, dépeint Le Malade imaginaire qu’il met en scène en 2001. La mise en scène épurée restitue la palette infinie de cette comédie-ballet.
Comédie-Française - Salle Richelieu, Paris
« La dernière pièce de Molière commence dans les teintes d’une journée finissante. C’est une comédie crépusculaire teintée d’amertume et de mélancolie. » C’est par ces mots que Claude Stratz, aujourd’hui disparu, dépeint Le Malade imaginaire qu’il met en scène en 2001. La mise en scène épurée restitue la palette infinie de cette comédie-ballet.
Théâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDN , Sartrouville
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris